De nombreuses organisations ont demandé au Parlement Européen un engagement plus grand dans la lutte contre la malaria qui frappe chaque jour 3.000 enfants africains. La maladie parasitaire continue à toucher et à tuer plus que toute autre maladie dans le monde. Comme pour d’autres tragédies silencieuses la très grande majorité des victimes a moins de 5 ans, et se trouve en Afrique.

L’Organisation Mondiale de la Santé et d’autres organismes, ont demandé de coordonner les efforts pour lutter contre la malaria, et d’augmenter les ressources pour la recherche des vaccins et des médicaments.

La malaria est liée à la pauvreté et pas au hasard, et il est urgent plus que jamais d’aider les pays africains qui sont les plus touchés. Combattre la maladie coûte 12.000 millions de dollars par an aux pays africains. Le seul traitement efficace pour le moment est le TCA (acide tricarbossilique) avec 50 millions de doses, pour les 300 millions de malades prévus en 2005.

Toutefois, selon un bilan de l’OMS, il y a des progrès dans la lutte contre la malaria, dans des Pays comme le Togo ou la Zambie : d’importantes campagnes ont permis de faire arriver dans la majorité des maisons des moustiquaires imprégnées d’insecticides, la meilleure mesure prophylactique contre la maladie transmise par les moustiques anophèles.

Première audience générale de Benoît XVI : le pape improvise librement

ROME, Mercredi 27 avril 2005 (ZENIT.org) – Le pape Benoît XVI a tenu sa première audience générale du mercredi, ce matin, place Saint-Pierre, devant quelque 15 000 fidèles, dont un millier de pèlerins du diocèse de Nursie, d’où saint Benoît est originaire. Benoît XVI a expliqué pourquoi il avait choisi ce nom, en référence au pape Benoît XV et à saint Benoît. Il n’a pas hésité à « improviser ».