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Comme les rois mages : en marche pour adorer et donner, par Mgr Follo

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Commentaire des lectures de l’Epiphanie

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« Comme les rois mages : en marche pour adorer et donner » : c’est le titre de la méditation proposée par Mgr Francesco Follo, Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris, pour l’Epiphanie, mardi6 janvier 2016, et dimanche,3 janvier 2016, dans les pays où le 6 n’est pas férié.
Comme lecture patristique, Mgr Follo propose une homélie pour Noël de saint Basile le Grand.
Lectures, rites romain et ambrosien :Isaïe 60,1-6 ; Psaume 71 ; Ephésiens 3,2-3.5-6 ; Matthieu 2,1-12.
 
Comme les rois mages : en marche pour adorer et donner
 
1) Deux Etoiles « théologiques »
Le thème de la lumière domine les fêtes de Noël et de l’Epiphanie qui, antiquement – et encore aujourd’hui en Orient (1) – étaient réunies en une seule grande fête : la « fête des lumières ».
A Noël, en naissant dans une grotte pendant la nuit, en se manifestant à de pauvres bergers de la région de Bethléem, le Fils de Dieu incarné s’est révélé sous forme de lumière. Lumière à l’extérieur de l’homme, dans l’histoire du monde, mais aussi à l’intérieur de l’homme, dans l’histoire personnelle de chacun de nous.
A l’Epiphanie, le sauveur continue de se révéler comme étant la lumière des peuples, en tout lieu et en tout temps. Pour les mages, venus l’adorer d’Orient, la lumière du roi nouveau-né prend la forme d’un astre du ciel. La brillance de l’Etoile est telle que leurs regards se fixent sur elle. Celle-ci les guidera jusqu’à Jérusalem, puis du palais royal d’Hérode, à Jérusalem, à un nouveau Palais royal : la grotte-étable de Bethléem.
Autour de lui, tout se présente comme une réalité terrestre extrêmement pauvre. Mais ceux qui regardent avec un regard de foi, voient un roi, le Roi des rois, grâce à un signe lumineux. Quel est ce signe royal qui permit aux mages, à l’époque, et à nous aujourd’hui, de reconnaître le Roi des rois sous les traits du Fils de Marie, dans l’humble condition de cet enfant habitant une pauvre étable ? L’Etoile indique le chemin et l’endroit où rencontrer le Roi qui sauve.
L’Etoile indique le chemin aux chercheurs d’infini, pour qu’ils regardent le ciel et tentent d’interpréter correctement les signes. Les mages sont donc des hommes qui s’interrogent sur la réalité, ne se contentent pas de la réponse des autres. Ils recherchent une intelligence plus profonde de la réalité et du sens de la vie.
Cette Etoile extraordinaire, que nous pourrions définir « théologique » parce qu’elle « parle de Dieu », parce qu’elle « enseigne Dieu », guide les mages tout au long de leur marche jusqu’à Bethléem. Elle leur indique, leur enseigne, que cet enfant est le Fils du Très-Haut, le prince de la paix.
Cette Etoile transforme la crèche – où l’on contemple Dieu fait homme et placé dans une mangeoire – en palais lumineux et illumine la Vierge Marie comme un trône royal : la Vierge Marie tient Jésus sur ses genoux, le porte dans ses bras maternels et le montre aux mages qui, agenouillés, se mettent à l’adorer. Marie, l’Etoile « théologique » de la Mer de la vie humaine éclaire le Roi des rois, couché dans la grotte de Bethléem.
 
2) L’autorité de l’amour
Les mages s’inclinent devant l’autorité de l’amour. Ils croient à cet amour infini renfermé en l’Enfant Jésus.
Devant ce nouveau-né, reconnu comme étant le Roi messianique tant attendu, les rois mages sont dans une attitude de prosternation, d’adoration sincère. Ils offrent des cadeaux symboliques : l’or, l’encens et la myrrhe. Ces dons offerts au Messie « symbolisent la vraie adoration » (cf. saint Jean-Paul II). Ces dons expriment une foi consolidée par la rencontre avec Jésus, qui est Roi, à honorer avec de l’or, qui est Dieu, à adorer avec l’encens et la prière qui s’élève vers Lui comme le plus agréable des encens, l’Homme, le Fils de Dieu, qui mourra pour nous sauver.
Comme les rois mages, nous sommes invités aujourd’hui à renouveler, aux pieds du Verbe incarné, notre acte de fidèle adhésion, en faisant don du peu ou de tout ce que nous possédons, mais don aussi de nous-mêmes, comme un saint sacrifice fait pour le plus grand plaisir de Dieu. Grâce à cette offrande quotidienne nous devenons, dans le monde et pour le monde, des signes de la nouvelle humanité rachetée par le Christ, témoins du mystère d’amour célébré à Noël.
Comme les rois mages, laissons-nous surprendre par l’amour de Dieu, qui est né pour nous, et agenouillons-nous aux pieds du Verbe incarné, devant le Seigneur Jésus Christ, vivant au milieu de nous et vivant dans l’Eucharistie. Allons plus souvent à l’église, approchons-nous de l’autel et, humblement, imitons les saints mages, en offrant l’or de notre amour de Dieu et de nos frères, l’encens de notre louange et de nos prières, et la myrrhe de nos peines qui ne manquent jamais dans notre vie.
La stupeur (2), comme l’étonnement, est la capacité de se laisser surprendre par Dieu qui, en Jésus Christ, se donne entièrement à nous, nous permettant de connaître la vérité et de rencontrer le vrai amour à donner. Surpris par la lueur d’une étoile, les rois mages se sont mis en marche. Leur étonnement les poussait à suivre une étoile, à s’interroger sur le sens de la vie, les attirait vers l’Enfant Jésus et les faisait rester auprès de lui, en adoration. La certitude la foi fleurit de l’étonnement face à une présence divine dans la chair que les yeux purs des mages peuvent voir.
 
3) Quel don offrir à Celui qui s’est donné à nous intégralement ?
A Celui qui a tout donné de Lui, donnons nous aussi de nous-mêmes, en commençant par lui offrir le peu ou tant de nos biens matériels. Pour être plus clair, je me sers des paroles adressées par saint Jean-Paul II aux jeunes : « Vous aussi, offrez au Seigneur l’or de votre existence, c’est-à-dire votre liberté pour le suivre par amour, en répondant fidèlement à son appel ; faites monter vers lui l’encens de votre prière ardente, à la louange de sa gloire ; offrez-lui la myrrhe, c’est-à-dire votre affection pleine de gratitude envers lui, vrai Homme, qui nous a aimés jusqu’à mourir comme un malfaiteur sur le Golgotha » (Message pour la XXe Journée mondiale de la jeunesse, 6 août 2004).
Les Vierges consacrées dans le monde, en se donnant entièrement à Dieu, ont répondu à l’appel. Elles sont un exemple pour nous. Certes, ces femmes ont conscience que Dieu donne l’infinie richesse de sa divinité tandis qu’elles n’ont rien d’autre à offrir (et nous avec elles) que la pauvreté (et nous la nôtre) de leur existence humaine. Mais elles savent que ce n’est pas tant la grandeur du don qui réalise l’union nuptiale avec le Christ, que sa totalité, le fait de se donner entièrement à Lui, de ne se réserver plus rien à soi, de ne plus s’appartenir, de ne vouloir appartenir qu’à Lui.
En vivant le don de soi dans la virginité, les femmes consacrées témoignent que se donner à Dieu n’est pas renoncer à vivre, mais renoncer « aux limites d’une vie vécue comme de pauvres créatures malades pour vivre la plénitude d’une vie immense comme la vie divine » (Divo Barsotti, 6 janvier 1963). Consacrées par le rite nuptial et solennel au Christ (Rituel de la consécration des vierges, n° 30), ces femmes témoignent avec humilité, délicatesse et constance de l’amour unique et indivisible du Christ pour chaque homme et chaque femme, montrant ainsi l’importance de répondre par le don de soi au don que le Christ fait de lui-même par amour rédempteur.
Traduction d’Océane Le Gall
 
Lecture Patristique
Saint Basile le Grand (330-379), Homélies sur Noël (2PG 31, 1472-1476)
L’étoile vient de s’arrêter au-dessus du lieu où se trouvait l’enfant. C’est pourquoi les mages, quand ils virent l’étoile, éprouvèrent une très grande joie (Mt 2,9-10). Accueillons, nous aussi, cette grande joie dans nos cœurs. Car c’est de la joie que les anges annoncent aux bergers. Adorons avec les mages, rendons gloire avec les bergers, dansons avec les anges ! Il nous est né aujourd’hui un Sauveur, qui est le Messie, le Seigneur (Lc 2,11). C’est Dieu, le Seigneur, qui nous illumine (Ps 117,27), non pas sous la forme de Dieu, pour ne pas épouvanter notre faiblesse, mais sous la forme du serviteur, afin de donner la liberté à ceux qui étaient réduits en servitude. Qui donc a un cœur assez endormi, qui donc est assez ingrat pour ne pas se réjouir, exulter et rayonner devant un tel événement ?
Cette fête est commune à toute la création : elle accorde à notre monde les biens qui sont au-delà du monde, elle envoie des archanges à Zacharie et à Marie, elle constitue des chœurs d’anges qui proclament : Gloire à Dieu au plus haut des cieux, paix sur la terre, bienveillance aux hommes (Lc 1,14). Les étoiles accourent du haut du ciel, les mages quittent les nations païennes, la terre offre son accueil dans une grotte. Personne n’est indifférent, personne n’est ingrat. Nous-mêmes, fêtons le salut du monde, le jour de naissance de l’humanité. On ne peut plus dire maintenant : Tu es poussière, et tu retourneras à la poussière (Gn 3,19), mais : Rattaché à l’homme céleste (cf. 1 Co 15,48), tu seras élevé au ciel. On n’entendra plus dire : Tu enfanteras dans la souffrance, (Gn 3,16), car bienheureuse celle qui a enfanté l’Emmanuel, et les mamelles qui l’ont allaité. Un enfant nous est né, un fils nous a été donné, l’insigne du pouvoir est sur son épaule (Is 9,6).
Unissez-vous à ceux qui ont reçu avec joie le Seigneur venant du ciel. Pensez aux bergers pénétrés de sagesse, aux grands prêtres qui prophétisent, aux femmes remplies de joie, quand Marie est invitée par Gabriel à se réjouir, et que Jean tressaille dans les entrailles d’Elisabeth. Anne propageait la bonne nouvelle ; Syméon tenait dans ses bras ce petit enfant dans lequel tous adoraient le Dieu de majesté. Bien loin de mépriser ce qu’ils voyaient, ils magnifiaient la grandeur de sa divinité. Car la vertu divine apparaissait à travers ce corps humain, comme la lumière à travers les vitres, resplendissante, pour ceux dont les yeux du cœur étaient purifiés.
Puissions-nous être trouvés avec eux, nous aussi, contemplant la gloire du Seigneur comme dans un miroir, et être nous-mêmes transfigurés de gloire en gloire (2 Co 3,18), par la grâce et la tendresse miséricordieuse de notre Seigneur Jésus Christ : à lui la gloire et la puissance, pour les siècles des siècles. Amen.
 
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  1. L’Epiphanie, la « manifestation » de notre Seigneur Jésus Christ, est un mystère multiforme. La tradition occidentale l’identifie à la visite des mages à l’Enfant Jésus à Bethléem, et donc l’interprète surtout comme une révélation du Messie d’Israël aux peuples païens. La tradition orientale, elle, privilégie le moment du baptême de Jésus dans les eaux du Jourdain, quand il se manifesta comme étant le Fils Unique du Père céleste, consacré par l’Esprit Saint. Mais l’Evangile de Jean invite à considérer aussi comme « une épiphanie » les noces de Cana, où « Jésus manifesta sa gloire et ses disciples crurent en Lui » (Jn 2,11).

 

  1. Dans la vie naturelle, la stupeur est une réduction des capacités visuelles, provoquée par une lumière excessive. Dans la vie spirituelle, la situation est la même, provoquée par l’éblouissement de la lumière spirituelle. A ce propos, nous lisons dans l’Ancien Testament : « Moïse s’approcha de la nuée obscure où Dieu était » (Ex 20, 21). Dans le Nouveau Testament (cf. Ac 9, 3) nous lisons par contre que Saul, sur le chemin de Damas, a été complètement ébloui par une lueur venue du ciel. En parlant à Agrippa, il a lui-même affirmé que la luminosité de cette lumière était encore plus forte que celle du soleil (cf. Ac 26, 13), au point de ne plus rien voir (cf. Ac 9, 8). Mais les bergers aussi qui veillaient à Bethléem la nuit de la naissance du Seigneur, ont vu briller la gloire de Dieu (cf. Lc 2, 9), alors que durant la transfiguration du Seigneur sur le mont Thabor « son visage devint brillant comme le soleil et ses vêtements blancs comme la lumière (…) et une nuée lumineuse recouvrit l’assistance » (cf. Mt 17, 2. 5). Enfin, à la résurrection du Seigneur, les embaumeuses qui s’étaient rendues au sépulcre de bon matin, virent un jeune homme vêtu de blanc et furent saisies d’étonnement (cf. Mc 16, 5), parce qu’il avait l’aspect de l’éclair, et son vêtement était blanc comme neige (cf. Mt 28, 3).
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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). 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Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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