En pèlerinage à Nazareth auprès de la Sainte Famille

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Dimanche de la Sainte Famille, Année B – 28 décembre 2014

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Rite romain : Gen 15,1-6 ; 21,1-3 ; He 11,8.11-12.17-19 ; Lc 2,22-40

Rite ambrosien : Jr 31,15-18.20 ; Ps 123 ; Rm 8,14-21 ; Mt 2,13b-18

Dimanche – 4ejour dans l’octave de Noël

 
 1) la Sainte Famille, la vraie famille

La liturgie nous propose de célébrer la Sainte Famille comme modèle pour toutes les familles humaines, pas seulement les chrétiennes. En ce moment de grande crise d’identité des familles, surtout en occident, avec des séparations, des divorces et des cohabitations de tout genre, proposer cette famille singulière de Nazareth à l’attention de nos familles  signifie  » redécouvrir la vocation et la mission de la famille,  de chaque famille. Et, comme c’est arrivé pendant ces trente ans à Nazareth, cela peut nous arriver aussi : faire que l’amour devienne normal et non la haine, faire que l’amour  fraternel  devienne  habituel, non pas l’indifférence ou l’ hostilité »( Pape François, Audience générale du 17 décembre 2014).

La Sainte Famille de Nazareth montre ce qui est le début et le centre de chaque vraie famille : Jésus Christ. La famille du Christ était sainte  parce qu’elle était la Sienne, parce qu’elle  L’accueillit et Le donna au monde. Nos familles sont appelées à faire de même. Si l’on est enraciné en Lui qui a vécu en elle, on peut comprendre et vivre les grands biens que sont  le mariage,  la famille,  le don de la vie. On comprendra aussi le grand danger que représente  pour l’homme et pour sa dignité leur dégradation dans les institutions civiles.

Je crois qu’il  peut être utile de commencer par l’épisode raconté par Saint Marc, au chapitre 3, là où on dit à Jésus : » voici, ta mère, tes frères et tes sœurs  sont  là,  dehors, qui te cherchent « , ce à quoi  Jésus répond : » qui est ma mère et qui sont mes frères? »

Tournant les yeux vers ceux  qui étaient  assis autour de lui, il dit : » voilà ma mère et mes frères! Celui  qui fait la volonté de Dieu, celui-là est mon frère, ma sœur  et ma mère »(Mc 3,31-35). C’est comme si Jésus Christ disait :  » ma famille est  toute là. Je n’ai pas d’autre famille. Les liens du sang ne comptent pas s’ils ne sont pas confirmés dans l’esprit. Mes frères sont les pauvres qui pleurent, messœurs  sont les femmes qui ont dit oui à l’ Amour qui a purifié et élevé l’ amour ».

 

Jésus ne méprisait pas sa mère, Saint-Joseph, son père légal, et sa parenté. Il ne reniait pas la mère qui L’a conçu et dont Il était le fruit : il voulait dire qu’ il n’ appartenait pas seulement à  la  «petite» Sainte famille de Nazareth, mais à Sa mission de Sauveur de la  » grande » famille humaine. Dieu vient reconstruire le vrai sens de la famille humaine, la vocation de chaque homme qui est celle de fils et de frère. Dieu réunit sa famille pour enseigner à  être vraiment membres d’une famille, parce qu’ il veut nous libérer de la tentation de la solitude.  Dieu sait qu’il n’est pas bon pour l’homme d’être seul. Dieu lui-même ne veut pas être seul. C’est la raison pour laquelle il engendre une famille  » pour tout le monde » comme chante Siméon.

2) Pélerins  à Nazareth

Comme le Pape François l’a récemment proposé à chaque famille, à chaque maman, à chaque papa, à  chaque enfant, faisons un pèlerinage  spirituel à Nazareth pour remplir notre propre esprit des  sublimes vertus de Marie, l’humble servante du Seigneur, de Joseph, l’homme juste, le menuisier, le Gardien de la Sainte Famille et de Jésus, le Fils de Dieu, qui leur était soumis et grandissait en âge, en sagesse et  en grâce.

La liturgie  d’aujourd’hui nous présente une méditation centrée  sur le Christ, qui  intéresse particulièrement les familles chrétiennes : il nous présente le mystère de la vie de l’enfant Jésus avec ses parents.

Le passage de l’évangile  d’aujourd’hui nous présente un cadre familial qui nous fait particulièrement bien comprendre le  mystère du Sauveur. Nous sommes au moment de la présentation du Seigneur au temple; et celui qui attend ce grand événement,  c’est Siméon, qui occupe aujourd’hui la scène principale de l’évangile de  la Sainte Famille. Le vieux Siméon reconnaît en Jésus le vrai Sauveur, Celui que l’on attend, et  il est heureux  que le Seigneur lui ait permis de vivre ce jour. C’est l’homme de la gratitude, mais aussi  de la prophétie,  du courage et de l’absence de toute peur surtout celle de la mort dont il  entrevoit  dans  l’Enfant Jésus le futur vainqueur. Ce Saint Homme de Dieu, qui avait attendu pendant des années la venue du  messie,  peut quitter  la terre heureux,  pour rencontrer pour toujours le Seigneur dans l’éternité.

Dans nos familles,  il faut éduquer au sens de l’éternel et de la communion. Les enfants grandissent en observant comment vivent les adultes. C’ est pourquoi  éduquer les enfants signifie les faire participer à la réalité de la communion de leur père et de leur mère  qui leur ont donné la vie. Eduquer les enfants signifie les introduire dans la vie en leur apprenant la gratitude.

 3) Un protagoniste oublié

La Sainte Famille n’était pas une famille sans problèmes. Marie et Joseph ont partagé la condition de ce fils déconcertant,  le suivant pas à  pas dans la révélation de son mystère.  C’est pour toute leur disponibilité qu’ils méritent notre admiration. Il n’est pas simple de devoir  veiller  sur le Fils de Dieu, de fuir en Egypte, de rentrer dans sa patrie et de vivre à Nazareth, un village de banlieue pour les Juifs, de voir grandir Jésus en sagesse et en grâce alors qu’il  menait une vie ordinaire etsans manifestations exceptionnelles jusqu’ à l’ âge 30 ans.

Nous voudrions en savoir davantage sur la vie de cette famille extraordinaire; dans le fond, saint Luc en dit assez pour nous permettre d’en tracer la physionomie. Même si elle est extraordinaire sous bien des aspects,  c’est une famille comme toutes les autres, avec ses joies,  ses peines,  ses  secrets : elle mène une vie de foi,  elle  éprouve la joie de voir naître et grandir un enfant  sain et fort, elle est touchée par des prophéties qui annoncent un avenir difficile. Dans toutes les familles, les années ne s’écoulent pas toujours tranquillement;  tôt ou tard surgissent  les problèmes, les souffrances, les préoccupations, d’autant plus douloureuses  qu’elles viennent d’un  manque d’amour. La Famille de Nazareth a affronté les joies et les difficultés de la vie sous la conduite et la protection de Saint Joseph.
 
Il est important de comprendre la grandeur de cet homme unique qu’ était l’ époux de Marie et  que l’on a souvent réduit  au rôle de pourvoyeur de biens matériels, comme si,  dans la Sainte Famille , il n’avait eu comme  fonction   » extérieure  » que celle  de l’ homme à qui on confie les tâches sans importance et qui n’ exigent pas les plus grandes vertus.  En effet,  si l’on se met dans la situation dans laquelle se trouvait  Marie lorsqu’ elle portait en son sein la vie naissante du Fils de Dieu,  si  on la considère  d’un point de vue légal,  cette situation est choquante pour Joseph, parce que,   d’un point de vue humain et légal,  sa fiancée aurait dû être punie comme  adultère  et donc lapidée.

Comment Joseph  a-t-il  pu admettre que Marie fût innocente?  Or lui n’a eu aucun doute. Son amour pour la Vierge  n’a pas été blessé.  Il a voulu protéger sa réputation, aussi  pour ne lui faire courir aucun risque vital.  Joseph croit fermement à  l’Ange et prend avec  lui Marie, pour qu’elle ne coure plus  aucun risque. Elle et son enfant ont besoin de lui, Joseph, qui,  par amour sponsal accepte de rester vierge lui aussi  pour que Celui qui est en Marie par l’opération de l’Esprit Saint, naisse,  grandisse et sauve le monde.  L’annonce
de l’Ange :  » N’aie pas peur de prendre Marie comme épouse » est le sceau de Dieu pour ce mariage unique, au cœur  de l’amour humain leplus profond, le plus authentique, le  plus divin.  Et  bien, un homme capable d’une telle grandeur appartient à la race des géants, des saints. Joseph accepte de vivre virginalement son amour pour ne pas infliger la moindre  blessure à sa bienaimée.  Le mariage de Marie et Joseph a permis au Christ d’entrer dans le monde honorablement,  il a permis au Christ de vivre la vie cachée de Nazareth bien protégé, en grandissant en grâce et sagesse.  A Nazareth, Joseph, Marie et Jésus ont vécu héroïquement  leur  vie quotidienne afin que l’héroïque se fasse quotidien et que nous puissions, nous aussi,  les imiter dans notre quotidien.

Joseph s’est engagé tout entier dans son œuvre de rédemption du Fils de Marie : il a donné à Dieu toute la tendresse et tout son cœur, en sacrifiant son amour.

Que l’on soit parents par le mariage ou que l’on soit père et mère  spirituellement,  l’exemple de la Sainte Famille nous demande d’être prêts au sacrifice qui rendra la vie  vraie.

Je prie Saint-Joseph,  qui est le gardien et le protecteur des Vierges,  comme le fut  Marie,  qu’il obtienne pour les vierges consacrées dans le monde de savoir faire fructifier les richesses de leur cœur pour qu’elles persévèrent dans la vie de la sainteté par le don total de soi au Seigneur  quinous aime d’un amour infini, patient et tendre.(cf rituel de consécration des vierges, n° 24 : L’évêque prie : C’est en effet, ton Esprit Saint qui suscite au milieu de ton peuple des hommes et des femmes conscients de la grandeur et de la sainteté du mariage , et capables pourtant de renoncer à cet état afin de s’attacher dès maintenant, à la réalité qu’il préfigure : l’union du Christ et de l’Eglise….Elles ont choisi d’aimer Celui qui est l’Epoux de l’Eglise et le Fils de la Vierge Mère).

Lecture Patristique

Saint Augustin, Eveque

Sermon 51, 17-19

Observez dans quelles circonstances. Notre-Seigneur était âgé de douze ans, de douze ans comme homme; car en tant que Dieu il est au dessus et en dehors de tous les temps; et il resta séparé d’eux dans le temple, discutant avec les docteurs qui admiraient sa doctrine. Au sortir de Jérusalem ses parents le cherchèrent dans leur compagnie, c’est-à-dire parmi ceux qui marchaient avec eux ; et ne le trouvant point, ils rentrèrent tout alarmés dans Jérusalem, et le trouvèrent discutant dans le temple avec les anciens, quoiqu’il ne fût, comme j’ai dit, âgé que de douze ans. Qui pourrait néanmoins s’en étonner? Le Verbe de Dieu ne garde jamais le silence, quoiqu’on ne l’entende pas toujours. On le découvre donc dans le temple et sa mère lui dit : « Pourquoi avez-vous agi de la sorte envers nous? Votre père et moi nous vous «cherchions dans l’affliction. — Ignoriez-vous, reprit-il, que je dois être occupé des intérêts de mon Père (1) ? » Il répondit ainsi comme étant le Fils de Dieu et dans le temple de Dieu. Ce temple en effet n’était par le temple de Joseph, mais le temple de Dieu.

Donc, objectera quelqu’un, il ne dit point qu’il était le fils de Joseph. — Ecoutez avec un peu plus de patience; mes frères, car nous avons peu de temps et il faut achever ce discours. Marie ayant dit : « Votre père et moi nous vous cherchions dans l’affliction, » il répliqua : « Ignoriez-vous que je dois être occupé des affaires de mon Père ? » Il ne voulait pas laisser croire que tout en étant leur fils il n’était pas en même temps le Fils de Dieu; car il est et il est toujours le Fils de Dieu, créateur de ses parents mêmes. Mais fils de l’homme dans le temps et né miraculeusement d’une vierge, il avait néanmoins un père et une mère. Comment le prouver ? Marie l’a déjà dit: « Votre père et moi nous vous cherchions dans l’affliction. »

En vue surtout de l’instruction des femmes, de nos sueurs, ne passons point sous silence, mes frères, cette sainte modestie de la Vierge Marie. Elle avait donné le jour au Christ, un ange était venu vers elle et lui avait dit : « Tu vas concevoir dans ton sein et tu enfanteras un fils. Il sera grand et sera appelé le Fils du Très-Haut (2). » Elle avait mérité de donner le jour au Fils du Très-Haut, et elle était si humble! Même en se nommant elle ne se préférait pas à son mari, elle ne disait pas : moi et votre père, mais : « votre père et moi. » Elle ne considère point sa dignité de mère, mais l’ordre du mariage. Ah! Jésus-Christ est trop humble pour avoir enseigné l’orgueil à sa mère. « Votre père et moi nous vous cherchions dans les larmes. — Votre père, et moi » ensuite; car l’homme est le chef de la femme (3). Combien moins doivent s’enorgueillir les autres femmes! Si ce nom a été donné à Marie, ce n’est point qu’elle ait perdu sa virginité, c’est pour suivre l’usage de sa nation. L’Apôtre a dit de Jésus-Christ Notre-Seigneur qu’ « il est né d’une femme (4); » mais sans se mettre en contradiction avec notre foi, qui professe hautement qu’il est né du Saint-Esprit et de la Vierge Marie, car elle conçut Vierge, Vierge elle enfanta et elle demeura Vierge. La langue hébraïque, en effet, donne le nom de femme à toutes les personnes du sexe. En voici une preuve manifeste; c’est que la première femme, tirée par Dieu du côté d’Adam, portait ce nom avant de s’unir avec l’homme, ce qui n’arriva qu’après leur expulsion du paradis. L’Ecriture dit expressément : « Dieu en forma la femme (5). »

Ainsi donc, lorsqu’en répondant : « Je devais m’occuper des affaires de mon Père, » Jésus-Christ Notre-Seigneur indique que Dieu est son Père, il ne nie pas que Joseph le soit aussi.

1. Luc, II, 42, 49.

2. Luc, I, 31, 32. 

3. Ephée. V, 23.

4. Galat. IV, 4.

5. Gen. II, 22.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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