Tout d’abord, le pape François ne renonce pas à transformer le monde, quand les idéologies du passée semblent non seulement avoir échoué mais avoir renoncé.
Son remède, bien sûr, ce n’est pas le « grand soir », il a même une recette évangélique très à « contre-courant », pas du tout « politiquement correcte ». C’est une invitation à l’action, à faire le bien, mais gratuitement.
Il livre son secret dans un tweet posté sur son compte @Pontifex_fr ce samedi 18 octobre: « Pour changer le monde, il faut faire du bien à celui qui n’est pas en mesure de le rendre. »