Mgr Follo, 2016 © courtoisie de la Mission du Saint-Siège à l'UNESCO

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Ce qu'il faut dire pour "comprendre et faire la volonté de Dieu", par Mgr Follo

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Et « servir la paix du Christ »

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« Pour comprendre et faire la volonté de Dieu il faut dire comme le petit Samuel: “Me voici, Seigneur, ton serviteur t’écoute” et, comme la Vierge Marie: “Me voici, qu’il m’advienne selon ta parole”, explique Mgr Francesco Follo dans ce commentaire des lectures de la messe de dimanche prochain, 18 août 2019 (XXe dimanche du temps ordinaire – Année C).
L’Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris, propose, comme  lecture patristique, un passage du commentaire de saint Ambroise (environ 340-397), évêque de Milan et docteur de l’Église, sur saint Luc.
 
Discerner le moment opportun (kairos) pour servir la paix du Christ
1) Le Feu
De l’enseignement du Pape François qui, commentant l’Évangile de ce dimanche, a parlé des images du feu, du baptême et de la division, je prends certaines de ses réflexions sur le feu, qui est celui de l’Esprit Saint. Ce feu est une force créatrice qui purifie et renouvelle. Il nous régénère et nous permet d’aimer. « Jésus veut que l’Esprit Saint brule dans nos cœurs. Nous avons besoin de l’Esprit Saint pour ne pas nous laisser retenir par la peur et le calcul… Grâce à ce feu nous sommes appelés à devenir des personnes au cœur dilaté et au visage joyeux » (Pape François, 18 aout 2013).
Très sagement, le Pape François parle du désir de feu, de lumière et d’amour que le Christ est venu apporter : c’est le feu de l’Esprit Saint qui descendra à la Pentecôte ; c’est le baptême de l’eau et du feu dont le Baptiste parle. C’est le feu du jugement de Dieu qui est son amour qui sauve le monde, donc Jésus a ce grand désir d’allumer le feu. En même temps, il se trouve affligé, parce que ce feu vient d’un baptême, d’une eau (l’eau est la mort) qui vient de la croix.
Mais si le feu de l’Esprit crée une communication d’amour, pourquoi le Rédempteur parle-t-il de division, en disant à ses disciples : « Croyez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre ? Non, je vous dis la paix, mais la division ». Et il ajoute : « Désormais, dans une maison de cinq personnes, ils se partageront trois contre deux et deux contre trois ; père contre fils et fils contre père, mère contre fille et fille contre mère, belle-mère contre belle-fille et belle-fille contre belle-mère » (Lc 12, 51-53). Même qui connaît très peu l’Évangile du Christ, sait que le message du Rédempteur est un message de paix par excellence. Jésus lui-même « est notre paix » (Ep 2, 14). Il est mort et est ressuscité pour abattre le mur de l’inimitié et inaugurer le Royaume de Dieu qui est amour, joie et paix. Donc, comment pouvons-nous expliquer ses paroles ? A quoi le Seigneur se réfère lorsqu’il dit qu’il est venu apporter – selon la rédaction de Luc – la « division », ou – selon Matthieu – l’ « épée » (Mt 10, 34) ?
Cette expression du Christ signifie que la paix qu’Il est venu apporter, n’est pas synonyme de la simple absence de conflit. Au contraire, la paix de Jésus est le fruit d’une lutte constante contre le mal. Le conflit que Jésus est déterminé à soutenir n’est pas contre les hommes ou les puissances humaines, mais contre l’ennemi de Dieu et de l’homme : Satan. Ceux qui veulent résister à cet ennemi tout en restant fidèles à Dieu et au bien doivent nécessairement faire face à des malentendus et parfois à de véritables persécutions. Par conséquent, ceux qui veulent suivre Jésus et s’engager sans compromis pour la vérité doivent savoir qu’ils rencontreront des oppositions et deviendront, malgré eux, un signe de division entre les personnes, même au sein de leur propre famille. L’amour pour les parents est en fait un commandement sacré, mais pour être vécu authentiquement, il ne peut jamais être mis avant l’amour de Dieu et du Christ. Ainsi, sur les traces du Seigneur Jésus, les chrétiens deviennent « instruments de sa paix », selon la célèbre expression de saint François d’Assise. Non pas d’une paix fragile et apparente, mais d’une paix réelle, poursuivie avec courage et ténacité dans l’engagement quotidien de vaincre le mal par le bien (cf. Rm 12, 21) et de payer en personne le prix que cela implique.
2) L’épée transformée en charrue
En parlant de  et d’épée, Jésus ne contredit pas son enseignement, qui était et qui est le message de paix par excellence. C’est lui qui « est notre paix » (Ep 2,14), il est mort et ressuscité pour abattre le mur de l’inimitié et inaugurer le Royaume de Dieu qui est amour, joie et paix.
En fait, Jésus-Christ voulait dire qu’il était venu apporter la guerre contre le mal, qui est offense, contre le malin qui tue l’âme et le corps, contre le monde qui suit le malin et devient un lieu de conflit permanent. Nous pouvons considérer ses paroles comme une déclaration de guerre à la guerre. Une guerre contre le mal, parce que la guerre humaine est un mal en surface, mais derrière, il y a le grand mal apporté par le diable [i], lui qui personnifie l’amour-du-néant.
Plusieurs siècles avant, le prophète Isaïe avait proclamé : « Ils briseront leurs épées pour en faire des socs et leurs lances pour en faire des serpes » (Is 2,4), ce que Jésus a accompli en devenant « Arator pacis » [ii], c’est lui le semeur, l’agriculteur qui met la main à la charrue, qui « divise », ouvre la terre pour qu’elle puisse recevoir la graine. Nous sommes la terre, si nous accueillons la semence qui vient de son côté transpercé, nous produirons non pas une herbe qui se dessèche aussitôt mais nous deviendrons avec lui et en lui un froment de vie.
Le fruit du travail de cet « Arator pacis » est la paix de l’amour, d’un amour qui non seulement se donne à nous, mais qui nous transforme en lui. Et de même que Dieu est vraiment l’amour qui nous aime, ainsi nous devenons l’amour qui aime ; transformés par lui, nous devenons amour, comme lui-même est l’amour! Et nous sommes dans sa paix.
Ceux donc qui veulent le suivre dans cette « opération-concorde »[iii] doivent faire la même chose et frapper la guerre dans son origine qui est l’amour propre, c’est-à-dire un amour désordonné de soi qui devient amour des richesses, orgueil de ce que l’on a, envie de celui qui a plus, mépris des pauvres.
Si l’évangile, au moins dans un premier temps, est cause de séparations et de discordes, ce n’est pas la faute de la vérité que l’évangile enseigne, mais cela vient du fait que cette vérité n’est pas encore aimée et pratiquée en vérité par nous autres chrétiens.
3) Soldats pour une guerre contre la guerre
Pour cette guerre contre la guerre, Jésus use d’une stratégie étrange quant au choix des soldats, aux moyens à utiliser et aux ordres (ce serait plus juste de parler d’indications, de paroles d’amour) à exécuter.
Pour faire la guerre à la guerre, le Seigneur de la paix a voulu choisir les soldats les plus faibles. Par un mystérieux dessein, il a choisi des personnes pauvres et considérées comme médiocres par l’opinion publique, pour que resplendisse encore davantage le prodige de la surhumaine victoire posthume.
À ces piètres soldats, le Christ n’a concédé ni bourse, ni besace, ni sandales et encore moins d’armes. En outre, il les a envoyés comme des agneaux au milieu des loups, comme des êtres bienfaisants au milieu de bêtes féroces, leur donnant l’ordre de ne pas se laisser dévorer et de rendre les dévoreurs d’agneaux doux comme leurs anciennes proies.
Les apôtres [iv] ont été fidèles à cet absurde sublime de celui qui les envoyait. Et, comme le Christ, ils ont apporté la paix et la guerre. En fait, il faut garder présent à l’esprit que si l’évangile, dans un premier temps, a été et est encore la cause de séparations et de disputes, ce n’est pas la faute des vérités que l’évangile enseigne, mais cela vient du fait que ces vérités n’étaient pas et ne sont toujours pas pratiquées par tous.
Ce que je désire souligner ici, c’est que l’accomplissement chrétien de la paix ne se réalise pas sur le plan social et politique, mais en direction de la profondeur du cœur.
Comment, alors, se réalise la bataille pour la paix dans le christianisme ? De même que le mal a envahi le monde par le péché des hommes et en les séparant de Dieu, ainsi la rédemption chrétienne réconcilie avant tout l’homme avec Dieu. Cette réconciliation ne peut se réaliser que dans le centre le plus intime de l’âme, là où seul l’homme peut à nouveau rencontrer Dieu dans le Christ. La paix, fruit de cette réconciliation avec le Christ, ne peut être qu’une paix intérieure qui irradie ensuite à l’extérieur vers le monde entier.
Si nous voulons être des soldats de paix, il est nécessaire et urgent de revenir à une pleine et vive conscience de la centralité du Christ. Jésus n’est pas une excuse pour parler d’autre chose et il doit revenir au centre de nos intérêts principaux et de toute expérience ecclésiale. Il doit aussi être en nous l’inspirateur déterminant et efficace de tout engagement religieux, ecclésial, culturel et social.
L’appartenance au Christ ressuscité, « centre du cosmos et de l’histoire », comme l’a écrit Jean-Paul II dans sa première et inoubliable encyclique Redemptor hominis, définit toute la compréhension de notre « sequela » comme chrétiens. Ainsi, tout geste naît en nous comme une réponse à l’avènement de Jésus de Nazareth et comme un désir de participer au but pour lequel il est entré dans le temps et dans l’espace du monde. Si l’on demandait à n’importe qui, au temps des évangiles : « As-tu entendu parler de Jésus ? » et si celui-ci, par la suite, le rencontrant sur les routes poussiéreuses de Palestine, lui avait demandé : « Mais toi, quel est ton nom, comment t’appelles-tu ? », Jésus aurait pu répondre : « Je suis l’envoyé (missus, en latin – apostolos, en grec) du Père ». Ces paroles définissent la nature nouvelle de notre existence régénérée par la rencontre avec le Christ. Nous avons été appelés à être, comme lui, « les envoyés, les envoyés du Père ».
Dans ce mandat « apostolique », on retrouve la forme de vie particulière des vierges consacrées qui répondent à la vocation à la virginité parce que le Christ est le centre affectif (et aussi rationnel) de leur vie et pour rappeler au monde entier que l’on vit pour le Christ. Vivre dans la consécration veut dire vivre sa vie en paix, parce que la nuit n’est plus la nuit, la mort n’est plus la mort et la virginité est un sacrifice pour être dans les bras aimants du Seigneur, auquel on s’abandonne totalement. Vivre la consécration virginale veut dire être comme Jésus « signe de contradiction » (Lc 2,34) et être, comme la Vierge Marie, des mères du Christ, des mères de l’homme nouveau.
Les vierges consacrées témoignent que nous sommes créés pour aimer et que notre véritable et réel bonheur est d’être « possédés » par le Christ, en qui le cœur humain peut reposer et être satisfait. Comme l’affirmait le cardinal John H. Newman [v] : « La foi peut rendre serein, mais l’amour nous rend heureux ».
 
Lecture patristique
Saint Ambroise (environ 340-397), évêque de Milan et docteur de l’Église
Traité sur Saint Luc, 12.49-53 – SC 52
« Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé ! »
Il nous a voulus vigilants, attendant à tout moment la venue du Seigneur Sauveur, de crainte que par relâchement, par négligence, en différant de jour en jour son travail, tel, devancé par le jour du jugement futur ou par sa propre mort, ne perde la récompense de sa gestion. Cela s’adressait à tous, sous forme de précepte général ; mais le thème de la comparaison suivante semble proposé aux économes, c’est-à-dire aux évêques, pour leur faire savoir qu’ils auront à subir plus tard un grave châtiment si, occupés aux plaisirs du siècle, ils ont négligé de gouverner la maison du Seigneur et le peuple à eux confié. Mais comme le profit est mince, et faible la richesse en mérites, quand c’est la crainte du supplice qui empêche de s’égarer, puisque la charité et l’amour ont une dignité supérieure, le Seigneur aiguise notre zèle à mériter sa faveur et nous enflamme du désir d’acquérir Dieu, en disant : « Je suis venu mettre le feu à la terre », non pas certes le feu qui consume les biens, mais celui qui produit la volonté bonne, qui rend meilleurs les vases d’or de la maison du Seigneur en consumant le foin et la paille (I Co, III, 12 ssq.), en dévorant toute la gangue du siècle, amassée par le plaisir mondain, œuvre de la chair qui doit périr ; ce feu divin qui mettait la flamme aux os des prophètes, comme le dit Jérémie le saint : « C’est devenu comme un feu ardent qui brûle dans mes os » (Jr XX, 9). Car il est un feu du Seigneur, dont il a été dit : « Un feu brûlera devant Lui » (Ps 96, 3). Le Seigneur également est un feu, comme Il dit Lui- même : « Je suis le feu qui brûle sans consumer » (Ex, III, 2; cf. XXIV, 17; Dt, IV, 24; He, XII,29) : car le feu du Seigneur est la lumière éternelle; c’est à ce feu que s’allument les lampes dont Il a dit plus haut : « Que vos reins soient ceints, et vos lampes ardentes. » C’est que, les jours de cette vie étant nuit, une lampe est nécessaire. Ce feu, Ammaùs 23 et Cléophas témoignent que le Seigneur l’a mis en eux aussi, quand ils disent : « N’avions-nous pas le cœur brûlant, sur la route, lorsqu’il nous dévoilait les Écritures » (Lc XXIV, 32) ? Ils ont ainsi enseigné avec évidence quelle est l’action de ce feu, qui éclaire l’intime du cœur. C’est pour cela peut-être que le Seigneur viendra dans le feu (cf. Is LXVI, 15; 16) : pour consumer tous les vices au moment de la résurrection, combler par sa présence les désirs de chacun, et projeter la lumière sur les mérites et les mystères.
[i] Le terme de « diable » vient du latin diabolus, traduction qui date de la première version de la Vulgate (traduction latine de la Bible, faite au Veme siècle après J.C.), du terme grec Διάβολος, diábolos, (« diviser », « celui qui divise », « calomniateur », « accusateur » ; du grec διαβάλλω, dia-bàllo, verbe formé de dia « à travers, par » et bàllo « je jette, je mets », donc je jette, je chasse à travers, je transperce, métaphoriquement je calomnie). En grec classique διάβολος était un adjectif qui dénotait quelque chose ou quelqu’un qui était un calomniateur et un diffamateur ; le terme était utilisé au IIIeme siècle après J.C. pour traduire, dans la traduction grecque de la Bible dite des « Septantes », le terme hébreu Śāṭān (« adversaire », « ennemi », « celui qui s’oppose », « accusateur en jugement », « contradicteur », rendu dans les écrits chrétiens par Satan et compris ici comme « adversaire, ennemi de Dieu »).
[ii] Arator, en latin, est littéralement « celui qui laboure », traduit souvent par « semeur ».
[iii] Il est d’usage dans l’armée de donner un nom aux campagnes de guerre et aux opérations militaires.
[iv] Du grec απόστολος, apóstolos: envoyé.
[v] Lorsqu’il fut créé cardinal, le bienheureux John Henry Newman (1801-1890), converti de l’anglicanisme, choisit pour devise « Cor ad cor loquitur » ( Le cœur parle au cœur). Ce fut un grand théologien et le fondateur des Oratoriens de Saint Philippe Neri, en Angleterre. Sa devise reprend les mots choisis pour ses armoiries lorsqu’il devint cardinal en 1879 ; elles sont de Saint François de Sales, pour lequel il avait une grande dévotion. Cette devise permet de pénétrer sa compréhension de la vie chrétienne, vue comme un appel à la sainteté, expérimentée comme le désir intense du cœur humain d’entrer en communion intime avec le cœur de Dieu.
 
 

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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