Mgr Follo, 2016 © courtoisie de la Mission du Saint-Siège à l'UNESCO

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La Providence de l’Amour, par Mgr Francesco Follo

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Commentaire des lectures de la messe du dimanche 26 février 2017

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« La Providence de l’amour », c’est le titre du commentaire que Mgr Francesco Follo propose pour comprendre les lectures de la messe de dimanche prochain, 26 février 2017 (VIIIème dimanche du Temps ordinaire – Année A: Isaïe 49, 14-15 ;  Psaume  61 ; 1 Corinthiens 4, 1 -5 ; Matthieu 5,38-48).
« Avec l’invitation à purifier les yeux de notre cœur pour apercevoir les signes de la Providence dans notre vie », précise l’Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris.
Mgr Follo propose aussi, comme lecture patristique, une catéchèse baptismale de saint Jean Chrysostome: né à Antioche entre 344 et 349, et mort en 407 près de Comana, il a été archevêque de Constantinople et c’est l’un des pères de l’Église grecque. Son éloquence est à l’origine de son surnom de « Chrysostome » (« bouche d’or »).
 
La providence de l’Amour
1) Providence pas Destin
Dans la 1ère lecture de la Messe de ce dimanche une phrase résonne qui est – – une des plus  touchantes de la Bible : Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite? N’a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles? Quand elle l’oublierait, Moi je ne t’oublierai point.» (Is 49,15). Cette assurance nous dit que Dieu est bon, que son amour miséricordieux est éternel et que sa fidélité n’a pas de fin. La liturgie d’aujourd’hui propose une page,  elle aussi envoûtante, de l’Evangile, où Jésus exhorte ses disciples à croire dans la providence du Père. Le Fils de Dieu nous assure que le Père, le sien et le nôtre, nourrit les oiseaux du ciel et habille les lys des champs et connaît chacune de nos nécessités (cf. Mt 6,24-34). Il nous dit donc fraternellement : « Ne vous préoccupez pas en disant : que mangerons-nous? Que boirons-nous? Quels vêtements porterons-nous?  Les païens vont à la recherche de toutes  ces choses. Votre Père céleste, en fait, sait que vous en avez besoin (Id. 6,31)
Si nous regardons seulement humainement,  nous voyons la misère de beaucoup de monde, provoquée par des désastres naturels ou par des conflits humains, par des maladies ou des injustices et ces paroles du Christ nous semblent sinon absurdes, du moins  peu réalistes. L’’Evangile, au contraire, nous offre les  paroles du Messie qui invite non pas au fatalisme mais à croire en la Providence. Certes, il faut comprendre que la foi en la Providence n’évite pas le dur travail fatiguant pour une vie digne mais libère  de l’essoufflement pour les choses et de la peur du lendemain.
Le Rédempteur révèle que notre vie, nos personnes, ne sont pas soumises au destin aveugle et capricieux qui – comme les anciens grecs et romains le pensaient – avance comme un char imposant qui porte les dieux, pendant qu’il traîne derrière lui les hommes qui lui sont liés par des chaines. L’humanité n’a plus qu’à marcher à la vitesse imposée par le destin. Qu’il ralentisse ou se rebelle, le destin  traîne inévitablement l’humanité. Cette conception du destin est celle que l’homme sans la foi chrétienne l’imagine : une force arbitraire à laquelle on ne peut que s’adapter. En s’incarnant et en remplissant sa mission rédemptrice, le Christ  se manifeste comme le bon visage du destin.
L’Ancien Testament révélait déjà que le Seigneur a créé toutes choses et que tout ce qui arrive, arrive dans l’ordre de la sagesse amoureuse de Dieu. Dieu a donné la liberté à l’homme afin qu’il agisse de sa propre volonté. Dieu a ainsi tissé l’existence dans le dessin de son amour, pour que resplendissent partout sa justice et sa bonté. Toutefois, l’homme est dévié de Dieu et a changé l’ordre de son amour dans l’image obscure du destin.
Le Nouveau Testament nous apprend que le Père révèle son visage dans le Christ, le Fils de Dieu, et commence une nouvelle oeuvre. Il a vaincu le destin et nous a montré sa providence dans les évènements. Maintenant, cette disposition doit être une disposition de son  amour pour nous tous. Ceci nous est donné comme consolation mais aussi comme devoir. Le message n’est pas une permission de laisser aller les choses avec indolence  ou de fermer les yeux devant leur gravité mais c’est un avertissement afin d’agir saintement. Le Règne de Dieu doit être pour nous la seule chose nécessaire, c’est pour cela que l’Evangile d’aujourd’hui nous demande de ne pas avoir deux patrons mais de chercher le Règne des Cieux avant tout et au-dessus toute chose.
Nos pensées et nos actions doivent viser à ce que le Règne de Dieu vienne et que sa justice soit accomplie. Nous pouvons alors être certains que tout, même les choses les plus obscures, nous est donné pour que nous nous sauvions. Quelle que soit l’expérience amenée par le destin, nous devons l’élever avec foi dans le cadre de la Providence divine, dépasser avec confiance notre ignorance  et collaborer avec amour à l’œuvre du Père.
C’est pourquoi, nous prions : « Aide-moi, Seigneur,  à illuminer la confusion des choses par la lumière de la foi et transformer avec une forte confiance la difficulté de tout ce qui pèse sur moi. Que ton Saint-Esprit puisse témoigner dans mon coeur que je suis réellement ton fils, et j’ai raison lorsque j’accepte tous les événements de ta main. Fais que,  dans la certitude de ton  amour, les questions auxquelles aucune sagesse humaine ne peut répondre, trouvent leur réponse. Le fait que tu m’aimes  est une réponse à chaque question – fais que je le sente lorsque je rejoins l’heure de la preuve. Amen (Romano Guardini).
2) Dieu Créateur, Père Providence
Tout au long de l’histoire de l’homme, dans la pensée des philosophes, dans les doctrines des grandes religions et dans les simples réflexions de l’homme de la rue, l’humanité a toujours été à la recherche des raisons pour comprendre, plutôt pour justifier l’action de Dieu dans le monde.
Comme réponse à  cette recherche, l’Eglise offre la doctrine de la Providence divine. C’est un enseignement de l’Eglise, qui n’est pas son invention, même si inspiré par des pensées humanitaires, mais du fait que Dieu s’est révélé ainsi:   dans l’histoire de son peuple Dieu a manifesté que son action créative et son intervention de salut étaient indissolublement unis, et faisaient partie d’un seul dessin projeté depuis toujours.
Donc, le premier document – non pas seulement  en ordre chronologique – le document le plus haut et le plus profond de la Providence de Dieu est la Bible, dans sa globalité. Dans les Écritures Saintes, il nous est révélé  que l’intervention de Dieu sur la nature est faite par la création et que l’intervention divine encore plus belle est  la rédemption, qui nous fait devenir de nouvelles créatures dans un monde renouvelé dans le Christ par l’amour de Dieu.
Déjà, l’Ancien Testament parle de Providence divine dans les chapitres sur la création et dans ceux plus spécifiquement dédiés à l’œuvre du salut, comme nous pouvons le voir  dans le livre le Genèse et dans les prophètes, spécialement en Isaïe, dans les psaumes appelés « du créé », dans les livres sapientiels, si attentifs à retrouver le signe de Dieu dans le monde.
Ensuite le Nouveau Testament nous révèle que notre Père qui est aux cieux est tout-puissant mais, en même temps, il est Providence et Miséricorde infinie : son cœur est proche de notre misère. Lorsque Jésus nous parle de la divine Providence dans l’Evangile, il nous parle d’un Père tendre, aimant, qui voit avec dévouement chaque détail de notre vie, même le plus petit qui soit : Deux moineaux ne sont-ils pas vendus pour un sou ? Or, pas un seul ne tombe à terre sans que votre Père le veuille. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Soyez donc sans crainte : vous valez bien plus qu’une multitude de moineaux (Mt 10,29-31).
A cet égard, même à l’intérieur d’une annonce de tendresse et sollicitude, on pourrait penser qu’il existe une antithèse entre Providence divine et liberté de l’homme. Au contraire, il existe un rapport de communion dans l’amour. La tradition de l’Eglise et la vie des saints en sont témoins.
Pour confirmer cela, je transcris la réponse que Sainte Teresa de Calcutta donna à un journaliste qui lui demandait : « Mère, vous mettez toujours l’accent sur la Providence Divine. Nous vivons dans un monde où tout est organisé. Que faire pour que la foi dans la Providence divine trouve en nous une place plus importante ? Mère Teresa répondit : « Si nous regardons la nature, nous voyons des millions d’oiseaux, des millions de fleurs merveilleuses, millions d’arbres splendides, et Dieu prend soin d’eux avec le soleil, avec la pluie, avec le printemps, avec l’hiver … si nous promettons à Dieu de donner tout notre coeur aux plus pauvres des pauvres, les choses changeront. Moi-même et mes soeurs nous ne recevons pas de salaire de l’Etat, aucune aide de l’Eglise, nous ne recevons rien de personne pour notre travail. Et pourtant, nous nous occupons de milliers et milliers de malades, de beaucoup d’enfants adoptés. Nous n’avons jamais dit : ‘Nous n’avons pas ou nous ne pouvons plus’. L’amour de Dieu a mis en mouvement une multitude de personnes qui partage avec nous ce qu’elles ont. Chaque jour, nous nourrissons environs 300.000 personnes dans le monde. Mais nous n’avons jamais dû repousser quelqu’un en disant : ‘Nous n’avons rien!’ C’est cela la Providence de Dieu, c’est l’amour délicat de Dieu ».
 3) Providence et les vierges consacrées dans le monde
Il est clair que l’enseignement chrétien sur la Providence, même en restant toujours vrai est valable pour tous. Il est pratiqué de façon différente selon les diverses vocations : les Missionnaires de la Charité, par exemple – mais ce n’est pas le seul exemple parce que d’autres personnes religieuses le font – pourront le suivre de façon plus radicale. Mais une mère de famille devra tenir compte de ses propres devoirs envers son mari et ses enfants. Dans chaque cas, le chrétien se différencie par la confiance absolue envers le Père céleste, comme pour Jésus. C’est la relation avec Dieu le Père qui donne un sens à toute la vie de Jésus, à ses paroles, à ses gestes de salut, jusqu’à sa passion, sa mort et sa résurrection. Jésus a démontré ce que signifie vivre avec les  pieds sur terre, attentifs aux situations concrètes du prochain et, en même temps toujours avoir le cœur dans le ciel, immergé dans la miséricorde de Dieu.
Cela vaut aussi pour ces consacrées pour qui Saint-Vincent de Paul écrivait en 1600 dans les règles pour « ses » Filles de la Charité : la fin (but) principale pour laquelle il a appelé et a réuni les Filles de la Charité est d’honorer Notre Seigneur Jésus Christ comme source et modèle de chaque Charité… elles considèreront qu’elles ne sont pas comme des moniales, n’ayant  comme monastère que les maisons des malades et celle où réside la supérieure, comme cellule une chambre louée, pour chapelle l’Eglise paroissiale, pour cloître les rues de la ville, pour clôture l’obéissance, en ne devant aller que chez les malades et dans les lieux nécessaires à leur service, comme « grille de clôture » la crainte de Dieu, pour voile la sainte modestie, et en ne faisant comme profession (pour d’assurer leur vocation) que celle de la constante confiance dans la divine Providence et de l’offrande de tout ce qu’elles ont et de tout ce qu’elle font pour le service des pauvres (Règles communes de la Compagnie des Filles de la Charité).
Les vierges consacrées dans le monde, avec leur vie personnelle, sont appelées à faire resplendir le visage de Jésus en elles, en rendant visible Sa présence dans le monde. Avec le cœur donné au Christ et libres de tout lien humain, elles s’approprient des angoisses des frères et servent le Christ, leur Epoux. (cf Rituel de consécration des vierges, N° 24 : Et toi, Dieu toujours fidèle, sois leur fierté, leur joie et leur amour ; sois pour elles consolation dans la peine, lumière dans le doute, recours dans l’injustice ; dans l’épreuve, sois leur patience, dans la pauvreté, leur richesse, dans la privation, leur nourriture, dans la maladie, leur guérison. En toi, qu’elles possèdent tout, puisque c’est toi qu’elles préfèrent à tout.)
Que le Seigneur puisse les (mais nous aussi)  aider à voir – dans les événements de chaque jour- la divine Providence qui est la raison de l’ordre (Cf. Summa Theologica, I, 22, 3 ss.; 103, 1 ss.; Sap. 14, 3; Prov. 8; etc.). La Providence est le reflet de la pensée de Dieu dans les choses et dans l’histoire. « Elle est la rationalité, sage et bonne, évidente ou cachée, dont tout le monde est imprégné » (Paul VI).
 
Lecture patristique: Saint Jean Chrysostome (347 – 407)
Catéchèses baptismales, 8, 19-20.23-25 (SC 50, 257-260)
Si vraiment nous donnons la première place aux réalités spirituelles, nous n’aurons pas à nous préoccuper des biens matériels, car Dieu, dans sa bonté, nous les procurera en abondance. Si, au contraire, nous veillons uniquement à nos intérêts temporels sans prendre soin de notre vie spirituelle, le souci constant des choses terrestres nous conduira à négliger notre âme. Nous perdrons alors les biens spirituels et n’en retirerons aucun avantage matériel.
Ne renversons donc pas, je vous en prie, l’ordre des choses. Connaissant la bonté de notre Maître, nous lui ferons confiance en tout et ne nous laisserons pas accabler par les soucis de cette vie. Sans aucun doute, celui qui, par son amour, nous a amenés du néant à l’être nous fera encore plus sûrement bénéficier à l’avenir de toute sa providence. Votre Père céleste sait que vous avez besoin de tout cela (Mt 6,32) avant même que vous l’ayez demandé (Mt 6,8).
Jésus veut donc que nous soyons libres de tout souci temporel et que nous nous consacrions totalement aux oeuvres spirituelles. « Cherchez donc, nous dit-il, les biens spirituels et je pourvoirai moi-même amplement à tous vos besoins matériels.  Regardez les oiseaux du ciel, ils ne font ni semailles ni moisson, ils ne font pas de réserves dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit (Mt 6,26).
Autrement dit: « Si je prends un tel soin des oiseaux sans raison et que je leur procure tout ce dont ils ont besoin, sans semailles ni labour, je veillerai d’autant mieux sur vous, qui êtes doués de raison, pourvu que vous choisissiez de préférer le spirituel au charnel. Puisque je les ai créés pour vous, ainsi que tous les autres êtres, et que j’en prends tant de soin, de quelle sollicitude ne vous jugerai-je pas dignes, vous pour qui j’ai fait tout cela? »
Mettons donc notre confiance, je vous en prie, en la promesse de Dieu et dirigeons toutes nos pensées vers les désirs spirituels. Considérons tout le reste comme secondaire par rapport à la jouissance des biens futurs.
Puissions-nous tous les obtenir par la grâce et l’amour de notre Seigneur Jésus Christ, à qui soient, avec le Père et le Saint-Esprit, gloire, puissance, honneur, maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles. Amen.
 

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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