Mgr Follo, 2016 © courtoisie de la Mission du Saint-Siège à l'UNESCO

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L’Hospitalité à donner à Dieu, par Mgr Francesco Follo

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Commentaire des lectures du dimanche 17 juillet 2016

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« L’hospitalité » : c’est le titre de la réflexion de Mgr Francesco Follo, Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris, sur les lectures de la messe de dimanche prochain, 17 juillet 2016 (XVI ème Dimanche du Temps Ordinaire – Année C – 17 juillet 2016 ; Gn 18,1-10; Ps 14; Col 1,24-28; Lc 10,38-42).
« Le thème principal de la liturgie de ce dimanche est l’hospitalité à donner à Dieu », souligne-t-il notamment : « le texte de l’évangile parle de l’accueil que deux femmes réservent au Fils de Dieu, et la première lecture d’aujourd’hui, tirée du livre de la Genèse, raconte la rencontre d’Abraham avec trois personnages, au chêne de Mambré,  à Hébron ».
« Le Christ est l’hôte auquel il faut faire de la place dans son propre coeur, ajoute Mgr Follo. C’est ce que Jésus désire plus de tout.  C’est pour cela qu’Il doit être honoré et servi avec l’écoute de sa Parole ».
1) Un contraste apparent
L’Evangile de dimanche dernier se terminait avec la phrase : « Vas  et toi aussi fais de même » que Jésus avait dite à l’expert de la Loi après avoir raconté la parabole du Samaritain.
Le passage de l’Evangile de ce dimanche raconte la visite de Jésus à la maison de Marthe et Marie et se termine avec cette  phrase que Jésus dit à Marthe : « Marie s’est choisi la meilleure part qui ne lui sera pas enlevée ». Beaucoup de commentateurs ont interprété ces mots comme une confirmation – de la part de Jésus – que la vie  des monastères est supérieure à la vie active de ceux qui témoignent de Jésus dans le champ du monde.
Limiter ces mots en opposant la vie active dans le monde (Marthe) et la vie contemplative dans le monastère, (Marie), signifie les réduire. La perspective est plus ample et touche deux comportements qui doivent faire partie de la vie de chaque disciple : l’écoute et le service. La tension n’est pas entre l’écoute et le service mais entre l’écoute et le service qui distrait. En effet, la prière ne s’oppose pas à l’occupation mais à la préoccupation.
Après la grande parabole du Samaritain, commencée grâce à la demande du docteur de Loi sur ce qui est nécessaire de « faire » pour avoir la vie éternelle, Jésus développe son enseignement en disant que la meilleure partie n’est pas tant de faire de belles choses et de les faire avec amour mais d’« être » dans un rapport d’amitié profonde où l’on se  donne et où l’on contemple  l’Ami en se laissant prendre par lui pour accueillir ses paroles de vie éternelle.
            2) Donner l’hospitalité à Dieu.
Donc, je pense qu’il est correct de dire que le thème principal de la liturgie de ce dimanche est l’hospitalité à donner à Dieu. En effet, le texte de l’évangile parle de l’accueil que deux femmes réservent au Fils de Dieu, et la première lecture d’aujourd’hui, tirée du livre de la Genèse, raconte la rencontre d’Abraham avec trois personnages, au chêne de Mambré,  à Hébron :  elle relate  la rencontre de ce patriarche avec le Seigneur.
Abraham ne sait pas qu’il va rencontrer Dieu. Le texte ne dit pas tout de suite que les trois voyageurs s’identifient avec le Seigneur.
Abraham est assis sur le seuil de sa tente, dans une attitude de veille. En effet, dans le texte de l’Ancien Testament, il est écrit : « Il leva les yeux, regarda : voilà,  trois hommes étaient debout non loin de lui. Il les vit et courut à leur rencontre ».
Abraham agit avec spontanéité : il court vers eux et les honore. Il leur offre de l’eau pour se laver, de la nourriture et leur dit : « Donnez courage à votre cœur ». Ensuite, il leur prépare le repas : c’est le début de l’hospitalité donnée à l’Autre.
D’une part, il invite : « Si j’ai trouvé la grâce à tes yeux, ne passe pas sans t’arrêter ». Cette invitation est une question que nous aussi, nous devons apprendre à poser pour rencontrer Dieu, notre vie et les frères.
D’autre part, la réponse de l’invité est surprenante : « Je retournerai chez toi dans un an et alors, Sara, ta femme, aura un enfant ».
Chaque rencontre  est une promesse surprenante et incroyable, au moins pour Sara. La femme d’Abraham « riait  en elle-même » car elle pensait que ce que nous ne pouvons pas gérer ne se réalise pas. Au contraire, c’est n’est pas comme ça : rien n’est impossible à Dieu, la vie fleurit avec lui. L’important est d’accueillir Dieu.
3) Etre disciples pour donner l’hospitalité au Christ
Le passage de l’évangile d’aujourd’hui nous présente l’hospitalité offerte par Marthe et Marie à Jésus.
Saint Luc a inséré ce passage après la parabole du bon Samaritain (évangile de dimanche dernier) pour éclairer davantage la façon dont Jésus entend l’amour de Dieu et du prochain. L’épisode de  Marthe et Marie est également lié à l’épisode qui suit, qui sera lu dimanche prochain et qui concernera de l’enseignement de Jésus sur la prière.
L’Evangéliste Luc  construit ainsi une chaîne de trois anneaux qui présentent trois aspects inséparables, constitutifs  de la vie du disciple de Jésus : l’amour de Dieu et du prochain, l’écoute de la Parole de Dieu, la prière.
En soi, le passage de l’évangile dit : « Une femme nommée Marthe accueillit Jésus dans sa maison ». Le nom « Marta » signifie « maîtresse de maison ». Face à son invité, cette maîtresse de maison assume un rôle traditionnellement féminin : très occupée, elle prépare la table.
Marie, au contraire, s’entretient avec l’invité en assumant un rôle que la mentalité de l’époque réservait aux hommes. Marie, assise aux pieds de Jésus, écoutait sa parole.
Marie a donc le comportement habituel d’un disciple envers son maître. Et cela, c’est une nouveauté. En effet les rabbins n’avaient pas l’habitude d’avoir des femmes comme disciples car c’était réservé aux hommes. Pour Jésus, ce n’est pas ainsi : les femmes aussi sont appelées à l’écoute et à être des disciples.
Le Christ est l’hôte auquel il faut faire de la place dans son propre coeur. C’est ce que Jésus désire plus de tout.  C’est pour cela qu’Il doit être honoré et servi avec l’écoute de sa Parole. C’est ce que Marie fait. La soeur de Marthe  est décrite dans l’évangile de Saint  Luc comme le comportement typique du disciple, qui est, par définition, « celui qui écoute », tant dans l’Ancien que dans le Nouveau Testament.
Ce sera la parole elle-même qui agira dans le cœur de celui qui l’accueille et qui lui indiquera les temps et les modes de « service »,  de vrai service tant envers le Seigneur,  qu’envers le prochain. La preuve de tout cela est donnée par l’absence d’essoufflement (celui de Marthe), parce que le disciple qui écoute repose dans la certitude que Dieu est à l’œuvre. Il sait que, si Dieu prend soin de l’herbe du champ qui pousse  aujourd’hui et que l’on brûlera demain, Il aura d’autant plus soin de  l’homme, sa créature bien aimée.
Nous trouvons la synthèse parfaite entre Marie et Marthe auprès de la Vierge Marie qui fut le premier et éminent disciple du Christ. Saint Augustin écrivit en privilégiant l’attitude de foi de Marie qui est motif de sa maternité divine : « Pour Marie, il est plus important d’être disciple du Christ que Mère du Christ » (Sermon 25,7) et Saint Maxime  le  confesseur ajouta : « La Sainte Mère devint disciple de son doux fils, vraie mère de la sagesse et fille de la sagesse parce qu’ elle ne le regardait plus humainement ou comme un simple homme mais elle le servait avec respect comme Dieu, et accueillait ses paroles comme les paroles de Dieu » (AA.VV. , Texte mariaux du premier millénaire, Rome 1989, 2, 232.)
Cet exemple est suivi  de façon particulière par les vierges consacrées dans le monde qui sont appelées à vivre leur vocation en fixant leur regard sur le Christ, du berceau de Bethléem à la croix de Jérusalem pour ensuite regarder le monde dans lequel elles vivent avec les yeux du Christ. Jésus est « l’époux avec nous » (Mt 9,15).
A travers son sang, le Christ génère une nouvelle humanité. L’Eglise est aimée par le Christ avec transport nuptial : elle vit dans son amour, en intimité totale avec Lui. De sa part, l’Eglise aime le Christ  avec le coeur d’une épouse. Sa vie d’ « épouse du Christ » est désormais cachée avec le Christ en Dieu (Col 3,3). Ou encore  » la nouvelle Jérusalem ornée comme une épouse prête à aller à la rencontre de l’époux »(Ap 21,2).Tous les baptisés participent à la noce de l’Eglise dont les vierges consacrées en sont des témoins constants.
 
Lecture Patristique
Saint Bruno de Segni (+1123)
Commentaire sur l’évangile de Luc, 1, 10
PL 165, 390-391
Toutes les actions de notre Sauveur sont remplies de significations symboliques. Ce qu’il faisait en tous lieux avait valeur de signe. Ainsi accomplit-il toujours dans la sainte Église les actions visibles qu’il a faites en ce temps-là dans la bourgade de Béthanie. Le Seigneur Jésus entre donc chaque jour dans la bourgade de l’Eglise. Il ne dédaigne pas de la visiter continuellement. Marthe l’y accueille et le fait entrer dans sa maison.
Voyons donc ce que Marthe symbolise, de même que Marie. Chacune d’elles est vraiment le signe de quelque chose d’important, puisqu’à elles deux, elles constituent toute l’Église. Marthe symbolise la vie active, Marie la vie contemplative. Voilà pourquoi, d’après ce que dit l’Écriture, c’est Marthe, et non Marie, qui reçut le Christ dans sa maison.
Marie, en effet, n’a pas de maison, car la vie contemplative entraîne le renoncement à tous les biens de ce monde. Le contemplatif ne demande rien d’autre que de s’asseoir aux pieds du Seigneur, et de consacrer tout son temps à lire les Livres saints, à prier et à contempler Dieu. Il lui suffit encore d’écouter sans cesse la parole de Dieu et d’alimenter son âme plutôt que son corps. Telle a été la vie des prophètes, des Apôtres et de beaucoup d’autres: ils ont tout abandonné, ils ont fui le monde et se sont attachés à Dieu, eux qu’on croyait démunis de tout, et qui possédaient tout (2Co 6,10). Il n’y a que les hommes de bien qui mènent ce genre de vie.
Quant à la vie active, les bons et les méchants peuvent la mener. On l’appelle du reste « vie active » parce qu’elle est faite d’activités incessantes, de fatigues et de tâches sans fin, et qu’elle ne laisse presque aucune place à un moment de tranquillité. Mais nous ne parlons pas de cette espèce de vie active qui occupe les malfaiteurs, agite les tyrans, séduit les cupides, tourmente les adultères et incite tous les méchants à commettre de mauvaises actions. Comme nous ne parlons que de cette Marthe, soeur de Marie, nous ne parlons en réalité que de la vie active qui se rapproche le plus de la vie contemplative.
Cette sorte de vie active est pure, exempte de péché et très proche, en effet, de la vie contemplative. Que l’Apôtre prêche, qu’il baptise, qu’il travaille de ses mains pour vivre, qu’il parcoure les villes et qu’il se soucie de toutes les Églises, cela ne relève-t-il pas de la vie active? Ainsi le même évangile dit-il, en parlant de Marthe, qu’elle était accaparée par les multiples occupations du service (Lc 10,40). Du reste, nous voyons encore aujourd’hui des chefs et ministres de l’Église s’affairer à courir partout, se fatiguer, se démener, se donner beaucoup de peine pour subvenir de multiples façons aux besoins de leurs frères, si bien que nous pouvons dire à juste titre qu’eux aussi sont accaparés par les multiples occupations du service.
La vie contemplative est donc meilleure que la vie active, pour la raison qu’elle est exempte de soucis et ne cessera jamais. Cependant la vie active est à ce point nécessaire que, sans elle, la vie contemplative elle-même ne peut exister ici-bas.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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