Le cardinal Ratzinger était en effet « titulaire » de « Nostra Signora Consolatrice ».
Il y venait régulièrement, en particulier pour des baptêmes, des confirmations, les mois de Marie et des fêtes mariales, lorsqu’il ne devait pas être auprès de Jean-Paul II pour les liturgies pontificales, ou par exemple le Mercredi des Cendres.
C’est ce qu’ont confié mercredi, à la télévision italienne RAI 1 – dans une émission de l’après-midi intitulée « la vie en direct » -, des paroissiens qui se déclarent tous « heureux » et « fiers », comme des Bavarois, de voir « leur » cardinal devenu pape.
Les mots qui revenaient le plus souvent dans les témoignages sont « affabilité », un « visage doux », parfois « un peu timide », il aime aussi « plaisanter », ils sont contents qu’il ait été pour Jean-Paul II cet « amico fidato » « ami de toute confiance », dont Jean-Paul II parle dans son livre « Levez-vous, allons ! ».