Mgr Follo, 2016 © courtoisie de la Mission du Saint-Siège à l'UNESCO

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La foi, un don à faire grandir et à partager, par Mgr Follo

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« La foi naît d’une rencontre et grandit dans le partage »

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Mgr Francesco Follo, Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris (France), invite « à comprendre que la foi naît d’une rencontre et grandit dans le partage », dans ce commentaire des lectures de la messe de dimanche prochain,  6 octobre 2019 (XXVIIe Dimanche du Temps Ordinaire – Année C).
Comme lecture patristique il propose un sermon de saint Augustin d’Hippone : « Le principe d’une vie sainte, de la vie qui mérite l’éternelle vie, est la vraie foi ».
AB
Foi: un don et une responsabilité
1) Un « supplément » de foi.
En ce XXVIIème dimanche du temps ordinaire de l’année liturgique, l’Evangile nous propose de réfléchir sur le don de la foi. C’est vrai que la source de la foi demeure en Dieu et que la foi est un don de Dieu. Mais il est aussi vrai qu’on répond à ce don avec la gratitude qui « est toujours une arme puissante » (Pape François)
Notre merci n’est pas simplement un acte de courtoisie, il est une réponse personnelle de totale disponibilité à la volonté de Dieu.
Mais, pourquoi même en ayant accueilli ce don et en y ayant donné une réponse positive, les Apôtres demandent aujourd’hui à Jésus: « Seigneur, augmente notre foi » (Lc 17, 5) ? C’est à cause des demandes radicales du Rédempteur qui fait jaillir la demande d’un « supplément » de foi de l’esprit de ses disciples. Par exemple, le Messie exige que nous devions accorder « un pardon sans mesure » (Lc 17, 4). Face à cette requête que le Christ met comme condition pour être disciples, les Apôtres (et nous avec eux) découvrons la petitesse de notre foi, notre incapacité à comprendre la validité d’un tel discours et, surtout, notre incapacité à traduire la foi en vie concrète.
La foi, c’est se confier totalement à Dieu, c’est accepter un projet calculé, élaboré sur la puissance de Dieu et non pas sur la nôtre. O ne mesure plus les possibilités à partir de nous-mêmes, mais à partir de l’amour de Dieu pour nous.
Nous sommes appelés à cela: grandir dans la foi, nous ouvrir et accueillir avec liberté le don de Dieu,
Si avec insistance nous demandons au Christ d’augmenter notre foi, de nous aider à marcher pleins de confiance avec Lui, le Maitre, le Frère et Ami divin, la foi nous ouvre alors à connaitre et à accueillir la réelle identité de Jésus, sa nouveauté et son unicité, sa parole comme force et source de vie pour vivre une relation personnelle avec Lui.
La connaissance de la foi grandit avec le désir de trouver le chemin. Elle est un don de Dieu qui se révèle à nous, mais pas comme une entité abstraite sans visage et sans nom. La foi répond à une Personne qui veut entrer en relation d’amour profond avec nous et impliquer toute notre vie.
Pour cela, chaque jour notre cœur doit vivre l’expérience de la conversion, le désir de connaître davantage, de trouver notre pain de vie. Chaque jour, nous devons passer d’hommes repliés sur nous-mêmes à des hommes ouverts à l’action de Dieu, à des hommes spirituels qui se laissent interpeller par la Parole du Seigneur et ouvrent leur vie à son Amour. « La foi dans le Christ nous sauve parce qu’avec Lui notre vie s’ouvre d’une manière radicale à l’Amour qui nous précéde et nous transforme de l’intérieur, qui agit en nous et avec nous » (Pape François, Lumen fidei, n. 20).
Donc, chaque jour, nourrissons notre foi en écoutant profondément la Parole de Dieu, en célébrant les sacrements, en priant personnellement comme un cri à Lui et par charité envers notre prochain, car la foi, dans la mesure où elle est liée à la vérité de l’amour, n’est pas étrangère à la vie « matérielle » et à nos liens et affections terrestres. La lumière de la foi est une lumière incarnée, qui procède de la vie lumineuse du Christ (cf. Ibid., n. 34).
Enfin, n’oublions pas que la foi ne nous est pas donnée pour la garder, mais pour la communiquer ; elle n’est pas gardée et elle ne grandit pas, si nous n’avons pas la passion de la communiquer, de la partager.
2) Une question de qualité, pas de quantité.
Outre le fait de nous proposer le thème de la foi, la Parole de Dieu qui est proposée ce dimanche indique que l’annonce missionnaire a ces caractéristiques fondamentales : la ténacité et l’humilité.
En effet, Jésus indique clairement à ses apôtres que le chemin – à parcourir pour être missionnaires avec lui et derrière ses pas – doit être fait avec une foi tenace et une humilité qui se met gratuitement au service de l’annonce de la joyeuse et amoureuse vérité évangélique : le Règne de Dieu est la Miséricorde du Père.
Les disciples font la demande de mettre leurs vies dans les mains du Rédempteur, pour servir l’amour du Christ, ils se sentent inadaptés et demandent à Jésus : « Seigneur, augmente notre foi » (Lc 17,5).
En comparant le grain de moutarde et du mûrier que les tempêtes ne peuvent arracher de la terre parce qu’ils sont enracinés de façon tenace, Jésus veut nous apprendre qu’il ne faut pas avoir autant de foi que l’on imagine. Il en faut peu, pourvu qu’elle soit vraie. Eh bien, un petit bout de vraie foi, peut arracher cette plante, parce que le peu de foi est plus forte que beaucoup de racines.
En développant la comparaison, nous pouvons dire que la foi est un enracinement en Dieu. C’est un enracinement de qualité et non de quantité, d’authenticité et non d’effort.
Cette confiance authentique envers lui s’unit à l’acceptation d’un projet calculé sur les possibilités de Dieu et non sur les nôtres.
Après l’enseignement « non sur la quantité mais sur la force de la foi » (il n’en faut qu’un petit bout pour déraciner un arbre), voici une parabole (Lc 17, 7-10) qui n’est certainement pas privée, à première vue, de conséquences agaçantes.
Peut-être que Dieu se comporte comme certains patrons insatisfaits, qui, demandent et prétendent toujours, et qui ne laissent pas un moment de paix à leurs serviteurs qui doivent être toujours à disposition de leur patron?
Non. Avec une façon un peu paradoxale mais claire de parler, Jésus enseigne que la force de l’Evangile réside dans le fidèle service de ceux qui ont accepté l’amour de Dieu, qui se sont enraciné dans le Fils et qui partagent le Verbe fait Chair dans la docile puissance de l’Esprit. La foi permet un savoir authentique sur Dieu qui implique toute l’humain : c’est un « savoir », une connaissance qui donne goût à la vie, un nouveau goût d’exister, une manière heureuse d’être au monde. La foi s’exprime dans le don de soi pour les autres, dans la fraternité qui rend solidaire, capable d’aimer, sans calculs et sans prétentions : humblement.
Dans l’Evangile d’aujourd’hui, Jésus nous dit à nouveau : « Lequel d’entre vous, quand son serviteur vient de labourer ou de garder les bêtes, lui dira à son retour des champs : ‘viens vite à table?’ Ne lui dira-t-il pas plutôt : prépare-moi à dîner, mets-toi en tenue pour servir, le temps que je mange et je boive. Ensuite tu pourras manger et boire à ton tour ? Sera-t-il reconnaissant envers ce serviteur d’avoir exécuté ses ordres? De même, vous aussi, quand vous aurez fait tout ce que Dieu vous a commandé, dites-vous : nous sommes des serviteurs quelconques : nous n’avons fait que notre devoir » (Lc 17,7-10).
Comme on peut le voir, Jésus est très clair avec ses apôtres (et aujourd’hui avec nous). Il précise qui est le Seigneur et qui est le serviteur, quels sont les critères à adopter pour exécuter les ordres, quelle récompense est destinée à celui qui fait son service.
N’oublions pas que dans la dernière cène, Jésus a exactement fait le contraire des patrons de la terre. Lui, le Seigneur du Ciel, invita et invite à table les serviteurs, devenus ses amis, et qui, étonnés, se laissent laver les pieds par lui, l’Ami et Seigneur.
Ceci est l’Amour incroyable de Dieu pour nous.
          3) Le foi est missionnaire      
Voilà pourquoi :
– « La foi naît de la rencontre avec le Dieu vivant qui nous appelle et nous dévoile son amour, un amour qui nous précède et sur lequel nous pouvons nous appuyer pour être solides et construire la vie » (Pape François, Lumen Fidei, n 4): un Amour qui nous lave même les pieds et qui nous demande de le porter dans le monde entier comme missionnaires de la Charité.
– La foi, c’est se confier à Dieu, à sa parole, se laisser guider sur les chemins obscures et inaccessibles de l’existence. Donc, en tant que missionnaires de la Vérité, nous devons l’apporter à tous les hommes pour qu’ils sachent qui mérite la confiance et qui donne un sens à la vie.
–  La foi, c’est savoir que le Père est à l’origine de tout, qu’il nous a tirés du néant par amour. Nous sommes venus au monde par erreur, sans que personne ne nous ait voulus, ni prévus. Nous ne sommes pas à la merci d’un cas glacial et aveugle : nous sommes dans les mains d’Un qui nous veut du bien et ne nous abandonne jamais, « celui qui veut que tous les hommes soient sauvés et arrivent à la connaissance de la vérité » (1 Tm 2,4). Le but pour lequel Lui est venu, le Christ lui-même l’a déjà défini : « La vie éternelle, c’est de te connaître, toi, le seul Dieu, le Vrai Dieu, et de connaître celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ». (Jn 17, 3-4).
– La foi est la lumière qui permet de voir les choses avec les yeux du Christ, de juger les idées et les évènements de son enseignement, de devenir capable d’une nouvelle façon d’aimer les autres qui est la même façon limpide et désintéressée avec laquelle Lui les aime.
La force de l’annonce de l’évangile ne réside pas dans l’élaboration de nouvelles stratégies d’impact médiatique dans le nord du monde ou dans le projet d’interventions humanitaires dans le sud de la terre. La force de l’évangélisation est dans notre être missionnaire, que nous agissons humblement avec la conscience de qui sait « serviteur inutile » , je traduirais : serviteur qui travaille gratuitement, mais qui, conscient d’ être comme le levain caché dans la farine ou comme le petit grain de moutarde, non différent d’ un grain de sable , même ayant en soi une énergie vitale, si grande, qu’ elle donne origine à un arbre dont les frondes deviennent refuge et réconfort aux moineaux qui fuient la tempête de la vie.
– La foi, c’est se rendre compte que le Saint Esprit, que le Seigneur nous a envoyé, agit dans nos cœurs, nous aide à distinguer le bien du mal, nous pousse à marcher dans le droit chemin, nous induit à nous comporter – dans un monde litigieux et dur- comme des hommes de miséricorde et de paix. Le but de la foi qui nous est donnée, est la mission : et la mission n’est pas pour « l’Au-delà » mais pour « l’Au-d’ici ».
– La foi est la conviction que la joie nous est donnée pour appartenir à l’Eglise, Epouse et Corps du Christ, Famille des fils de Dieu et lieu certain, solide et sûr dans la rencontre avec le Père.
Rien n’est plus décisif pour l’homme, de plus gratifiant et de plus raisonnable que la vertu
théologale de la foi. Rien n’est plus précieux de devenir l’objet de notre prière et de notre mission d’évangélisateurs et d’évangélisatrices.
A cet égard, les Vierges consacrées sont appelées a annoncer l’évangile comme l’indique l’Instruction Ecclesiae Sponsae Imago sur l’Ordo Virginum au n° 39 propose : « Le don à l’Église se manifeste dans la « mission d’illuminer, d’éclairer, de bénir, de vivifier, de soulager, de guérir, de libérer », dans la passion d’annoncer l’Evangile, d’édifier la communauté chrétienne et de témoigner prophétiquement de la communion fraternelle, de l’amitié offerte à tous, de la proximité attentionnée envers les besoins spirituels et matériels des hommes de leur temps, de l’engagement dans la poursuite du bien commun de la société … Attentives à saisir les appels qui viennent du contexte où elles vivent, et promptes à mettre à la disposition du Seigneur les dons qu’elles ont reçus de lui, elles sont appelées à donner leur propre contribution pour renouveler la société selon l’esprit de l’Evangile en acceptant, sans ingénuité ni réductionnisme, de s’engager dans l’élaboration culturelle de la foi, et en faisant leur la prédilection de l’Église pour les pauvres, les souffrants et les marginaux ».
Lecture patristique
Saint Augustin d’Hippone (354 -430)
Sermon XLIII
1. Le principe d’une vie sainte, de la vie qui mérite l’éternelle vie, est la vraie foi. Or la foi consiste à croire ce qu’on ne voit pas, et la récompense de cette même foi est de voir ce qu’on croit. Le temps de la foi est donc comme le temps des semailles ; employons ce.temps à semer, semons, semons, sans nous lasser, semons toujours, semons jusqu’à ce que nous récoltions ce que nous avons semé.
Le genre humain s’était éloigné de Dieu et gisait dans ses iniquités ; pour revivre il nous fallait un Sauveur, comme il nous avait fallu un Créateur pour vivre. Dieu dans sa justice avait condamné l’homme, il le délivra dans sa miséricorde. « Le Dieu d’Israël donnera lui-même « à son peuple la vertu et la force : qu’il en soit béni (2). » Mais pour recevoir ces dons il faut croire ; le dédain les éloigne.
2.Gardons-nous néanmoins de nous glorifier de la foi, comme si par nous-mêmes nous pouvions quelque chose pour elle. La foi en effet n’est pas rien, elle est quelque chose de grand, et nul ne la possède que sûrement il ne l’ait reçue. « Qu’as-tu effectivement que tu ne l’aies reçu (3) ? » Voyez donc, mes bien-aimés, si vous ne devez pas en rendre grâces au Seigneur notre Dieu : prenez garde de vous montrer ingrats pour aucun de ces bienfaits, cette ingratitude vous ferait perdre ce que déjà il- vous a accordé. Non, je ne puis louer dignement la foi, les fidèles cependant peuvent s’en faire une idée Or si on s’en fait une idée exacte sous quelque rapport seulement, à combien de dons même divins ne doit-on pas la préférer ? Et s’il est vrai que nous devions reconnaître en nous les moindres bienfaits de Dieu, comment oublier le bienfait qui surpasse tous les autres ?
3. A Dieu nous sommes redevables d’être ce que nous sommes : à quel autre devons-nous de n’être pas entièrement rien ? -Mais les bois et les pierres sont aussi quelque chose n’est-ce pas également à Dieu qu’ils en sont redevables ? Qu’avons-nous alors de plus qu’eux? — Ils n’ont pas la vie, tandis que nous la possédons. — Mais la vie même nous est commune avec les arbres et les végétaux. On parle en effet de la vie de la vigne. De fait, si elle n’était pas vivante, il ne serait pas écrit : « Il a tué leurs vignes par la grêle (4). » Elle vit donc quand elle verdit et en se desséchant elle meurt. — Mais cette sorte de vie est dépourvue de sentiment.Et nous ? — Nous sentons. On connaît les cinq sens corporels : nous voyons, nous entendons, nous flairons, nous goûtons et le tact répandu dans tout notre corps nous aide à discerner ce qui est mou et ce qui est dur, ce qui est âpre et ce qui est poli, ce qui est chaud et ce qui est froid. — Oui, nous avons cinq sens : mais des animaux les possèdent également.
Il y a certainement en nous quelque chose de plus ; et toutefois; mes frères, si nous considérions déjà les dons que nous venons d’énumérer, quelles actions de grâces, quelles louanges de nous faudrait-il pas élever vers le Créateur ? Mais enfin quel est ce plus qui nous distingue’ des animaux? L’intelligence, la raison, le discernement ; car ils n’appartiennent ni aux quadrupèdes, ni aux oiseaux, ni aux poissons, et c’est dans ces facultés que brille en nous l’image de Dieu.
NOTE

  1. Is. VII, 9, sel. les Lxx. – 2. Ps. LXVII, 36. – 3. I Cor. IV, 7. – 4. Ps. LXXVII, 47,

 

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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