Mgr Francesco Follo, 17 déc. 2018 © Mgr Francesco Follo

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L’amour fait des miracles, par Mgr Follo

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Méditation sur les lectures du dimanche 20 janvier 2019

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« L’amour fait des miracles: l’eau transformée en vin à Cana[1], le vin transformé en sang à Jérusalem. » C’est le titre de la méditation de Mgr Francesco Follo, sur les lectures du 20 janvier 2019, IIème Dimanche du Temps ordinaire (Année C  – Is 62,1-5; Ps 95; 1Cor 12,4-11; Jn 2,1-12
« Le premier miracle de Jésus, par l’intercession de Sa Mère, est un miracle de joie afin que la sérénité de la vie ne vienne pas à manquer, parce que cette vie se déroule sous les yeux du Père qui pourvoit, qui a créé le ciel et la terre et la multitude des choses et des êtres qu’ils contiennent : Dieu est d’une générosité étonnante », souligne l’observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO à Paris.
Et d’ajouter : « Le miracle de l’eau transformée en vin est un signe miraculeux, simple et stupéfiant de l’amour terrien transformé en amour céleste. »
1) Un miracle pour la joie de vivre.
Le fait que le premier miracle de Jésus soit dû à l’intercession de Sa Mère n’est pas un hasard.  Ce premier miracle a le but de prolonger la joie des deux nouveaux époux, le jour où ils consacrent leur amour mutuel en présence de Jésus-Christ.
Ce récit est très connu. Jésus est invité, avec ses disciples, à un mariage dans une petite ville non loin de Nazareth : Cana de Galilée. Nous savons que la Vierge Mère, co-protagoniste de l’évènement était présente. En effet, vers la fin du repas nuptial, lorsque le vin vient à manquer, la Vierge est la première à s’en apercevoir. Avec courtoisie mais fermement, elle demande à son Fils d’intervenir pour résoudre cet inconvénient.
Il peut sembler curieux que Marie se préoccupe de quelque chose que le soi-disant bon sens considérerait si non superflu, du moins comme étant de peu d’importance. Cela semble excessif de faire appel à la toute-puissance de Dieu pour remédier au manque de vin, surtout lorsque la fête touche à sa fin. Mais la Vierge Mère est une femme sensible et concrète et elle sait l’importance des « petites » joies de la vie.
Le premier message de l’Evangile d’aujourd’hui est celui-ci : le premier miracle de Jésus, par l’intercession de Sa Mère, est un miracle de joie afin que la sérénité de la vie ne vienne pas à manquer, parce que cette vie se déroule sous les yeux du Père qui pourvoit, qui a créé le ciel et la terre et la multitude des choses et des êtres qu’ils contiennent : Dieu est d’une générosité étonnante. Il transforme en un vin de grande qualité l’eau contenue dans six amphores de 100 litres chacune.  Six cents litres de très bon vin pour une fin de repas sont réellement un signe remarquable de la générosité du cœur de Dieu.
Mais il ne faut pas oublier que la première réponse de Jésus à la sollicitude de sa Mère semble un peu dure : « Que me veux-tu, Femme ? » – Cette appellation, « Femme », n’indique pas une prise de distance par rapport à sa Mère.  Ce même « titre » sera utilisé par le Christ sur la Croix, quand il dira à sa Mère : « Femme, voici ton fils » pour lui confier l’apôtre Jean (et nous tous avec lui) -. Jésus ajoutera aussitôt : « Mon heure n’est pas encore arrivée ». Par son intercession pleine de tendresse, Marie, qui n’est pas indifférente à ce qui arrive aux jeunes époux, anticipe cette heure, l’Heure de la Passion. La Mère dit donc aux serviteurs : « Tout ce qu’il vous dira, faites-le ». Ce sont les dernières paroles de Marie que les Evangiles nous livrent. Ces dernières paroles, comme les premières (celles prononcées au moment de l’Annonciation et de sa visite à sa cousine Elisabeth) sont des paroles que la Vierge, Notre Mère, nous offre pour nous montrer le rapport juste et correct avec le Christ.
Qui sait si Marie a pressenti que cette référence à l’« Heure » caractérisait l’évènement de Cana comme un tableau festif avec, en arrière-plan, la Passion du Fils de Dieu ? A Cana l’eau est transformée en vin et, à Jérusalem, quand l’Heure sera arrivée, le vin sera « transformé » en sang.
Les noces de Cana sont le signe d’une autre alliance, la nouvelle alliance, qui sera scellée par la Croix et Marie deviendra la Femme de cette Alliance scellée par la croix.
Marie, dont la foi est un modèle pour nous, est amenée par son Fils à une foi plus adulte. Si la demande d’un miracle pouvait être la solution à l’embarras des époux et de leurs familles, le miracle accompli par Jésus est aussi une révélation plus grande.  Il révèle qu’il est venu pour redonner à l’homme et à la femme la capacité d’être une famille vraie et joyeuse, une famille sainte.  Il en est le fondement, le goût, la joie ; Il est comme le vin nouveau, conservé jusqu’à la fin. Pour cette raison, en ayant fait le miracle de l’eau transformé en vin, Jean dit que Jésus « manifesta sa gloire », parce que la « gloire de Dieu est l’homme vivant et la vie de l’homme est la vision de Dieu » (St Irénée) dans la joie immense et éternelle.
2) Une réponse positive grâce à Marie.
Saint Louis-Marie Grignon de Montfort affirmait: « Dieu a réuni toutes les eaux et les a appelées mer ; il a réuni toutes les grâces et les a appelées Marie ». Il n’est pas imaginable que la Mère de toutes les grâces puisse recevoir une réponse négative de la part de son Fils. La Vierge Mère n’a pas eu la moindre hésitation en disant aux serviteurs « Tout ce qu’il vous dira, faites-le ». Elle sait très bien que la confiance totale en Jésus ne peut pas décevoir. Elle est l’évangile vivant, elle est l’experte de Dieu. Les mystères de la Rédemption lui ont été confiés. Humble servante de Dieu et librement docile à la Volonté de Dieu, Marie a écouté la Parole divine. Elle l’a accueillie dans son cœur et sous son cœur, et elle a porté du fruit. Elle a d’abord écouté Jésus. Elle a fait sa volonté. Maintenant Jésus l’écoute et fait sa volonté, opérant un miracle extraordinaire avant même que son heure ne soit arrivée.
Nous aussi, nous devons, avant tout, écouter le Seigneur, L’accueillir dans notre vie et porter du fruit. Nous devons être des évangélisateurs à travers les merveilles, dont nous sommes les témoins et les bénéficiaires. L’Evangile d’aujourd’hui ne nous livre pas seulement un récit de noces. L’apôtre Jean dit que, ce jour-là, Jésus « manifesta sa gloire et ses disciples crurent en Lui ».
La gloire indique l’être profond du Christ qui se révèle dans sa splendeur. Jésus commence à manifester qui Il est vraiment. Il est celui qui donne le meilleur vin. Il est l’Epoux qui doit venir, le Messie. Les noces de Cana rappellent les noces de Dieu avec son peuple, selon ce que les prophètes ont annoncé.
3) Un miracle dans l’autre.
Je ne pense pas m’éloigner d’une interprétation correcte de l’Evangile d’aujourd’hui si j’affirme que le miracle principal consiste dans la présence du Christ à Cana pour ces noces, où Il purifie, élève et sanctifie l’amour naturel entre un homme et une femme et l’enracine dans Son Amour. Le miracle de l’eau transformée en vin est un signe miraculeux, simple et stupéfiant de l’amour terrien transformé en amour céleste.
Le mystère (mot qui signifie aussi sacrement et lieu de rencontre avec Dieu) de Cana, premier des miracles chrétiens, doit nous pousser, comme les disciples, à croire pleinement en Jésus. En même temps, il doit nous donner une confiance filiale en Marie et nous encourager à L’imiter.
Comment imiter Marie? Comment parvenir à avoir la même confiance qu’elle dans le Christ ?
En étant, comme elle, conscient d’appartenir à Dieu et en vivant de foi, comme elle.
Avec  et par foi[2], Marie a dit « oui » à l’Ange et a cru à l’annonce qu’elle serait la Mère de Dieu.
Avec et par foi amoureuse, elle est allée chez sa cousine Elisabeth, et a élevé son chant de louange au Très-Haut pour les merveilles réalisées en elle et en ceux qui s’abandonnent à Dieu avec confiance et espoir.
Avec et par  foi joyeuse et trépidante, elle a donné naissance à son Fils unique.
Avec et par foi, elle a eu pleine confiance en Joseph son époux et a emmené Jésus en Egypte pour le sauver de la persécution d’Hérode.
Avec et par cette même foi, elle a accepté la vie publique de son Fils et l’a suivi jusqu’au Calvaire où elle est restée au pied de la Croix.
Avec et par foi, elle nous a accueillis comme ses enfants dans le Fils, nous qui étions coupables de la mort de son fils crucifié.
Imitons la Vierge Marie dans sa vie de foi, où prière et action sont intimement unies.
Marie est modèle de foi parce qu’elle est modèle de contemplation, d’amour priant. Alors, comme elle, nous aussi, contemplons Jésus. Avec amour qui se fait prière contemplative, regardons le Verbe fait chair lorsqu’il vagit, joue, travaille, prêche, meurt sur la croix et tue la mort par sa Résurrection resplendissante.
A l’exemple de la Vierge Mère, demandons des grâces « visibles » par les yeux du corps, comme celle de l’eau transformée en vin, et la Grâce « visible » par les yeux de la foi : Jésus Christ.
En cela, que les Vierges Consacrées soient notre soutien. Leur tâche principale est d’attirer tous les chrétiens à la contemplation et de leur enseigner la prière amoureuse : hommes et femmes, petits et grands.
C’est une grande tâche, pour les Vierges Consacrées, de cultiver la contemplation du Christ, Vérité vivante, et de la faire découvrir aux autres. Ainsi, le primat de la contemplation sur l’action, de l’être sur l’avoir sera de plus en plus reconnu.
En effet, la consécration des Vierges se situe essentiellement sur le plan de l’être et non pas du faire. Le ministère des Vierges Consacrées est surtout un « ministère contemplatif », « un ministère de la personne qui prie (Orante) à l’écoute de la Parole et un ministère de l’amour » (Liminaire du Rituel de la Consécration des Vierges, n° 1 et 2). En effet, les Vierges consacrées qui vivent dans le monde, sont signe et témoignage prophétique au sein du Peuple de Dieu. Pour partager la Grâce du Christ, elles se nourrissent du Corps du Christ, et alimentent leur vie par la méditation de la Parole et la prière assidue.
 
Lecture Patristique
 Saint Maxime de Turin (+ vers 415)
Homélie 23

PL 57. 274-276

Le Fils de Dieu est donc allé aux noces pour sanctifier par sa présence bénie le mariage qu’il avait institué par une décision souveraine. Il est allé à des noces célébrées selon l’ancienne coutume, en vue de se choisir dans la société des païens une épouse qui resterait toujours vierge. Lui qui n’est pas né d’un mariage humain est allé aux noces. Il y est allé non point pour prendre part à un joyeux banquet, mais pour se révéler par un exploit vraiment admirable. Il est allé aux noces non pour boire des coupes de vin, mais pour en donner. Car, dès que les invités manquèrent de vin, la bienheureuse Marie lui dit: Ils n’ont pas de vin. Jésus apparemment contrarié lui répondit: Femme, que me veux-tu (Jn 2,3-4)?
De telles paroles sont, sans aucun doute, le signe d’un mécontentement. Elles s’expliquent pourtant, à mon avis, par le fait que la mère lui avait signalé d’une manière inattendue qu’on manquait d’une boisson matérielle, alors qu’il était venu offrir aux peuples de la terre entière le calice nouveau de l’éternel salut. En répondant: Mon heure n’est pas encore venue (Jn 2,4), il prophétisait certainement l’heure très glorieuse de sa passion, ou bien le vin de notre rédemption qui procurerait la vie à tous. Car Marie demandait une faveur temporelle, tandis que le Christ préparait une joie éternelle.
Le Seigneur très bon n’a toutefois pas hésité à accorder cette grâce moindre, alors que de grandes grâces étaient attendues. La bienheureuse Marie, parce qu’elle était véritablement la mère du Seigneur, voyait par la pensée ce qui allait arriver et connaissait d’avance la volonté du Seigneur. Aussi prit-elle bien soin d’avertir les serviteurs par ces mots: Faites tout ce qu’il vous dira (Jn 2,5). Sa sainte mère savait assurément que la parole de reproche tombée de la bouche de son fils, le Seigneur, ne cachait pas le ressentiment d’un homme en colère, mais contenait une mystérieuse compassion.
Alors, pour rassurer sa mère déconcertée par cette réprimande, le Seigneur révéla aussitôt son pouvoir souverain. Il dit aux serviteurs qui attendaient: Remplissez d’eau les cuves (Jn 2,7). Les serviteurs, dociles, s’empressèrent d’obéir. Et voici que d’une manière soudaine et merveilleuse, ces eaux commencèrent à recevoir de la force, à prendre de la couleur, à répandre une bonne odeur, à acquérir du goût, et en même temps à changer entièrement de nature. Et cette transformation des eaux en une autre substance a manifesté la présence de la puissance créatrice. Personne, en vérité, hormis celui qui a créé l’eau de rien, ne peut la transformer en une substance destinée à d’autres usages.
Il n’y a aucun doute, mes bien-aimés, que celui-là même qui a changé l’eau en vin, lui a donné aussi, à l’origine, la consistance de la neige et la dureté de la glace. Il l’a changée en sang pour les Égyptiens. Pour étancher la soif des Hébreux, il lui a ordonné de couler d’un dur rocher, dont il a fait jaillir, comme du sein d’une mère, une source nouvelle qui a fait vivre une multitude innombrable de peuples.
Tel fut, dit l’Écriture, le commencement des signes que Jésus accomplit. C’était à Cana en Galilée. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui (Jn 2,11). La foi des disciples ne s’appliquait pas du tout à ce qui s’accomplissait sous leurs yeux, mais à ce que les yeux du corps ne peuvent voir. Ils ont cru, non que Jésus Christ était le fils d’une vierge, car ils le savaient, mais qu’il était aussi le Fils unique du Très-Haut, ce dont le miracle leur fournissait la preuve.
Voilà pourquoi, mes frères, nous devons croire, nous aussi, de tout notre cœur, que celui-là même que nous appelons le fils de l’homme, est également le Fils de Dieu. Puisqu’il était présent aux noces en tant qu’homme, et qu’il a changé l’eau en vin en tant que Dieu, croyons que non seulement il partage notre nature, mais aussi qu’il est par nature égal au Père, afin que notre Seigneur, dans sa bonté, veuille nous donner à boire, en raison de cette foi, le vin très pur de sa grâce.
[1] Situation du récit des noces Cana dans l’année liturgique : la fête de l’Épiphanie, c’est-à-dire la manifestation de Jésus-Christ, implique traditionnellement trois manifestations importantes de Jésus: la première est la visite des mages (célébrée il y a deux dimanches), la seconde est son baptême dans le Jourdain (célébré dimanche dernier), le troisième est le miracle de l’eau transformée en vin lors des noces de Cana. En l’année C, ces trois événements sont proposés en séquence dans les premiers dimanches de l’année. Nous célébrons donc ce dimanche le miracle du vin pendant le mariage à Cana.
C’est un récit un peu particulier. Le miracle de l’eau transformé en vin est présenté comme un signe qui manifeste la grandeur de Jésus et sa nature divine. Le signe nécessite de ne pas s’étendre sur lui-même mais d’aller immédiatement au-delà, au sens véhiculé par le signe lui-même. Cela se voit bien dans le récit des noces à Cana. Les détails qui encadrent le geste de Jésus s’effacent : nous sommes au mariage, mais nous ne parlons pas de la mariée, de façon seulement ébauchée du marié. On ne sait pas pourquoi le vin a manqué, les personnages principaux devraient en fait être les moins importants (les serviteurs et le maître de table). Cela a conduit les érudits à lire le texte au sens symbolique. Un miracle qui est au début du ministère de Jésus devient ainsi le prototype des signes, la clé de lecture de l’incarnation, de la prédication et de l’activité de Jésus au cours de sa vie terrestre.
[2] Confer Lettre de Saint Paul aux Hébreux, chapitre 11

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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