Le pape a été accueilli, sous une pluie ininterrompue, par le grand rabbin de Vienne, Paul Chaim Eisenberg, devant le monument aux 65.000 juifs autrichiens morts dans les camps de concentration nazis.
Quelques heures auparavant, dans l’avion qui le conduisait à Vienne, Benoît XVI avait expliqué aux journalistes que par ce geste il souhaitait exprimer « la tristesse, le repentir et l’amitié avec nos frères juifs, pour poursuivre le dialogue ».
« Un dialogue, a-t-il conclu, qui doit se poursuivre évidemment aussi avec les autres confessions chrétiennes et avec les musulmans ».