Actuellement, 36 personnes sont condamnées à mort par injection létale au Guatemala, en majorité pour des enlèvements et des meurtres.
Cette proposition a été adoptée à l’initiative du président Oscar Berger, du parti de la « Gran Alianza Nacional » (GANA), « en hommage » à Jean-Paul II. « Je crois que le Guatemala pourra combattre la criminalité en éradiquant la pauvreté, qui frappe 8 personnes sur 10, en offrant de plus grandes possibilités et en favorisant la solidarité », a-t-il déclaré.
L’initiative a été appuyée par les partis de gauche et a divisé les politiciens. Elle devra être présentée au Parlement et elle aura besoin du soutien de la majorité absolue à la Chambre, soit au moins 80 des 158 députés.