Les patriarches, les archevêques majeurs, les métropolites des Eglises métropolitaines orientales catholiques, ont entouré le pape pendant ce rite, tandis qu’alternaient la mélopée du chœur et le chant du diacre. Beauté souvent méconnue de la riche tradition des Eglises d’Orient que Jean-Paul II avait voulues à l’honneur à Rome pendant le Grand Jubilé, par des célébrations dans les différents rites catholiques, à Sainte-Marie Majeure.
On reconnaissait des visages révélés par les consistoires récents, comme celui du patriarche d’Alexandrie des Coptes, Stéphanos Ghattas, à qui il est revenu le rite de l’encensement de la dépouille mortelle de Jean-Paul II.
Les cardinaux n’ont-ils pas eux-mêmes choisi comme prédicateurs pour les jours à venir un représentant de la tradition latine et un connaisseur de la tradition orientale ?