Ouvrière dans une usine de savons à Shanghai, elle avait été renvoyée en 1988 pour avoir refusé d’avorter son second enfant. Elle avait porté plainte devant les tribunaux.
Mais en avril dernier, les autorités de Shanghai l’ont placée pour 18 mois dans un camp de rééducation par le travail.
Nicolas Becquelin du groupe « Human Rights in China » révèle que Mao Hengfeng « a été suspendue pieds et mains liés, et a reçu des coups sur les membres et au ventre ».