"Dieu pardonne tant de choses pour une œuvre de miséricorde" (Luigi Orione)

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CITE DU VATICAN, Jeudi 19 février 2004 (ZENIT.org) – Dieu pardonne tant de choses pour une œuvre de miséricorde, disait Don Luigi Orione (1872-1940), prêtre italien et fondateur de la Petite œuvre de la Divine providence et de la congrégation des Petites soeurs missionnaires de la charité, présentes partout où la misère les appelle.

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Né dans une famille pauvre, il savait ce que signifiait la misère pour les familles, mais aussi la guerre, les tremblements de terre, les handicaps, et il décida de ne pas s’en laver les mains. Il commença son œuvre au service des plus « désespérés ».

Les misères n’en finissaient pas, ses œuvres se multiplièrent, dans toute l’Italie et bientôt au Brésil, en Argentine, en Albanie, en Pologne, en Afrique et en Asie. Avec un mot d’ordre: confiance dans la Providence divine, car « Dieu pense à ses enfants ».

Il disait encore: « La Banque de la Providence divine est dans nos poches! Dieu pardonne tant de choses pour une œuvre de miséricorde ».

La dépouille de Don Orione repose au sanctuaire de Notre-Dame des Grâces à Tortona, construite en 1931, à la suite d’un vœu que Don Orione avait fait durant la première guerre mondiale.

Le sanctuaire a été élevé par Jean-Paul II au rang de basilique à l’occasion de sa béatification.

On peut y voir une statue en bronze représentant Don Orione mourant, œuvre du sculpteur juif italien Arrigo Minerbi, qui a voulu ainsi rendre hommage à l’action de Don Orione pour lui et sa famille durant les années de la persécution nazie.

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ZENIT Staff

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