La presse internationale voit dans les propos du cardinal Ratzinger un renvoi dos à dos des références à la volonté divine venant de Washington ou de Bagdad.
« Le pape, disait-il, a souligné tant de fois que la violence ne pouvait jamais être utilisée au nom de Dieu. Dieu est la réconciliation et le garant de la paix. Nous devons voir Dieu comme celui qui nous unit et non comme celui qui divise et justifie la violence ».
« Pour l’église catholique, une attaque préventive ne peut entrer dans les critères d’une guerre juste », affirmait tout aussi clairement le cardinal Ratzinger.