La journaliste s’inquiète du fait que le gouvernement se soit opposé à la création d’embryons pour la recherche (comme le prévoyait le texte voté à l’Assemblée en janvier 2002) sans pour autant en fermer définitivement les portes.
Des positions du gouvernement, elle perçoit surtout « l’inconfort » et « l’illogisme » : « si l’on juge licite de faire de la recherche sur l’embryon, pourquoi s’en tenir aux « surnuméraires »? L’embryon n’a-t-il de valeur que par le projet que d’autres – parents ou chercheurs – ont sur lui ? ».
Dominique Quinio avertit qu’en transigeant un peu maintenant, demain on transigera trop: « Un demi non ne fait pas une réponse, car il suppose un demi oui ».