Résurrection, Fra Angelico © Museo San Marco, Florence

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"De la vie à la Vie, ici, maintenant et pour toujours", par Mgr Follo

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Lectures de Pâques, 21 avril 2019

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« De la vie à la Vie, ici, maintenant et pour toujours », c’est le titre de la méditation de Mgr Francesco Follo sur les lectures de la messe de dimanche prochain, 21 avril 2019, Dimanche de Pâques et de la Résurrection, 21 avril 2019 (Année C – Ac 10, 34-43 ; Ps 117 ; Col 3, 1-4 ; Jn 20, 1-9).
« Plus nous regarderons le Christ ressuscité, plus nos yeux reflèteront la lumière de ses yeux. L’important est que notre regard se fasse prière (i.e. contemplation), reconnaissance (i.e. eucharistie) et don d’amour qui pardonne les offenses », écrit l’observateur permanent du Saint-Siège à l’Unesco.
De la vie à la Vie, ici, maintenant et pour toujours
1) Le Christ est vivant
Le Christ est ressuscité.
Donc, sa vie n’est pas terminée le Vendredi Saint et, par conséquent, le dévouement et l’amour de Dieu pour nous ne sont pas terminés, quand le Christ a été tué sur la Croix.
Donc, l’Amour incarné et crucifié est passé à la Vie de la vie que les hommes pensaient lui avoir prise et enterrée dans une tombe. Le Samedi Saint, jour de la désolation humaine et du silence de Dieu, s’ouvre au jour du Seigneur ressuscité.
Le récit de l’Évangile d’aujourd’hui commence ainsi : « Le premier jour de la semaine, Marie de Madeleine se rendit au tombeau le matin, quand il faisait encore nuit, et vit que la pierre avait été enlevée du tombeau. Elle courut chez Simon Pierre et l’autre disciple, celui que Jésus aimait, et leur dit : ‘Ils ont enlevé le Seigneur du tombeau, et nous ne savons pas où ils l’ont mis’. Pierre sortit alors avec l’autre disciple et se rendit au tombeau » (Jn 20, 1-3).
De ce moment-là le premier jour de la semaine est le dimanche, jour où l’on célèbre le fait que le Christ est ressuscité. Le Christ ressuscite dans la nuit avant que le lever du soleil n’illumine ce jour de fête.
Le premier de tous les dimanches est un jour qui est né de deux nuits particulières : celle de l’Incarnation, où le Verbe s’est fait chair, et celle de la Résurrection, où la chair a revêtu l’éternité, où le sépulcre s’est ouvert, vide du Corps du Christ qui a vidé la mort de sa puissance. Le Christ ressuscité nous invite à mettre notre respiration en syntonie avec la sienne, avec cet immense souffle de vie qui unit sans cesse le visible et l’invisible, la terre et le ciel, le Verbe et la chair, le présent et l’éternel.
À Pâques, premier de tous les « jours du Seigneur », Dieu renouvelle le monde et dit à nouveau : « Que la lumière soit ! ». Auparavant, il y avait eu la nuit du Mont des Oliviers, l’éclipse solaire de la passion et de la mort de Jésus, la nuit du sépulcre. Mais maintenant, c’est à nouveau le premier jour – la création recommence, entièrement nouvelle. « Que la lumière soit ! », dit Dieu, « et la lumière fut ».
Jésus ressuscite du sépulcre : la vie est plus forte que la mort, le bien est plus fort que le mal, l’amour est plus fort que la haine, la vérité est plus forte que le mensonge.
L’obscurité des jours passés est dissipée au moment où Jésus ressuscite du sépulcre et devient lui-même pure lumière de Dieu. Mais ceci ne se réfère pas seulement à lui, ni seulement à l’obscurité de ces jours-là. Avec la résurrection de Jésus, la lumière elle-même est créée de façon nouvelle. Il nous attire tous derrière lui dans la nouvelle vie de la résurrection et il vainc toute forme d’obscurité. Il est le nouveau jour de Dieu, qui vaut pour chacun de nous.
Prions le Seigneur, Créateur et Amour, pour qu’il fasse jaillir de l’obscurité du monde la lumière de son Fils : dans la nuit de Noël, dans la nuit de la Résurrection, dans la nuit de notre humanité, qu’il fasse jaillir ce que nous espérons : la rencontre avec le Christ, la proximité avec le Christ, la connaissance du Christ et l’amour qui nous unit à lui.
Prions, en fixant notre regard, en premier lieu, sur les plaies glorieuses du Christ et contemplons la Croix sur laquelle le Christ « a versé le sang de son cœur pour gagner ton cœur » (Ste Bénédicte de la Croix – Edith Stein). Et prions aussi avec Saint Augustin, qui a vécu une expérience de péché, comme Madeleine : « Qu’aimé-je donc en vous aimant ? Ce n’est point la beauté selon l’étendue, ni la gloire selon le temps, ni l’éclat de cette lumière amie à nos yeux, ni les douces mélodies du chant, ni la suave odorance des fleurs et des parfums, ni la manne, ni le miel, ni les délices de la volupté. Ce n’est pas là ce que j’aime en aimant mon Dieu, et pourtant j’aime une lumière, une mélodie, une odeur, un aliment, une volupté, en aimant mon Dieu; cette lumière, cette mélodie, cette odeur, cet aliment, cette volupté, suivant l’homme intérieur; lumière, harmonie, senteur, saveur, amour de l’âme, qui défient les limites de l’étendue, et les mesures du temps, et le souffle des vents, et la dent de la faim, et le dégoût de la jouissance, Voilà ce que j’aime en aimant mon Dieu. » (Saint Augustin d’Hippone, Confessions, X, 6, 8).

  • Les premières rencontres avec le Christ – Lumière

Marie Madeleine, qui se rend au tombeau dans l’obscurité de la nuit, nous enseigne la persévérance dans la recherche de la rencontre avec Dieu. « La rencontre avec le Christ ressuscité nous ressuscite et nous aide à faire sortir les autres des tombeaux obscurs de l’incrédulité » (Pape François). Espérer et persévérer, à la lumière de cela, est une attitude qui respire le christianisme.
Marie-Madeleine ne savait pas encore que le jour de la joie sans fin avait déjà commencé. Donc, pleine de douleur, elle se rendit au tombeau de Jésus, parce qu’elle était nostalgique de lui (nous avions comme elle cette nostalgie du ciel). Elle ne savait pas encore que le Bien-aimé qui l’avait sauvée par sa miséricorde, était ressuscité. Elle voulait achever l’onction qu’elle a commencée quelque temps auparavant, lorsqu’elle a lavé les pieds de Jésus avec ses larmes et qu’elle les a oints d’un parfum d’une valeur de 300 deniers (dix fois le prix payé à Judas pour sa trahison ; avec les 30 deniers donnés par Judas, les chefs achetèrent un champ pour les pèlerins qui mouraient à Jérusalem).
À l’aube de ce jour de fête qui, pour Marie-Madeleine, est encore un jour de tristesse parce qu’elle ne sait pas encore que son Jésus est ressuscité, cette femme est consolée au moins par la pensée que cet « ami fraternel » est mort parce qu’il l’a aimée, elle et tous ses disciples, y compris Judas. Marie va au sépulcre, préoccupée de savoir comment enlever la dalle de pierre qui fermait le sépulcre, pour pouvoir achever l’onction mortuaire prescrite pas la loi mosaïque et par son amour de femme sauvée par le Rédempteur. Et elle pleure (voir l’évangile de ce jour dans le rite ambrosien) parce que la tombe est vide : elle ne sait pas encore que celle-ci est devenue le tabernacle d’où le Corps du Christ ressuscité est sorti pour pouvoir être mangé.
Elle n’imagine pas que le Christ Seigneur, Lumière d’éternité, a renversé non pas une, mais deux dalles : celle de pierre qui fermait le sépulcre, et celle de la mort, encore plus lourde et inamovible, qui pèse sur le corps immolé du Sauveur et sur le cœur de Madeleine.
Cette femme fut la première à constater que la mort avait lâché sa prise sur sa proie.
Elle fut la première dans la foi parce que la première dans l’amour et elle reçut la récompense de l’amour.
En recevant la nouvelle stupéfiante apportée aux apôtres par la bien-aimée du Christ, par celle que la liturgie des Eglises orientales appelle Isoapostola (égale aux apôtres) de la Résurrection, Pierre et Jean coururent au sépulcre, parce que ceux dont l’amour est le plus grand courent plus vite que les autres. À leur arrivée, ils virent que le Christ avait maintenu la parole qu’il avait annoncée prophétiquement plusieurs fois : « De même, en effet, que Jonas fut dans le ventre du monstre marin durant trois jours et trois nuits, de même le Fils de l’homme sera dans le sein de la terre durant trois jours et trois nuits. » (Mt 12, 40). Ils « le livreront aux païens pour être bafoué, flagellé et mis en croix ; et le troisième jour, il ressuscitera. » (Mt 20, 19). « Détruisez ce sanctuaire et en trois jours je le relèverai (…) Mais lui parlait du sanctuaire de son corps. » (Jn 2, 19-20). « Mais après ma résurrection, je vous précéderai en Galilée. » (Mc 14, 28). « [I]l leur ordonna de ne raconter à personne ce qu’ils avaient vu, si ce n’est quand le Fils de l’homme serait ressuscité d’entre les morts. Ils gardèrent la recommandation, tout en se demandant entre eux ce que signifiait “ressusciter d’entre les morts”. » (Mc 9, 9-10).
Ils étaient stupéfaits. Après des jours de désolation, parce que tout semblait irrémédiablement perdu, voici l’événement de lumière qui montre que la violence, l’injustice, l’infamie et la mort n’ont pas eu le dernier mot. Un fait qui permet de voir clair : ils sont illuminés par la lumière du Christ, lumière sainte et remplie de l’amour de Dieu.

  • Évangélisateurs de la Lumière qui sauve.

Sans la lumière de Dieu, personne ne peut être sauvé. C’est elle qui fait faire à l’homme ses premiers pas craintifs : « Le Seigneur est ma lumière et mon salut, de qui aurais-je crainte ? » (Ps 27, 1) ; elle le conduit vers les hauteurs, au pèlerinage de la foi : « Envoie ta lumière et ta vérité : elles me guideront, me mèneront à ta montagne sainte, jusqu’en tes Demeures. » (Ps 43, 3). Si nous voulons continuer à posséder cette lumière de Dieu, prions.
Le Christ est ressuscité, non pour s’éloigner de nous, mais pour nous faire ressusciter avec lui dans son Royaume, dont les frontières sont la lumière et l’amour.
Plus nous regarderons le Christ ressuscité, plus nos yeux reflèteront la lumière de ses yeux. L’important est que notre regard se fasse prière (i.e. contemplation), reconnaissance (i.e. eucharistie) et don d’amour qui pardonne les offenses.
Et ceci arrivera si, comme Marie-Madeleine, nous allons au Christ en étant contristés de l’avoir perdu. Alors, les larmes purifieront nos yeux qui, lavés et limpides, pourront refléter la lumière du Christ, lumière qui libère, amour qui rachète, bien qui comble nos cœurs. Alors que, souvent de manière mesquine, nous nous contentons de promesses de bonheur, de paroles d’amour, de rais de lumière, le Christ Lumière fait de nous des hommes et des femmes de lumière, des témoins de la Lumière qui donne la vie en plénitude. Pour nous qui ne sommes pas seulement fascinés par la lumière, la Lumière est notre vocation.
Cette vocation est vécue de manière particulière par les vierges consacrées qui reçoivent le cierge ou la lampe allumée pour conserver avec soin la lumière de l’évangile qui sauve, et pour être toujours prêtes à aller à la rencontre de l’Époux qui vient (cf. Rituel de la consécration des vierges, n. 28). Ces femmes sont appelées à évangéliser par la sainteté et la prière. Le mode d’évangélisation que les vierges consacrées sont appelées à vivre et qu’elles vivent, à travers leur sollicitude humaine de femmes consacrées à Dieu, consiste à communiquer la lumière du Christ, en devenant la lampe qui porte la lumière de la présence adorable de l’amour éternel.
Les vierges consacrées témoignent qu’il est possible de vivre une vie consacrée à Dieu, où rien n’est mis devant l’amour du Christ. Se confier uniquement à cet amour est source de paix et de joie.  Appartenir pour toujours au Christ par la consécration virginale est le premier fruit de l’éternité heureuse que le Seigneur ressuscité donne en consacrant la personne qui se donne totalement à lui (cf. Maria Geltrude Arioli, Il Cielo e la Creta, Cercare Dio per trovare se stessi, Castel Bolognese, Itaca, 2018, p. 58).
Enfin, les vierges consacrées témoignent et expriment de manière « forte » précisément la recherche mutuelle de Dieu et de l’homme, l’amour qui les attire ; la personne consacrée, par le fait même d’être là, représente un « pont » vers Dieu pour tous ceux qui le rencontrent, un appel, un report. Et tout cela en vertu de la médiation de Jésus-Christ, le Consacré du Père. Le fondement, c’est Lui. Lui, qui a partagé notre fragilité, pour que nous puissions partager sa nature divine, dès maintenant et pour l’éternité.
 
LECTURE PATRISTIQUE
Justin décrit la célébration du dimanche dans les premiers temps de l’Église. L’annonce de la Parole, la célébration de l’Eucharistie, et le service de la Charité y sont très étroitement liés.
1ère apologie de Justin, n° 67
LA CÉLÉBRATION DU DIMANCHE
Après cela, dans la suite, nous continuons à nous rappeler le souvenir de ces choses. Ceux qui ont du bien viennent en aide à tous ceux qui ont besoin, et nous nous prêtons mutuellement assistance. Dans toutes nos offrandes, nous bénissons le Créateur de l’univers par son fils Jésus‑Christ et par l’Esprit‑Saint. Le jour qu’on appelle le jour du soleil, tous, qu’ils habitent les villes et les campagnes, se réunissent dans un même lieu. On lit les mémoires des apôtres et les écrits des prophètes autant que le temps le per­met. La lecture finie, celui qui préside prend la parole pour avertir et exhorter à imiter ces beaux enseignements. Ensuite nous nous levons tous et nous prions ensemble à haute voix. Puis, comme nous l’avons déjà dit, lorsque la prière est terminée, on apporte du pain avec du vin et de l’eau. Celui qui préside fait monter au ciel les prières et les actions de grâces autant qu’il a de force, et tout le peuple répond par l’acclamation Amen.
Puis a lieu la distribution et le partage des aliments consacrés à chacun et l’on envoie leur part aux absents par le ministère des diacres. Ceux qui sont dans l’abondance, et qui veulent donner, donnent librement chacun ce qu’il veut. Ce qui est recueilli est remis entre les mains du président, et il assiste les orphelins, les veuves, les malades, les indigents, les prisonniers, les hôtes étrangers, en un mot, il secourt tous ceux qui sont dans le besoin.
La célébration de l’Eucharistie.
Le philosophe, Justin, membre de la communauté de Rome où il fut martyrisé en 165
est pour nous le premier témoin de l’Eucharistie de cette communauté.

Personne ne doit prendre part à l’Eucharistie, sinon celui qui croit à la vérité de notre doctrine, qui a été baptisé pour obtenir le pardon des péchés et la nouvelle naissance, et qui vit selon l’enseignement que le Christ nous a transmis.

Car nous ne prenons pas l’Eucharistie comme un pain ordinaire ou une boisson ordinaire. De même que Jésus Christ notre Sauveur, en s’incarnant par la Parole de Dieu, a pris chair et sang pour notre salut: ainsi l’aliment devenu eucharistie par la prière contenant sa parole,et qui nourrit notre sang et notre chair en les transformant, cet aliment est la chair et le sang de ce Jésus qui s’est incarné.
Voilà ce qui nous est enseigné.

En effet, les Apôtres, dans leurs mémoires qu’on appelle Evangiles, nous ont ainsi transmis l’ordre de Jésus: Il prit du pain, il rendit grâce et il dit: Faites cela en mémoire de moi. Ceci est mon corps. Il prit la coupe de la même façon, il rendit grâce et il dit: Ceci est mon sang. Et c’est à eux seuls qu’il le distribua. Depuis ce temps, nous n’avons jamais cessé d’en renouveler la mémoire entre nous.

Parmi nous, ceux qui ont de quoi vivre viennent en aide à tous ceux qui sont dans le besoin, et nous sommes toujours unis entre nous. Dans toutes nos offrandes, nous bénissons le créateur de l’univers par son Fils Jésus Christ et par l’Esprit Saint.

Le jour appelé jour du soleil, tous, qu’ils habitent la ville ou la campagne, ont leur réunion dans un même lieu et on lit les mémoires des Apôtres et les écrits des prophètes aussi longtemps qu’il est possible.

Quand le lecteur a fini, celui qui préside fait un discours pour nous avertir et pour nous exhorter à mettre en pratique ces beaux enseignements.

Ensuite nous nous levons tous et nous faisons ensemble des prières. Puis, lorsque nous avons fini de prier, ainsi que je l’ai déjà dit, on apporte le pain avec le vin et l’eau. Celui qui préside fait monter au ciel des prières et des actions de grâce, autant qu’il en est capable, et le peuple acclame en disant: Amen. Puis on distribue et on partage à chacun les dons sur lesquels a été prononcée l’action de grâce; ces dons sont envoyés aux absents par le ministère des diacres.

Les fidèles, qui sont dans l’aisance et qui veulent donner, donnent librement, chacun ce qu’il veut; ce qu’on recueille est remis à celui qui préside et c’est lui qui vient en aide aux orphelins et aux veuves, à ceux qui sont dans le besoin par suite de maladie ou pour toute autre cause, aux prisonniers, aux voyageurs, aux étrangers; bref, il vient en aide à tous les malheureux.

C’est le jour du soleil que nous faisons tous notre réunion, d’abord parce que c’est le premier jour, celui où Dieu, à partir des ténèbres et de la matière, créa le monde; et c’est parce que ce jour-là est encore celui où Jésus Christ, notre Sauveur, ressuscita d’entre les morts. La veille du jour de Saturne (du samedi), on l’avait crucifié, et le surlendemain, c’est-à-dire le jour du soleil, s’étant montré à ses Apôtres et à ses disciples, il leur enseigna ce que nous avons exposé. Le monde s’ouvre à la vie, l’homme reçoit l’Esprit.
Au souffle du Très-Hauts lève un peuple nouveau de toute race, langue et frontière,

Pour devenir le corps de Jésus Christ et transformer la face de la terre.

C’est dans l’Esprit Saint que vous serez baptisés :

Pour devenir le corps de Jésus Christ et transformer la face de la terre.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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