Saint-Louis-des-Français

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‌France2 : une émission sur les 500 ans de Saint-Louis-des-Français à Rome

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« Le Jour du Seigneur » du 22 avril

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L’église Saint-Louis-des-Français, à Rome, qui fête les 500 ans du début de sa construction, sera au centre de l’émission dominicale « Le jour du Seigneur » le dimanche 22 avril 2018 sur France2.
La messe dominicale célébrée à Saint-Louis-des-Français et présidée par Mgr François Bousquet, recteur de l’église, sera transmise à 10h45, indique le programme de France2. Ce sont les séminaristes du Séminaire français qui animeront cette célébration du dimanche du Bon Pasteur, dimanche durant lequel l’Église prie pour les vocations. Un reportage sur le Séminaire encadrera la messe, à 10h30-10h45 puis à 11h35-12h00.
Le Séminaire pontifical français de Rome accueille cette année 26 séminaristes français provenant de 20 diocèses du pays. L’émission – tournée pour une grande part au sein du séminaire – répondra aux questions : Pourquoi leurs évêques font-ils le choix de les envoyer ici ? Quelles sont les particularités de leur formation ? Que découvrent-ils à Rome durant ces années ?
Les journalistes suivront les séminaristes dans « leur quotidien » ainsi que « lors d’une rencontre avec le pape François » et « durant une maraude, un service auprès des plus pauvres qui fait partie intégrante de leur formation ».
L’église Saint-Louis-des-Français est entre autres bien connue pour les trois œuvres du Caravage (vers 1571 – 1610) sur saint Matthieu, abritées dans une de ses chapelles.
Dans une interview accordée au père jésuite Antonio Spadaro (Le pape François, “L’Église que j’espère”), le pape François raconte : « Venant à Rome, j’ai toujours habité Via della Scrofa. De là, je visitais souvent l’église Saint-Louis-des-Français, et j’allais contempler le tableau de la Vocation de saint Matthieu du Caravage. » […] « Ce doigt de Jésus vers Matthieu. C’est comme cela que je suis, moi. C’est ainsi que je me sens, comme Matthieu. » […] « C’est le geste de Matthieu qui me frappe : il attrape son argent comme pour dire : “Non, pas moi ! Non, ces sous m’appartiennent !” Voilà c’est cela que je suis : un pécheur sur lequel le Seigneur a posé les yeux. C’est ce que j’ai dit quand on m’a demandé si j’acceptais mon élection au pontificat. »

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Marina Droujinina

Journalisme (Moscou & Bruxelles). Théologie (Bruxelles, IET).

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