Pour Joaquin Navarro Valls, le pape s’est montré « très clair » dans son discours formel en Turquie, en affirmant le « principe de la liberté religieuse » puisque les Orthodoxes et les Catholiques du pays ne disposent pas de « statut juridique qui garantisse leur présence dans le pays ». Donc, en principe, ils ne peuvent pas « manifester leur identité ».

M. Navarro Valls conclut que le voyage commence « à la grande » et « ne déçoit pas », car il a su maintenir un « équilibre efficace entre la cordialité et la clarté ».