Cet étiquetage permettra aux consommateurs de choisir eux-mêmes d'utiliser ou non ces médicaments dont la fabrication aura entraîné la destruction d'embryons.

Rappelons que l'année dernière, une loi australienne a autorisé la recherche sur les embryons.

Depuis lors, le sénateur Brian Harradine n'a cessé de dénoncer cette loi qui loin de créer des "remèdes miraculeux" donne plutôt aux entreprises pharmaceutiques l'occasion de tester leurs produits de manière plus efficace et plus rapide.