Deepavali © Wikimedia Commons

Deepavali © Wikimedia Commons

«La formation et l’éducation à l’espérance», message aux Hindous

Print Friendly, PDF & Email

Deepavali, une fête de la réconciliation familiale

Share this Entry
Print Friendly, PDF & Email

« La formation et l’éducation à l’espérance »  au sein de la famille pourraient rendre la société plus humaine, souligne le message annuel du Vatican aux Hindous.
Publié ce mardi 25 octobre par le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, à l’occasion de la fête de Deepavali qui tombe le 30 octobre, il a été signé par le préfet de ce dicastère, le cardinal Jean-Louis Tauran, et par le secrétaire, Mgr Miguel Ángel Ayuso Guixot.
La fête de  Deepavali, ce que signifie  « mèche de lampe à huile », est célébrée par tous les Hindous. Fondée sur une antique mythologie, elle représente la victoire de la lumière sur les ténèbres, de la vie sur la mort, du bien sur le mal. La célébration dure trois jours, elle marque le début d’une nouvelle année.
« La formation et l’éducation à l’espérance » dans la famille, dit le message,  « reflètent la nature divine de la miséricorde, celle qui embrasse ceux qui ont perdu courage et donne un sens à leur avenir ». Elles  encouragent « les jeunes, dans la charité et à travers le service, à aller vers ceux qui sont dans le besoin et, ainsi, à devenir une lumière pour ceux qui sont dans les ténèbres ».
Le message encourage « chrétiens et hindous » à « protéger le mariage et la vie de famille comme écoles de l’espérance ». « Puissions-nous, appelle-t-il, d’un coin du monde à l’autre, apporter la lumière de l’espérance et offrir ainsi à tous ceux qui le nécessitent l’apaisement et la force. »
La veille de cette fête hindoue qui est caractérisée par la réconciliation familiale, le message rappelle : « La santé de la société dépend de nos liens familiaux. » Le « témoignage de ceux qui ont toujours à cœur le sens d’un mariage et d’une vie de famille » assure « le bien-être de chacun et de la société dans son ensemble ».
La famille, souligne le message, reste toujours « le lieu où les enfants … font l’expérience de la force de l’espérance pour l’affermissement des relations humaines et le soin des derniers de la société, en surmontant les injustices de notre époque ».

Share this Entry

Marina Droujinina

Journalisme (Moscou & Bruxelles). Théologie (Bruxelles, IET).

FAIRE UN DON

Si cet article vous a plu, vous pouvez soutenir ZENIT grâce à un don ponctuel