Mgr Francesco Follo 13/12/2017 @Oss_romano

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"Implorer d’être purifiés", par Mgr Francesco Follo

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« Jésus touche un intouchable »

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« Implorer d’être purifiés », titre Mgr Follo pour ce commentaire des lectures de la messe de dimanche prochain, 11 février 2018 (Lv 13,1-2.45-46 ; Ps 31; 1Co 10,31-11,1; Mc 1,40-45).
 
« Jésus touche un intouchable », fait observer Mgr Francesco Follo qui ajoute: « Le Royaume de Dieu ne tient pas compte des barrières du pur et de l’impur : il les surmonte. Il n’existe pas d’hommes à accueillir et d’hommes à éviter, d’hommes proches et d’hommes lointains, d’hommes avec des droits et d’hommes sans droits. Tous sont aimés de Dieu. Tous sont appelés, et la pratique évangélique doit être le signe de cette amour de Dieu qui ne fait pas de différences. »
Comme lecture patristique, l’Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris (France) propose un commentaire de saint Paschase Radbert (VIIIe-IXe s.).
Implorer d’être purifiés
1) Seigneur : « Purifie-moi »
Le passage évangélique de ce dimanche nous propose la guérison d’un malade de la lèpre[1]. L’évangéliste saint Marc, par ce miracle aussi, veut faire comprendre à son auditoire et à celui d’aujourd’hui que Jésus Christ est le Fils de Dieu.
En effet, le lépreux, pour être guéri, n’utilise pas le verbe « guéris-moi », mais se met à genoux, comme on fait devant un Seigneur et il le supplie en disant : « Si tu le veux, tu peux me purifier ». Il demande d’être purifié, c’est-à-dire de voir sa peau et sa chair intègre, mais également d’être pardonné de ses péchés, délivré de tout ce qui le tient loin de Dieu et des hommes.
Cette attitude est à avoir seulement avec Dieu qui, Lui seul, peut purifier du péché qui a provoqué la maladie.
Pour comprendre cette affirmation qui peut paraître absurde, examinons brièvement la première lecture de la messe d’aujourd’hui. Le passage choisi propose une partie du chapitre 13 du Lévitique. Dans ce chapitre, est décrite la typologie de la lèpre, incluant de manière plutôt large différentes formes de maladies de la peau, dont beaucoup sont curables. Dans le chapitre 14 est présenté le rituel de la purification des lépreux et des maisons infectées.
Donc, d’une part, le Lévitique affirme que les prêtres étaient ceux qui avaient les compétences pour examiner le malade et diagnostiquer sa contagion en le déclarant « impur » (Lev 13, 3), d’autre part dans ce livre, au chapitre 14, le même prêtre est préposé à certifier l’éventuelle guérison (Lev 14, 1-4). Dans les sociétés antiques, les règles de précaution étaient effectivement l’unique défense possible contre les maladies contagieuses, surtout, les maladies incurables ; d’où la dureté des normes exposées dans les versets 45-46 : « Le lépreux atteint d’une tache portera des vêtements déchirés et les cheveux en désordre, il se couvrira le haut du visage jusqu’aux lèvres, et il criera : “Impur ! Impur !” Tant qu’il gardera cette tache, il sera vraiment impur. C’est pourquoi il habitera à l’écart, son habitation sera hors du camp ».
Le lépreux est donc un impur, frappé par Dieu à cause d’une impureté physique et morale : il est un intouchable et doit vivre en banni de la société.
Ceci fait comprendre pourquoi, au temps de Jésus, les lépreux étaient vraiment des « inapprochables », des intouchables – une image de ce que provoque le péché en l’homme. Devant le cri de détresse du lépreux, qui reconnaît en Jésus l’envoyé de Dieu pour soigner aussi les lépreux, Jésus répond par sa « compassion » divine : il tend la main, le touche – devenant lui-même impur selon la loi – et lui dit : « Je le veux, qu’il soit purifié ».
C’est sur cette toile de fond que le récit évangélique acquiert une signification précise : Jésus touche un intouchable. Le Royaume de Dieu ne tient pas compte des barrières du pur et de l’impur : il les surmonte. Il n’existe pas d’hommes à accueillir et d’hommes à éviter, d’hommes proches et d’hommes lointains, d’hommes avec des droits et d’hommes sans droits. Tous sont aimés de Dieu. Tous sont appelés, et la pratique évangélique doit être le signe de cette amour de Dieu qui ne fait pas de différences.
2) La pureté.
Quelle est la conception biblique de la pureté ? Pour ne pas ennuyer avec un long examen des textes bibliques à ce propos, je m’arrête encore sur la première lecture prise chez le Lévitique[2], où il est dit ce qu’encourt celui qui devient impur. Dans ce livre, comme je disais dans le premier paragraphe, quand quelqu’un manifestait des symptômes qui pouvaient être reconduits à la lèpre, justement parce que la lèpre est une maladie infectieuse, il était déclaré par le prêtre « impur ». La conséquence était qu’il devait rester hors du campement.
Les Juifs, comme les anciens peuples d’orient, considéraient « pur » tout ce qui appartenait au domaine du sacré et favorisait le culte de Dieu. A l’opposé, ils considéraient « impur » tout ce qui s’opposait au sacré et était un obstacle au culte. Mais une telle distinction ne concernait pas la sphère morale de la personne, mais uniquement les conditions nécessaires pour être retenus aptes ou pas au culte et pour être insérés dans la vie de la communauté (un lépreux en était exclu).
Au temps de la vie terrestre de Jésus, cette distinction entre pur et impur était en vigueur, soutenue par le groupe des pharisiens. Mis le Christ enseigne à donner la primauté à la pureté intérieure qui a son centre dans le cœur de l’homme, d’où peut sortir ce qui contamine vraiment son existence (Cf. Mt 15,10-20; Mc 7,14-23). Nous aussi, à l’exemple de Jésus, nous devons privilégier la pureté intérieure et morale : la pureté du cœur.
Etre purs de cœur veut dire, surtout, être saints et sincères.
Le saint n’est pas un super-homme. Le saint est un homme vrai, rendu à sa vérité car purifié du péché. Le saint est une personne vraie, qui se met à genoux devant le Christ, reconnaît sa divinité, implore d’être purifiée par sa miséricorde et vit de son amour pur qu’il partage avec son prochain. Saint est celui qui – malgré ses faiblesses, voire même à cause d’elles et pour sa conscience de n’être rien – sait qu’il a besoin d’être converti et relevé, guéri et sauvé par le Christ, chaque jour. C’est pourquoi le saint est celui qui Le suit avec persévérance, d’un cœur sage et intelligent, tout au long du chemin. Tout au long du chemin qui est le Christ lui-même.
Saint est celui qui suit le Christ avec sincérité.
La sincérité est le reflet de vérité des autres vertus. La personne sainte manifeste sa vérité dans la sincérité. C’est la vertu qui garantit la vérité des relations avec Dieu et avec le prochain.  La sincérité et la transparence du cœur. Le manque de sincérité noircit notre vocation de serviteurs de Dieu. Le fondement de la sincérité est d’être en présence de Dieu qui est la transparence de la Vérité. Jésus était sincère. Les personnes savaient comment était son coeur. « Nous le savons, tu es toujours vrai » (Mt 22,16). Sa sincérité était imprimée dans ses yeux.
Donc imitons le Christ dans sa sincérité et, avec simplicité et loyauté, soyons fidèles à son Cœur qui abrite notre cœur et faisons nôtre cette prière : « O Dieu, Toi qui as promis d’être présent en ceux qui t’aiment et en ceux qui, d’un cœur droit et sincère, gardent ta parole, rends-nous dignes de devenir ta demeure » (Collecte du VI dimanche par an).
3) Sincérité et virginité.
Quelle douce joie de penser que le Bon Dieu est juste, c’est-à-dire qu’il tient compte de nos faiblesses, qu’Il connaît parfaitement la fragilité de notre nature. De quoi aurais-je donc peur ? » (Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, Vierge et docteur de l’Eglise)
« La chasteté est sincérité, si bien que la meilleure protection pur la chasteté est de ne rien cacher »
(Sainte Mère Teresa de Calcutta)
La vie des vierges consacrées est un témoignage actuel de la vérité de l’affirmation des deux saintes. Ces femmes se donnent complètement au Christ et leur amour purifié et sanctifié par la consécration devient la visibilité de l’amour de Dieu. Comme Dieu aime sincèrement, sans arrière pensée, sans rien demander en échange, parce qu’Il aime et que c’est une joie pour lui de donner, les vierges consacrées aiment elles aussi sincèrement Dieu et le prochain, pour se donner à Dieu et pour donner chastement au prochain ce Saint Amour dont elles vivent.
« Entièrement consacrées à Dieu, elles sont totalement remises aux frères, pour apporter la lumière du Christ là où les ténèbres sont plus épaisses et pour répandre son espérance dans les cœurs qui ont perdu confiance. Les personnes consacrées sont un signe de Dieu dans les divers milieux de la vie, sont le levain pour la croissance d’une société plus juste et fraternelle, sont une prophétie de partage avec les petits et les pauvres. Ainsi comprise et vécue, la vie consacrée nous apparaît comme elle est réellement : c’est un don de Dieu, un don de Dieu à l’Eglise, un don de Dieu à son Peuple » (Pape François).
Traduction d’Océane Le Gall
 
Lecture patristique
Saint Paschase Radbert (790 – 860)
Commentaire sur l’évangile de Matthieu, 5, 8 (CCM 56 A, 475-476)
Le Seigneur guérit chaque jour l’âme de tout homme qui l’implore, l’adore pieusement et proclame avec foi ces paroles: Seigneur, si tu le veux, tu peux me purifier (Mt 8,2), et cela quel que soit le nombre de ses fautes. Car celui qui croit du fond du coeur devient juste (Rm 10,10). Il nous faut donc adresser à Dieu nos demandes en toute confiance, sans mettre nullement en doute sa puissance.
Et si nous prions avec une foi pleine d’amour, nous bénéficions certainement, pour parvenir au salut, du concours de la volonté divine qui agit en proportion de sa puissance et qui est capable de produire son effet. C’est la raison pour laquelle le Seigneur répond aussitôt au lépreux qui le supplie: Je le veux (Mt 8,3). Car, à peine le pécheur commence-t-il à prier avec foi, que la main du Seigneur se met à soigner la lèpre de son âme.
Ce lépreux nous donne un conseil excellent sur la façon de prier. Ainsi ne met-il pas en doute la volonté du Seigneur, comme s’il refusait de croire en sa bonté. Mais, conscient de la gravité de ses fautes, il ne veut pas présumer de cette volonté. Quand il dit que le Seigneur, s’il le veut, peut le purifier, il fait bien d’affirmer ainsi le pouvoir qui appartient au Seigneur, de même que sa foi inébranlable. Car, pour obtenir une grâce, la foi pure et vraie est à bon droit requise tout autant que la mise en oeuvre de la puissance et de la bonté du Créateur.
Par ailleurs, si la foi est faible, elle doit d’abord être fortifiée. C’est alors seulement qu’elle révélera toute sa puissance pour obtenir la guérison de l’âme et du corps. L’apôtre Pierre parle sans aucun doute de cette foi quand il dit: Il a purifié leurs coeurs par la foi (Ac 15,9). Si le coeur des croyants est purifié par la foi, nous devons entendre par là la force de la foi, car, comme le dit l’apôtre Jacques, celui qui doute ressemble au flot de la mer (Jc 1,6).
Mais la foi pure, vécue dans l’amour, maintenue par la persévérance, patiente dans l’attente, humble dans son affirmation, ferme dans sa confiance, pleine de respect dans sa prière et de sagesse dans ce qu’elle demande, est certaine d’entendre en toute circonstance cette parole du Seigneur: Je le veux.
En ayant présente à l’esprit cette réponse admirable, nous devons regrouper les mots selon leur sens. Aussi bien le lépreux a-t-il dit pour commencer: Seigneur, si tu le veux, et le Seigneur: Je le veux. Le lépreux ayant ajouté: Tu peux me purifier, le Seigneur ordonna avec la puissance de sa parole: Sois purifié (Mt 8,2-3). Vraiment, tout ce que le pécheur a proclamé dans une vraie confession de foi, la bonté et la puissance divine l’ont aussitôt accompli par grâce.
Un autre évangéliste précise que l’homme qui recouvra la santé était tout couvert de lèpre (Lc 5,12), afin que personne ne perde confiance en raison de la gravité de ses fautes. Car tous les hommes sont pécheurs, ils sont tous privés de la gloire de Dieu (Rm 3,23).
C’est pourquoi, si nous croyons à bon droit que la puissance de Dieu est à l’oeuvre partout, nous devons le croire également de sa volonté. Il veut, en effet, que tous les hommes soient sauvés et arrivent à connaître pleinement la vérité (1Tm 2,4).
***
[1] Aujourd’hui nous avons du mal à comprendre le caractère tragique de la lèpre. Cette maladie est curable, or chaque année 211.000 nouvelles personnes environ dont 19.000 enfants en sont encore frappées. Cela veut dire qu’il y aune contamination toutes les deux minutes. Cette maladie est encore présente dans le monde avec 700-800 mille cas. A cause des terribles dégâts qu’elle provoque – déformation des mains et des pieds, cécité et autre – et de ses conséquences sociales d’exclusion par la communauté civile et religieuse, la lèpre était et reste encore aujourd’hui dans tant d’endroits, une malédiction divine.
[2] Dans le livre du Lévitique (le livre de la bible qui s’intéresse à la vie religieuse du peuple d’Israël), nous trouvons une vaste section, regroupant les chapitres de 11 à 15, consacrée entièrement à la distinction entre ce qui est pur et ce qui est impur (aujourd’hui nous dirions entre sacre et profane). Dans cette section est présentée la distinction entre les animaux purs (dont on peut se nourrir, comme le mouton, le veau, l’agneau) et les animaux impurs (dont il est interdit de se nourrir, comme el chameau et le cochon) et est considéré comme source de contamination (ou impureté) la sphère liée à l’accouchement, à la naissance, à la mort, aux relations sexuelles et à la maladie (en particulier a lèpre). Qui était tombé dans l’impureté provoquée par une de ces conditions, devait se soumettre à des rites particuliers de purification avant de se consacrer au culte (comme se laver à l’eau courante et offrir un sacrifice d’expiation).

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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