Un congrès organisé par l’Union catholique des pharmaciens italiens (UCFI) abordera les valeurs non négociables de l’existence humaine, pour défendre le droit à l’objection de conscience des professionnels de la santé, le 5 février prochain, à Rome.

Cette rencontre, intitulée « L’objection de conscience des pharmaciens : entre bioéthique, déontologie professionnelle et bio droit », se situe dans le cadre de la Journée nationale pour la vie du 2 février.

Elle a pour objectif de « souligner les liens étroits qui unissent l’objection de conscience et le respect de la vie ».

D’après un communiqué, le thème sera développé sous divers aspects : médical, scientifique, juridique, déontologique et professionnel.

L’événement a reçu le soutien du député Gian Luigi Gigli, membre de la Commission pour les affaires sociales, du sénateur Lucio Romano, Chef de groupe pour l’Italie au Sénat, et d'associations catholiques et de défense de la vie. Divers groupes politiques interviendront.

Parmi les intervenants : le prof. Filippo Maria Boscia, directeur de clinique du département obstétrique et gynécologie de l’université de Bari, le Dr Bruno Mozzanega, professeur à la Clinique obstétrique et gynécologique de l’Université de Padoue, le Dr Giacomo Rocchi, conseiller à la Cour de cassation, et le Dr Piero Uroda, pharmacien.

Avec Océane Le Gall pour la traduction