Mgr Follo, 2016 © courtoisie de la Mission du Saint-Siège à l'UNESCO

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Les deux disciples d’Emmaüs : pèlerins et évangélisateurs, par Mgr Follo

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Le récit de l’expérience pascale d’Emmaüs, synthétise le sens de l’existence chrétienne

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« Les deux disciples d’Emmaüs : pèlerins et évangélisateurs » : c’est le thème de la lecture que Mgr Follo propose pour la messe de dimanche 30 avril, IIIème Dimanche de Pâques qui sont : Actes 2, 14.22-33; Psaume 15; 1Pierre 1, 17-21; Luc 24,13-35.
L’Observateur permanent id Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris, met en lumière le fait qu’ « il s’agit d’un amour jusqu’à la fin et sans fin ».
Il montre que « le récit de l’expérience pascale des deux disciples d’Emmaüs, synthétise de façon merveilleuse le sens de l’existence chrétienne de chaque disciple de Jésus Christ ».
Mgr Francesco Follo propose comme lecture patristique un extrait de l’ « Apologie première » saint Justin sur « la célébration de l’eucharistie ».
Les deux disciples d’Emmaüs : pèlerins et évangélisateurs
1)De fugitifs à pèlerins
L’Evangile de ce troisième dimanche de Pâques est centré sur le chemin des deux disciples pour lesquels Emmaüs est une étape qui les éloignent de Jérusalem : en effet, c’est dans cette ville qu’ils ont assisté à la fin de leur aventure à cause de la mort du Christ. Il est vrai qu’ils avaient entendu dire par certaines femmes que Jésus était ressuscité, mais il s’agissait d’une nouvelle si incroyable qu’ils quittèrent la ville où leur « rêve » avait été brisé par la Croix.
Providentiellement, le Christ devient leur compagnon de route et, même si – tout au long du chemin – ils ne “voient” en lui qu’un étranger, ils acceptent qu’il marche avec eux et qu’il soulage leur tristesse.  Le désespoir qu’ils ont ne leur permet pas de croire que la Croix du Christ est la clé pour entrer dans la maison du Père.
Avec franchise et amour, cet “inconnu” leur dit : « Esprits sans intelligence[1] ! Comme votre cœur est lent à croire tout ce que les prophètes ont dit ! Ne fallait-il pas que le Christ souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? » Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes, il leur interpréta, dans toute l’Écriture, ce qui le concernait » (Lc 24, 25-27).
Les deux disciples écoutent  l’Inconnu qui, par ses paroles, leur redonne l’esprit pour comprendre, et leur ouvre le cœur à l’accueil. Ce faisant, ils arrivent à Emmaüs, où ils s’arrêtent pour la nuit et l’invitent à rester avec eux parce qu’à cette heure-là, la route  devient dangereuse. A ce geste de partage, Christ répond avec un autre geste de partage : il fractionne le pain pour eux. Ce geste eucharistique permet au deux « fugitifs » de reconnaître le Seigneur.
« Ils racontaient ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain » (Lc 24, 13-35). Cette phrase qui conclut Le récit de l’expérience pascale des deux disciples d’Emmaüs, synthétise de façon merveilleuse le sens de l’existence chrétienne de chaque disciple de Jésus Christ. Qu’est-ce que la nouveauté chrétienne si ce n’est vivre la normalité de la vie, avec ses joies et ses tristesses,  ses espoirs et ses angoisses, illuminée, interprétée, par la manifestation du Christ qui se révèle dans le partage du pain rompu ? Le chemin d’Emmaüs avec Jésus nous change la vie, c’est la description de l’expérience de chacun de nous quand nous arrivons à nous dire l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
Sur la route qui nous conduit à Emmaüs, nous pouvons reconnaître notre chemin de foi, où, au lieu d’une auberge, il y a l’Eglise qui, par la Messe, nous offre les Ecritures et l’Eucharistie, éléments indispensables pour la rencontre avec le Seigneur. Si nous sortons de chez nous avec nos préoccupations et nos difficultés pour aller à l’église, nous pourrons  aller – au moins chaque dimanche – de façon spirituelle à Emmaüs, où la Parole de Dieu nous est  expliquée et le Pain de Vie nous est y donné. C’est là que Dieu reste avec nous : avec sa Parole, Il nous donne consolation et avec son Pain, Il nous restore, nous soigne et nous guérit, en nous donnant la joie.
Le chemin des deux disciples d’Emmaüs est celui de nous tous. Si en faisant route, notre cœur ne reste pas fermé par la tristesse, nous pouvons rencontrer le Ressuscité dans la Parole qui nous fait brûler le cœur, et dans le Pain qui nous ouvre les yeux. Dans la Parole et dans l’Eucharistie, nous-mêmes, nous passons de la mort à la vie et nous reconnaissons la vérité de ce que les premiers témoins oculaires nous ont transmis : nous savons que Jésus est ressuscité parce que nous aussi nous l’avons rencontré. Nous sommes ressuscités à une nouvelle vie dans l’amour.
Le Christ nous annonce l’Evangile de sa résurrection à nous qui sommes en chemin, comme aux disciples. Il nous parle  de l’histoire d’amour de Dieu avec son peuple, il nous rappelle la  fidélité constante de Dieu qui a contracté une alliance éternelle avec nous. Le Christ nous parle et ouvre notre cœur aux Saintes Ecritures. Il nous révèle ainsi la profondeur de Son cœur rempli d’amour à cause, ou mieux, grâce auquel il « devait » souffrir, mourir. Il ne pouvait faire rien d’autre que nous aimer de cet amour absolu et infini qui va au-delà des barrières de la mort et de la chair.

  • Un amour sans fin et jusqu’à la fin

La mémoire des disciples (et de chacun de nous) est mise en éveil par la présence du Christ qui est Parole et Pain. Or, les yeux du cœur, aussi, se sont ouverts et, en ce temps-là comme aujourd’hui, il est possible de connaître qui est Celui qui les accompagne. Pour l’esprit des disciples ouvert à la Parole et à la fraction du Pain, l’événement obscur de la mort du Christ devient lumière. L’esprit illuminé et le cœur ouvert, notre tristesse devient prière : « Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse ». Sur l’obscurité d’un événement lié à la mort (celle du Christ), descend la lumière du Christ ressuscité.
Il a suffi que les deux disciples expriment leur désir de partage pour qu’Il accueille leur invitation, entre et reste avec eux parce qu’en réalité, Il désirait leur révéler son Amour pour eux.
Faisons de même et le Christ entrera chez nous, dans notre cœur, dans notre vie. Alors, Il sera à table avec nous, comme Il le fut « avec eux » ; et pour nous, comme « pour eux », le pain béni et coupé devient énergie pour refaire le chemin inverse vers Jérusalem, pour annoncer que le Christ est vraiment ressuscité et qu’ils l’ont rencontré.
A ce point, deux questions importantes émergent : comment et où peut-on rencontrer le Ressuscité ? Comment reconnaître le Seigneur qui marche avec nous ?
Dans l’auberge d’Emmaüs, les yeux de Cléophas et de l’autre disciple sans nom (et donc en qui, chacun de nous peut s’identifier) s’ouvrent quand Jésus, assis à table en leur compagnie, accomplit quatre gestes (il prit le pain, rendit grâce – en grec “eucharisto” – avec la prière de bénédiction, le rompit et le distribua). Ces gestes projettent les disciples à la fois en arrière et en avant :
ils les projettent en arrière en faisant mémoire la Cène eucharistique au Cénacle et à la vie terrestre de Jésus (une vie rompue et partagée en don comme pain rompu), à la croix dont Sa vie est l’accomplissement ;
ils les projettent en avant, dans le temps de l’Eglise, temps où les chrétiens continuent à « rompre le pain » (un des premiers mots donnés à l’Eglise). Cette fraction du pain est donc un geste sacramentel, dans un certain sens synthétique, dans lequel les trois étapes de l’existence de Jésus se concentrent et se chevauchant : Jésus sur la terre, Jésus Ressuscité et Jésus Seigneur qui est présent maintenant dans la communauté.
La « fraction du pain” est toujours la modalité reconnaissable de la présence du Seigneur : c’est la modalité du Crucifié, du Ressuscité et du Seigneur glorieux présent dans l’Eglise. Il s’agit d’un amour jusqu’à la fin et sans fin.
3) Virginité, Parole et Eucharistie
Les vierges consacrées dans le monde se donnent complètement à cet amour qui se donne complètement. Ce qui arrive à la Vierge Marie quand elle dit à l’ange de Dieu : « que tout m’advienne selon ta parole » (Lc 1,38) devient particulièrement vrai pour elles. Le cœur de la Vierge Marie devint un Tabernacle, et chacune de ces consacrées pourrait dire de façon particulière: « que tout m’advienne selon ta parole ». Saint Bernard de Clairvaux commente de façon géniale: que la Parole (le Verbe) qui était au commencement auprès de Dieu (cf. Jn 1,2), se fasse chair dans ma chair selon ta parole. Que la Parole vienne à moi. Cette Parole qui n’est pas seulement audible à l’oreille, mais aussi visible aux yeux, palpable,  aux mains et portable en bras ».
Sur l’exemple des vierges consacrées, nous prions avec ces mots de Saint Bernard : « Pour ce qui me concerne, je prie que le Verbe de Dieu s’incarne dans mes entrailles, selon ta Parole. Je ne veux pas qu’il vienne à moi solennellement déclamé, ou signifié de façon symbolique, ou rêvé avec imagination, mais dans le silence inspiré, personnellement incarné, corporellement incarné. Que la Parole, qui, en soi, ne pouvait ni n’avait besoin d’être faite, se daigne d’être faite en moi et à moi selon ta Parole ».
Enfin, le Mystère Eucharistique manifeste un rapport intrinsèque avec la virginité consacrée, puisque c’est l’expression du dévouement exclusif de l’Eglise au Christ qu’elle accueille comme son Epoux avec fidélité radicale et profonde. Dans l’Eucharistie, la virginité consacrée trouve inspiration et aliment pour son dévouement total au Christ. C’est pour cette raison que dans la Messe de consécration, l’Evêque prie : « Dieu qui as inspiré à nos sœurs le désir de garder la virginité, daigne achever en elles ton œuvre. Pour que leur offrande soit parfaite, donne-leur de rester fidèles jusqu’au bout » (Rituel de la consécration des vierge, annexe 1 : Oraison de la Messe).
Lecture Patristique : Saint Justin
Apologie première
La célébration de l’eucharistie
Personne ne doit prendre part à l’Eucharistie, sinon celui qui croit à la vérité de notre doctrine, qui a été baptisé pour obtenir le pardon des péchés et la nouvelle naissance, et qui vit selon l’enseignement que le Christ nous a transmis.
Car nous ne prenons pas l’Eucharistie comme un pain ordinaire ou une boisson ordinaire. De même que Jésus Christ notre Sauveur, en s’incarnant par la Parole de Dieu, a pris chair et sang pour notre salut : ainsi l’aliment devenu eucharistie par la prière contenant sa parole, et qui nourrit notre sang et notre chair en les transformant, cet aliment est la chair et le sang de ce Jésus qui s’est incarné. Voilà ce qui nous est enseigné.
En effet, les Apôtres, dans leurs mémoires qu’on appelle évangiles, nous ont ainsi transmis l’ordre de Jésus : Il prit du pain, il rendit grâce et il dit : Faites cela en mémoire de moi. Ceci est mon corps. Il prit la coupe de la même façon, il rendit grâce et il dit : Ceci est mon sang. Et c’est à eux seuls qu’il le distribua. ~ Depuis ce temps, nous n’avons jamais cessé d’en renouveler la mémoire entre nous.
Parmi nous, ceux qui ont de quoi vivre viennent en aide à tous ceux qui sont dans le besoin, et nous sommes toujours unis entre nous. Dans toutes nos offrandes, nous bénissons le créateur de l’univers par son Fils Jésus Christ et par l’Esprit Saint.
Le jour appelé jour du soleil, tous, qu’ils habitent la ville ou la campagne, ont leur réunion dans un même lieu et on lit les mémoires des Apôtres et les écrits des prophètes aussi longtemps qu’il est possible.
Quand le lecteur a fini, celui qui préside fait un discours pour nous avertir et pour nous exhorter à mettre en pratique ces beaux enseignements.
Ensuite nous nous levons tous et nous faisons ensemble des prières. Puis, lorsque nous avons fini de prier, ainsi que je l’ai déjà dit, on apporte le pain avec le vin et l’eau. Celui qui préside fait monter au ciel des prières et des actions de grâce, autant qu’il en est capable, et le peuple acclame en disant Amen. Puis on distribue et on partage à chacun les dons sur lesquels a été prononcée l’action de grâce ; ces dons sont envoyés aux absents par le ministère des diacres.
Les fidèles, qui sont dans l’aisance et qui veulent donner, donnent librement, chacun ce qu’il veut ; ce qu’on recueille est remis à celui qui préside et c’est lui qui vient en aide aux orphelins et aux veuves, à ceux qui sont dans le besoin par suite de maladie ou pour toute autre cause, aux prisonniers, aux voyageurs, aux étrangers ; bref, il vient en aide à tous les malheureux.
C’est le jour du soleil que nous faisons tous notre réunion, d’abord parce que c’est le premier jour, celui où Dieu, à partir des ténèbres et de la matière, créa le monde ; et c’est parce que ce jour-là est encore celui où Jésus Christ, notre Sauveur, ressuscita d’entre les morts. La veille du jour de Saturne (du samedi), on l’avait crucifié, et le surlendemain, c’est-à-dire le jour du soleil, s’étant montré à ses Apôtres et à ses disciples, il leur enseigna ce que nous avons exposé.
NOTES:
1 (Lc 24,36
Salutatio a salute.
3 (Lc 24,38
4 (Col 3,1 etc.
5 (1Co 15,43
6 (Lc 24,38-40.
7 (Lc 24,41
Totus hoc credidit mundus, qui non credidit remansit immundus.
9 (Lc 24,44
10 (Lc 24,44
11 (Lc 24,45
12 Ulsaris.
13 (Lc 24,46
14 (Lc 24,47
15 (1Co 3,11
16 (Ac 7,58).
17 (Ac 4,32
18 (Ac 9,4
19 Aries.
20 (Ga 6,14
21 (Ps 115,1 Sept. (xcvi. 1, English version).
[1] Le mot grec utilisé est ἀνόητος (anoetos) ce qui veut dire « sans tête » – Ce qui pourrait dire “sans esprit”. Cela signifie que la tête est là, mais que l’esprit, le cerveau ne sont pas utilisés. Cela veut dire, pour ce qui concerne la tête, qu’il ne manque que le cerveau.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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