Bradley James, CD sur des prières de Mère Teresa

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"Fils du Père de Miséricorde, source de paix", par Mgr Follo

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«Ne laisse jamais tes préoccupations grandir jusqu’à te faire oublier la joie du Christ ressuscité»

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« Fils du Père de Miséricorde, source de paix »: c’est le titre de cette méditation de Mgr Francesco Follo sur les lectures de la messe de dimanche prochain, 23 avril 2017, dimanche de la Miséricorde (IIème Dimanche de Pâques, année A – Ac 2, 42 – 46 : Ps 117, 1 P 1, 3-9 ; Jn 20,19-33).
L’Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris,  y souligne notament l’importance de la foi,comme « condition pour le pardon et pour avoir la vie ». Et il invite à « avoir toujours confiance dans la miséricorde du Christ ».
Surtout, il cite un grand témoin de la miséricorde divine, sainte Teresa de Calcutta: « Sainte Teresa de Calcutta était tellement sûre du Christ ressuscité que souvent elle affirmait: « Ne laisse jamais que tes préoccupations grandissent jusqu’à te faire oublier la joie du Christ ressuscité ». »
Fils du Père de Miséricorde[1], source de paix
           1) Dimanche[2] de la miséricorde, le « deuxième nom » de l’amour.
« Qu’est-ce que la Miséricorde ? je répondrais à cette question que « c’est une misère qui est recueillie dans le cœur. Lorsque la misère des autres atteint et ‘blesse’ ton cœur, c’est la miséricorde » (P. Davide Maria Turoldo). Cette Miséricorde est possible lorsque l’on croit en Dieu Amour qui a Miséricorde « comme deuxième nom », comme St Jean-Paul II l’a écrit dans l’encyclique Dives in misericordia.
Et si ce fut ce Saint Pape qui a donné officiellement le titre de « Dimanche de la Divine Miséricorde »  à ce deuxième dimanche de Pâques, il est utile de souligner que la raison, du moins implicite, peut-être trouvée dans l’ Evangile d’aujourd’hui, où l’on raconte que le Rédempteur entre au Cénacle et, en apparaissant aux apôtres, il leur donne la paix et les charge d’ « administrer » le pardon et la réconciliation, c’est-à-dire la Miséricorde de Dieu que Jésus a manifestée en long et large lors de sa vie sur la terre.
Par exemple :
. avant de remettre le paralytique sur pied, il lui dit : « Fils, tes péchés sont pardonnés » en suscitant une surprise parce que Dieu est le seul qui peut pardonner les péchés. Mais Jésus est réellement Dieu, et c’est pour cela qu’il peut pardonner divinement.
. Il explique à ses disciples que Dieu est comme un bon pasteur qui cherche la brebis égarée ou comme ce père qui pardonne à son fils qui était parti avec la moitié de son héritage et se fâche avec l’autre fils qui était resté à la maison.
. Jésus recommande la Miséricorde dans la prière du Notre Père ( … Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés ..)  et de  pardonner jusqu’ à soixante-dix fois, de savoir distinguer le pêché du pêcheur et en ne se limitant pas de donner de bons enseignements, sur la croix, il dit même : « Père, pardonne les parce qu’ils ne savent pas ce qu’ ils font ».
Le Christ Ressuscité confie à l’Eglise cette mission d’annoncer, vivre, célébrer et répandre la Miséricorde divine, que Lui a tant recommandée et pratiquée.
De cette façon, le Christ ressuscité révèle le sens de l’Eglise. Jésus l’a voulue pour annoncer -à tous les hommes et en tous les  temps – l’évangile de sa mort et de sa résurrection, c’est-à-dire le salut porté par lui, en libérant tous ceux qui croient en lui de la mort et du péché. Le Rédempteur envoie donc ses apôtres pour proclamer la miséricorde divine[3].
Cette miséricorde vient d’un Dieu qui est le Père tendrement ferme et paternellement amoureux.
            2) La foi, condition pour le pardon et pour avoir la vie
Le récit de l’Evangile d’aujourd’hui nous dit quelle est la condition pour recevoir la Miséricorde paternelle. L’évangéliste déclare avoir écrit « pour que vous croyiez que Jésus est le Christ, le fils de Dieu, et parce que en croyant, vous ayez la vie en son nom ». Peu avant, en rapportant le célèbre épisode de l’incrédulité de Thomas, invité par le Ressuscité à toucher les plaies par lesquelles il est mort, St Jean rapporte ces paroles consolantes et au même temps inquiétantes : « parce que tu m’as vu, tu as cru ; heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru ». La foi, donc, est la condition pour être pardonné et « avoir la vie ».
Pour cette raison, au début de la messe d’aujourd’hui, au nom de tous les fidèles, le prêtre prie : « Dieu d’éternelle miséricorde, qui par le retour de ces fêtes pascales enflammes la foi de ton peuple consacré, augmente la grâce que tu lui as donnée afin que tous, par une intelligence juste, comprennent par quel baptême ils ont été purifiés, par quel Esprit ils ont été régénérés, par quel sang ils ont été rachetés (Collecte[4]) ». C’est à travers la foi en l’Evangile et à travers le Baptême que l’on acquiert le salut, c’est-à-dire la rémission des péchés et le don de la nouvelle et vraie vie.
Si « nous l’invoquons avec foi, la miséricorde nous est accordée; pendant que nous la confessons vivante et réelle, elle nous transforme réellement. Ceci est un contenu fondamental de notre foi que nous devons conserver dans toute son authenticité : avant la révélation du péché, nous avons celle de l’amour avec lequel Dieu a créé le monde et tous les êtres humains. L’amour est le premier acte avec lequel Dieu se fait connaître et vient à notre rencontre. Gardons, donc, notre cœur ouvert à la confiance d’être aimé par Dieu. Son amour nous précède toujours, nous accompagne et reste auprès de nous malgré notre péché » (Pape François, Lett. Ap. Misericordia e Misera, 20 novembre 2016).
Mère Teresa de Calcutta, Missionnaire de la Charité  est un exemple pour vivre cette foi, pour croire à l’amour. Cette Sainte a fait tout ce qu’elle a fait pour Jésus. A  celui qui lui demanda « qui est le Christ pour vous », Mère Teresa répondit : « Qui est Jésus pour moi? Jésus est le Verbe fait homme, il est le pain de la vie, il est la victime offerte pour nos péchés sur la croix, il est le sacrifice offert pour mes péchés et pour ceux du monde, il est la parole qui doit être annoncée, il est la vérité qui doit être proclamée, il est la vie qui doit être parcourue, il est la vie qui doit être vécue, il est la lumière qui doit resplendir, il est l’ amour qui doit être aimé, il est la joie qui doit être partagée, il est le sacrifice qui doit être offert, il est la paix qui doit être donnée, il est le pain de la vie qui doit être mangé, il est l’affamé qui doit être nourri, il est l’assoiffé qui doit être désaltéré, il est le nu qui doit être vêtu, il est l’homme seul qui doit être consolé, il est l’indésirable qui doit être voulu, il est le drogué qu’ il faut aider, il est la prostituée qu’il faut soustraire au danger et qu’ il faut soutenir, il est le prisonnier qu’ il faut visiter ».
Sainte Teresa de Calcutta était tellement sûre du Christ ressuscité que souvent elle affirmait: « Ne laisse jamais que tes préoccupations grandissent jusqu’à te faire oublier la joie du Christ ressuscité ».
La joie, don du Seigneur ressuscité, est une participation à sa propre joie. Ils n’existent pas deux joies différentes, une pour Dieu et une pour l’homme. Il s’agit toujours, dans un cas comme dans l’autre, d’une joie qui puise ses racines dans l’amour. Cette joie ne consiste pas dans l’absence de la Croix, mais dans la compréhension du Christ ressuscité. La foi permet une lecture différente de la croix et du drame de l’homme. La paix et la joie sont en même temps les dons du Ressuscité et les traces pour le reconnaître.
Cette petite, grande Sœur était certaine du paradis, là où elle désirait aller, mais était aussi certaine que, déjà sur la terre, il est possible d’être avec Jésus et communiquer sa joie, en aimant le prochain comme Lui l’ aime et en le servant comme Lui le sert. C’est de cette façon que cette Sainte a été Missionnaire de la Charité miséricordieuse.  Ce n’est pas important de faire de grandes actions comme elle a fait, l’important est de petites choses avec grand amour.
Dieu est amour. La révélation de son amour est le Christ : comme Fils il nous révèle la paternité du Père. Comme homme il nous révèle son amour d’époux pour l’Eglise.
Les vierges consacrées dans le monde répondent à cet amour. Elles se consacrent au Christ aimé comme raison de leur vie. Comme St Léandre de Séville écrit : « Pour les vierges consacrées, le Christ est tout : époux, frère, ami, partie de l’héritage, prix, Dieu et Seigneur » (Regula Sancti Leandri, Introductio).
En répondant  « Oui, je le veux » à la question « Voulez-vous être consacrée au Seigneur Jésus Christ, le Fils du Très-Haut, et le reconnaitre comme votre époux ? » (rituel de consécration des vierges N° 24), les vierges sont consacrées au Christ époux[5], et partagent complètement sa mission de Miséricorde qui va jusqu’au don extrême de soi sur le chemin de la charité. Ces femmes témoignent qu’il ne faut pas se disperser dans des choses superflues et secondaires, mais se concentrer sur la réalité fondamentale qui est la rencontre avec le Christ, avec sa miséricorde, avec son amour et aimer ses frères comme lui les a aimés. Une rencontre avec le Christ qui est aussi adoration et don pleinement pour lui. Ce Saint Jean-Paul II tenait à dire en écrivant : « Dans la virginité (consacrée) s’exprime …le radicalisme de l’Evangile : tout laisser et suivre le Christ (Lett. Ap. Mulieris dignitatem, 20) en l’aimant et en portant au prochain Sa Miséricorde.
Lecture Patristique, saint Cyrille d’Alexandrie (376-444)
Commentaire sur l’évangile de Jean, 12 (PG 74, 704-705)
En entrant dans le Cénacle toutes portes closes, le Christ a montré une fois de plus qu’il est Dieu par nature, et qu’il n’est pas différent de celui qui vivait auparavant avec les disciples. En découvrant son côté et en montrant la marque des clous, il manifestait à l’évidence qu’il a relevé le temple de son corps qui avait été suspendu à la croix, en détruisant la mort corporelle, puisque par nature il est la vie et il est Dieu.
Mais alors que le moment était venu de transformer son corps par une gloire inexprimable et prodigieuse, on le voit tellement soucieux de fonder la foi en la résurrection future de la chair qu’il a voulu, conformément à l’économie divine, apparaître tel qu’il était auparavant. Ainsi ne penserait-on pas qu’il avait alors un corps différent de celui avec lequel il était mort sur la croix.
Même si le Christ avait voulu déployer la gloire de son corps devant les disciples, avant de monter vers le Père, nos yeux n’auraient pu en supporter la vue. Vous le comprendrez facilement si vous vous rappelez la transfiguration qui avait jadis été montrée sur la montagne. En effet, saint Matthieu écrit que le Christ fut transfiguré devant eux, que son visage resplendit comme l’éclair et que ses vêtements devinrent blancs comme neige. Quant à eux, ne pouvant supporter la vision, ils tombèrent la face contre terre.
C’est pourquoi, afin d’observer exactement le plan divin, notre Seigneur Jésus apparaissait encore, au Cénacle, sous sa forme antérieure, et non pas selon la gloire qui est due et convient à son Temple transfiguré. Il ne voulait pas que la foi en la résurrection se porte sur un aspect et sur un corps différents de ceux qu’il reçut de la sainte Vierge et dans lesquels il est mort après avoir été crucifié selon les Écritures. En effet, la mort n’avait pouvoir que sur la chair, dont elle allait être chassée. Car, si ce n’est pas son corps mort qui est ressuscité, quelle espèce de mort a donc été vaincue? Ou encor e, comment le pouvoir de la corruption aurait-il cessé, sinon par la mort d’une créature raisonnable? Car ce ne fut pas l’oeuvre de l’âme, ni de l’ange, ni même du Verbe de Dieu. Donc, puisque la mort ne peut exercer son pouvoir que sur ce qui est corruptible par nature, on aura raison d’estimer que la force de résurrection peut s’exercer aussi sur cela, pour que la tyrannie de la mort soit renversée. .
Le Seigneur salue ses disciples en disant: Paix à vous. n déclare ainsi que lui-même est la paix. Car ceux auprès desquels il est présent bénéficient d’un esprit parfaitement apaisé. C’est évidemment ce que saint Paul souhaitait aux fidèles quand il disait: Que la paix du Christ, qui dépasse tout ce qu’on peut imaginer, garde votre coeur et votre intelligence dans le Christ Jésus (Ph 4,7). Pour saint Paul, la paix du Christ, qui dépasse tout ce qu’on peut imaginer, n’est autre que son Esprit: celui qui participe à son Esprit sera rempli de tout bien.
***
NOTES
[1] Dans l’Encyclique Dives in misericordia, Saint-Jean-Paul II explique les deux mots sémitiques qui sont sous-tendus dans le mot français « miséricorde » : donner à nouveau le cœur à celui qui est dans l’état de misère.
Le premier mot est hesed. Il fait référence à une promesse, il rappelle, donc, une fidélité à l’intérieur d’une alliance, comme l’alliance nuptiale. Il s’agit d’un amour qui parle de solidarité radicale réciproque et jurée. Il s’agit d’un amour qui devient aussi exigeant et qui connait la colère de la jalousie. Deux amants sont jaloux.
Le deuxième (second) mot est rahamîn. A son origine nous retrouvons rehem, utérus. Il nous parle d’une tendresse maternelle, d’un amour fruit des propres viscères. Il nous rappelle la paternité de Dieu en Osée 11 : une paternité affectueuse, une tendresse stable. Dieu aime avec tendresse comme une mère et il est au même temps une guide forte comme un père, en surmontant toutes les catégories culturelles qui tendent à attribuer séparément la fermeté au père et la douceur à la mère.
[2] En 1992, Saint Jean-Paul II établit la fête de la Divine Miséricorde et fixa qu’elle soit célébrée dans toute l’Eglise Catholique aujourd’hui, deuxième dimanche de Pâques, aussi dite « Dimanche in albis » parce que ceux qui avaient reçu le Baptême la nuit de Pâques déposaient leurs vêtements blancs reçus lors de la Veille de Pâques pendant leur Baptême.
[3]
[4] Deus misericórdiæ sempitérnæ, qui in ipso paschális festi recúrsu fidem sacrátæ tibi plebis accéndis, auge grátiam quam dedísti, ut digna omnes intellegéntia comprehéndant, quo lavácro ablúti, quo spíritu regeneráti, quo sánguine sunt redémpti. | Dieu d’éternelle miséricorde, qui par le retour de ces fêtes pascales enflammes la foi de ton peuple consacré, augmente la grâce que tu lui as donnée afin que tous, par une intelligence juste, comprennent par quel baptême ils ont été purifiés, par quel Esprit ils ont été régénérés, par quel sang ils ont été rachetés.
[5] L’expression « se marier avec le Christ », s’accorde mieux aux femmes. A partir de l’antiquité, les vierges consacrées ont été considérées comme les épouses du Christ. On peut dire qu’elles représentent, dans la façon la plus appropriée et la plus complète, la qualité de l’épouse du Christ qui est attribuée à l’Eglise. Les vierges consacrées personnifient cette relation d’épouse avec le Christ. En effet, la consécration virginale donne à cette relation toute sa valeur. La vierge qui donne tout son cœur au Christ renonce à un époux humain pour prendre directement le Seigneur comme époux. Dans le mariage, il y a cette actuation des noces de Christ et de l’Eglise, comme Saint Paul l’a dit (Eph 5, 28). Dans la virginité, cette actuation est plus totale parce que Christ lui seul devient l’Epoux, sans la médiation d’un époux humain. Le lien d’Epouse de l’Eglise avec le Christ rejoint ainsi sa plus grande profondeur.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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