Rencontre avec la communauté paroissiale du Sacré-Cœur des Premières Nations © Vatican Media

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Incarner la « Réconcil’Action », c’est vivre en tant que disciple du Christ et servir ceux qui souffrent

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Témoignages et reconnaissances des membres du conseil paroissial de l’église Sacré-Cœur d’Edmonton, Canada

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Des membres du conseil paroissial de l’église du Sacré-Cœur des Premières Nations ont pris la parole lors de la rencontre avec le pape à l’église. Cette visite a été fixée le premier jour du pèlerinage du Saint Père au Canada comme une étape sur le « chemin de réconciliation ». 

La paroisse est très honorée par cette visite du pape François. Elle a toujours été un lieu de guérison et de réconciliation depuis plusieurs années. C’est à travers les témoignages, l’histoire et les nombreux ministères de l’église que les fidèles indigènes et membres du conseil paroissial ont voulu remercier le pape pour sa présence parmi eux.

L’église fait face à nombre de défis : héritage d’un passé douloureux avec toutes les difficultés de répondre aux besoins de ceux qui frappent à la porte. Financièrement, elle est l’église la plus pauvre mais la plus riche par son activité, son accueil et sa force. Les gens de plusieurs nations venus au Canada en tant qu’immigrants sont toujours les bienvenus et sont de plus en plus nombreux.    

L’église du Sacré-Cœur des Premières Nations incarne la « Réconcil’Action » afin de vivre en tant que disciple du Christ et servir ceux qui souffrent. Pour les autochtones, l’église du Sacré Cœur sert et servira de lieu de guérison et de réconciliation entre eux et avec tous ceux qui choisissent de venir en cette église, maintenant et demain. 

L’église du Sacré-Cœur est celle des survivants. Elle continue à être l’endroit où langues, cultures, arts et musiques autochtones sont et seront préservés. C’est la fierté des peuples autochtones pour les générations à venir.

Source : bulletin de la salle de presse

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Rédaction

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