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La logique du pardon, par Mgr Follo

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Commentaire des lectures du dimanche 12 juin 2016

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« La logique du pardon » : Mgr Francesco Follo, Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris, propose ce commentaire théologique et spirituel des lectures de la messe de ce dimanche 12 juin 2016 (11ème dimanche du Temps Ordinaire – Année C). Et il propose comme lecture patristique d’un auteur syriaque sur la pécheresse pardonnée.
Mgr Follo fait notamment observer que la vraie hospitalité, celle du cœur, naît de l’amour : « La vraie hospitalité ne fut pas celle offerte à Jésus par Simon mais celle offerte par la pécheresse à Jésus et, donc par nous tous. Elle fut et est l’hospitalité du cœur. Elle naquit et naît de l’amour. »
Lectures de la messe de ce dimanche sont :
2e livre de Samuel 12, 7 – 10, 13 ; Psaume 31 ; épître de saint Paul aux Galates 2, 16.19-21 ; évangile de Luc 7, 36 – 8, 3.

La logique du pardon

1) Une rencontre bouleversante.
Dans l’Evangile de ce XIème dimanche du Temps ordinaire, Saint Luc raconte l’épisode de l’invitation faite à Jésus par un pharisien à prendre un repas chez lui où arrive une pécheresse notoire. Elle n’est pas invitée et « ose » laver les pieds de Jésus avec des larmes et du parfum. Pour bien comprendre l’épisode, il faut se souvenir de « certaines habitudes » d’alors. Lorsqu’un riche accueillait un invité à sa propre table, il appelait tout d’abord un serviteur pour laver les pieds de l’invité car les sandales ne protégeaient pas de la poussière de la rue. Ensuite il l’embrassait et lui versait quelques gouttes d’huile parfumée sur la tête. De plus, il faut savoir que le banquet était public : tout le monde pouvait entrer et regarder.
Mettons-nous à la place d’un curieux qui entre ce jour-là dans la maison du pharisien Simon qui avait invité Jésus qui était désormais célèbre. Peut-être, comme Simon le pharisien, ce n’est pas l’admiration qui nous fait nous mouvoir vers Messie mais le désir d’ « étudier » de plus près cet homme considéré par beaucoup de gens comme un prophète, c’est-à-dire un envoyé de Dieu. Mais, pendant le banquet, une femme entra dans la salle de façon inattendue (or, en ce temps-là, seuls les hommes participaient à ce type de repas) ; et elle était avant tout connue comme une pécheresse (ainsi que l’Evangéliste l’appelle). Cette femme se jeta en larmes aux pieds du Christ. Jésus la laissa faire : il s’adressa ensuite au maître de la maison à qui il avait déjà lu dans ses pensées (« si celui-ci était un prophète, il pourrait savoir quel type de femme elle est et il ne lui permettrait pas de le toucher »). Il lui dit alors: « Un créancier avait deux débiteurs ; le premier lui devait cinq cents pièces d’argent, l’autre cinquante. Comme ni l’un ni l’autre ne pouvait les lui rembourser, il en fit grâce à tous deux. Lequel des deux l’aimera davantage ? » Simon répondit : « Je suppose que c’est celui à qui on a fait grâce de la plus grande dette. – Tu as raison », lui dit Jésus ». (Lc 7,40-43).
Simon su donner la réponse juste au Christ mais c’est seulement la curiosité qui l’attirait. La pécheresse, sans nom, car elle nous représente tous, était attirée par le regard et les paroles de miséricorde qui émanaient du cœur de Jésus et qui illuminaient son esprit et réchauffaient son cœur. Le Rédempteur lui donnait la Paix, le Bien et la Joie qu’elle cherchait ; avant tout, elle pleura de douleur, et ensuite, de la joie du pardon.
Les larmes de cette femme furent comme l’eau du baptême, dans laquelle la pécheresse mourut et la créature nouvelle naquit. Elle présenta sa douleur au Christ qui la confirma dans son amour. L’amour naît du pardon et le pardon fait croître l’amour.
La rencontre avec le Christ bouleversa positivement la vie de cette pécheresse, ce qui peut également nous arriver si nous présentons notre douleur au Christ.
2) Une rencontre déconcertante, mais salvifique.

Je crois que si nous aussi, nous voulons être bouleversés par le pardon du Christ, nous devons avant tout nous laisser déconcerter par cet épisode sur lequel nous sommes en train de réfléchir. Nous l’avons écouté tant de fois et tout nous semble normal et évident. En effet, la façon dont cette femme manifeste sa douleur et son amour est déconcertante. Si le seul fait de délier ses cheveux devant des hommes était indécent jusqu’ à en mériter le divorce, selon certains textes rabbiniques, nous réussissons à comprendre combien le fait que Jésus se laissât laver les pieds par une femme qui en plus était une pécheresse connue, fut totalement déconcertant pour les personnes présentes. Jésus accepta tranquillement ces gestes, devant un public scandalisé. Ce que le pharisien et les autres invités considéraient comme un geste d’impureté légale analogue à celui de toucher un porc ou un cadavre, était considéré par Jésus comme un geste d’accueil, de communion avec l’humanité pécheresse : le salut accordé comme don de grâce.
Certes ce don inépuisable exige une réponse. Mais la réponse vient après, elle n’est pas la première parole, seulement la deuxième.
En effet, le salut vient de l’amour que Jésus nourrit pour nous et qui le pousse à donner sa vie pour nous. Le salut ne peut pas venir d’un devoir, le cas échéant les devoirs sont la réponse au fait que nous avons fait une rencontre dans notre vie, qu’une relation est née entre nous et Jésus et qu’à partir de ce moment-là, notre comportement a changé. Les paroles de Jésus à Simon, son invité pharisien qui en réalité ne L’a jamais vraiment accueilli, même s’il l’a fait entrer chez lui, sont en effet un appel à la primauté de la relation.
Et, qu’est-ce-qui arrive à travers cette relation créée par l’amour? Jésus le dit clairement : le pardon.
3) Relation avec le Christ.

Le pardon permet d’avoir une relation de communion avec le Christ. En effet, à quoi sert de prier (le verbe grec est traduit par « inviter » mais il signifie « prier ») Jésus de vouloir partager notre table si notre cœur est loin comme l’était celui de Siméon.
Ce pharisien s’arrête au seuil d’un vrai rapport de communion et reste prisonnier de sa justice d’homme qui se considère comme une bonne personne. Il se considère être sans péchés, donc les larmes ne coulent pas sur son visage. Il juge, en s’appuyant sur ses propres connaissances des Ecritures, guidé seulement par ses critères, ceux fondés sur des règles et des « préceptes d’hommes » qui ont la prétention de corriger ceux de Dieu. Simon reçoit le cadeau d’être à table avec Jésus, mais c’est une présence formelle avec un comportement de supériorité et suffisance qui lui font oublier les règles élémentaires de l’accueil. Il croit accomplir la loi et ses préceptes, mais il oublie l’essentiel qui est l’accueil d’un invité, avec les rites que tous les Juifs avaient l’habitude de faire envers les invités. Il n’a pas eu aucune attention envers le Christ, même pas le minimum.
Le comportement de la pécheresse de cette ville est bien différent et plus vrai. Elle savait qu’elle ne pouvait pas s’approcher de Jésus, « donc elle s’approcha pas à la tête mais aux pieds du Seigneur; elle qui avait suivi la route du vice, cherchait à suivre les traces laissées par les pieds saints du Seigneur. Elle commença à verser des larmes, qui sont comme le sang du cœur. Elle lava les pieds du Seigneur avec l’humble confession des propres péchés » (S. Augustin). Et du fond de sa douleur et de sa repentance, sa foi -le chemin qui l’avait conduite jusqu’ aux pieds de Jésus comme aux fonts baptismaux avec l’espoir que l’impossible d’une vie nouvelle puisse devenir possible- la poussa à se mettre à genoux devant Lui.
Jésus sait parfaitement « qui et quelle sorte de femme est celle qui est en train de Le toucher : c’est une pécheresse, comme Simon, mais à la différence de celui-ci, elle Le « touche » par amour : elle Le touche pour Lui livrer son péché. Elle le sait. Elle connait son indignité absolue. Ses péchés sont là, évidents, entre ses mains. C’est une douleur aigüe, qui lui transperce le cœur, une angoisse mortelle. Cette femme a touché la mort, maintenant elle touche la Vie.
4) Hospitalité du cœur.

La vraie hospitalité ne fut pas celle offerte à Jésus par Simon mais celle offerte par la pécheresse à Jésus et, donc par nous tous. Elle fut et est l’hospitalité du cœur. Elle naquit et naît de l’amour. Ce n’est pas un fait extérieur, de comportements mais de choix intérieurs dictés par l’amour. Les paroles de Siméon ouvrirent formellement la porte de sa maison au Sauveur, mais les larmes de cette femme pécheresse ouvrirent la porte du cœur.
Cette fois aussi, c’est Jésus qui prend l’initiative parce que l’amour de celui qui est pardonné vient après. Il est la réponse reconnaissante, il est le fruit de ce pardon offert de façon prévenante. Jésus nous pardonne et lorsque nous nous en apercevons, nous apprenons à l’aimer, à travers nos larmes de repentis. « Celui auquel on pardonne peu, aime peu » dit Jésus en bien indiquant l’ordre : en premier le pardon, ensuite la réponse d’amour.
Se souvenir de combien nous avons été pardonnés, nous aide à beaucoup aimer Jésus et à le suivre dans les larmes de notre repentir et la joie du cœur.
5) Un enseignement pour et par les Vierges consacrées dans le monde.
La vie de cette femme publique et pécheresse changea parce qu’elle se mit à genoux aux pieds de Jésus, en expérimentant le pardon et « la paix » dans laquelle « marcher » dans la vie nouvelle. Ce chemin de libération ne doit pas être uniquement fait pour passer du mal au bien mais pour persévérer jusqu’aux pieds du Christ sur la croix et dans le jardin où se trouvait le sépulcre et où, première parmi les croyants, Madeleine (rien n’interdit de penser que cette femme sans nom soit Marie Madeleine) rencontra le Seigneur ressuscité qui l’appela par son nom : Marie.
Une façon importante de persévérer aux pieds du Christ est celle des vierges consacrées dans le monde. Leur chasteté permet à ces femmes d’embrasser les pieds du Christ de manière sainte. Le verbe grec (katafileo) correspondant à ce baiser nous dit qu’il ne s’agit pas d’un baiser de courtoisie pour saluer ni d’un baiser passionné des amoureux ni celui du père poussé par le sang commun vers son fils. Le verbe grec katafileo (embrasser) dénote une dévotion sincère ou authentique (7,38.45; 15, 20 ; Act 20, 37).
Ce verbe grec est utilisé aussi dans la parabole du père miséricordieux qui pardonne au fils perdu. C’est un baiser tendre de pardon. C’est le baiser d’un amour qui excuse tout, croit tout, espère tout, supporte tout: c’est le baiser d’un amour qui ne passe pas parce que c’est un amour éternel et divin. C’est l’amour de Dieu qui nous cherche, nous pardonne, et nous remplit de grâce et de joie.
La vie des vierges témoigne qu’en se donnant complètement à Dieu, (cf. rituel de consécration des vierges n° 24 : Regarde Seigneur, notre sœur : en réponse à ton appel, elle se donne tout entière à toi ; elle a remis entre tes mains sa décision de garder la chasteté et de se consacrer à toi pour toujours), on peut aimer le prochain de façon sincère et authentique en lui communiquant le pardon divin avec la pratique constante des œuvres de miséricorde.
Nous aussi aujourd’hui nous pouvons verser les larmes sur Jésus en le suppliant d’accorder la charité qui peut transformer notre amour limité en repentir au don et pardon qui dépasse le seuil de la mort et du péché : ce sont nos larmes sur les pieds du frère et de la sœur, parce qu’en chacun le Christ est vivant.
La virginité nous rend libre pour aimer d’un amour pur sans échange et nous fait livrer à l’autre gratuitement et sans mesure.

Lecture Patristique

Homélie d’un auteur syriaque anonyme (6e siècle)
Homélies anonymes sur la pécheresse, 1, 4.5.19 26.28
L’amour de Dieu, sorti à la recherche des pécheurs, nous est proclamé par une femme pécheresse. Car en appelant celle-ci, c’est notre race tout entière que le Christ invitait à l’amour; et en sa personne, ce sont tous les pécheurs qu’il attirait à son pardon. Il parlait à elle seule; mais il conviait à sa grâce la création tout entière. Personne d’autre ne l’a persuadé de lui donner la main pour qu’elle vienne au pardon. Seul son amour pour celle qu’il a modelée l’a persuadé, et sa grâce l’a prié pour l’oeuvre de ses mains.
Qui ne serait touché par la miséricorde du Christ, lui qui, pour sauver une pécheresse, accepta l’invitation d’un pharisien? A cause de celle qui est affamée de pardon, il veut lui-même avoir faim de la table de Simon le pharisien, alors que, sous l’apparence d’une table de pain, il avait préparé à la pécheresse une table de repentance.
Le pasteur est descendu du ciel vers la brebis perdue, pour reprendre, dans la maison de Simon, celle qu’avait enlevée le loup rusé. Chez Simon le pharisien, il a trouvé celle qu’il cherchait.
Quand elle voyait les pieds de Jésus, la pécheresse les regardait comme le symbole de son incarnation, et quand elle les saisissait, elle croyait saisir son Dieu pour ainsi dire au niveau de sa nature corporelle. Par ses paroles, elle le priait comme son Créateur. Car il est clair que ses paroles, quoique non écrites, se laissent deviner par ses gestes. Celle qui, de ses larmes, baigne les pieds de Jésus, les essuie avec ses cheveux, verse sur eux un parfum de grand prix, ne peut que dire des paroles correspondant à ses actes. C’est une prière qu’elle présente au Dieu fait chair: en lui apportant son humilité, elle témoigne de sa confiance en lui. Et par le dialogue qu’ils ont entre eux, elle apporte la preuve qu’il est réellement homme.
Telles furent donc les paroles adressées à Jésus par la pécheresse, quand elle se tenait à ses pieds. Lui, dans sa patience, les écoutait, et il proclamait par son silence la constance d e la femme. Par sa patience, il proclamait l’endurance de cette femme, et par sa bienveillance il approuvait son audace. Il montrait que c’était justice qu’elle obtienne de lui le pardon devant tous les invités. Il ne parla pas aussitôt, et, quand il parla, il ne dit qu’une parole. Mais, par cette parole, il détruisit les péchés, supprima les fautes, chassa l’iniquité, accorda le pardon, extirpa le péché, fit germer la justice. Son pardon apparut soudainement au-dedans de son âme et en chassa les ténèbres du péché: elle fut guérie, elle reprit sens et, avec la santé, recouvra la force. Car c’est ainsi que Jésus a coutume d’accorder ses dons: en plénitude. Il le fait aisément puisqu’il est le Dieu de l’univers.
Afin qu’il en soit ainsi pour toi, prends conscience que ton péché est grand, mais que désespérer de ton pardon, parce que ton péché te semble trop grand, c’est blasphémer contre Dieu et te faire du tort à toi-même. Car s’il a promis de pardonner tes péchés quel que soit leur nombre, vas-tu lui dire que tu ne peux pas le croire et lui déclarer: « Mon péché est trop grand pour que tu le pardonnes. Tu ne peux pas me guérir de mes maladies »? Là, arrête-toi et crie avec le prophète: J’ai péché contre toi, Seigneur (2S 12,13). Aussitôt il te répondra: « Moi, j’ai passé par-dessus ta faute; tu ne mourras pas. » A lui, la gloire par nous tous, dans les siècles. Amen.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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