Mgr Follo, 2016 © courtoisie de la Mission du Saint-Siège à l'UNESCO

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Un cri qui obtient le salut, par Mgr Francesco Follo

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« La prière c’est le dialogue avec Dieu qui sauve »

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« Avec le souhait de faire l’expérience du fait que la prière c’est le dialogue avec Dieu qui sauve », Mgr Francesco Follo propose ce commentaire des lectures de la messe de dimanche prochain, 20 août 2017, XXe Dimanche du Temps Ordinaire (Is 56,1.6-7; Ps 66; Rm 11,13-15.29-32; Mt 15,21-2).
Comme lecture patristique, L’Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris, propose ensuite un commentaire de saint Jean Chrysostome.
Un cri qui obtient le salut
1)Le cri de la foi pour invoquer un don et non pas pour l’exiger.
Dimanche dernier, nous avons médité sur la prière filiale du Christ qui exprime son exigence d’être avec le Père, et sur la prière de Pierre qui pour être avec le Christ crie: « Seigneur, sauve-moi. ». L’Evangile d’aujourd’hui nous fait entendre le cri d’une femme païenne qui – d’une manière suppliante et confiant – s’adresse au Messie en disant : « Ayez pitié de moi, Seigneur, Fils de David! ». Cette femme supplie le Christ de libérer sa fille du diable. Elle demande humblement le Seigneur de faire un miracle qui n’est pas exigé comme un droit, mais comme un don. Elle le demande à Celui qui est don, en le reconnaissant comme le Seigneur et le Messie. Sa foi est contenue dans l’expression: « Ayez pitié de moi, Seigneur, fils de David ».
Encore une fois, la Liturgie nous fait contempler le « Evangile de la grâce » qui répond au désir du salut et pour cela elle nous fait prier: « Répands en nos cœurs la ferveur de ta charité, afin que t’aimant en toute chose et par-dessus tout, nous Pour ceux qui t’aiment, Seigneur, tu as préparé des biens que l’œil ne peut voir : obtenions de toi l’héritage promis qui surpasse tout désir ». (Prière d’ouverture de la Messe).
En priant de cette façon, nous nous mettons dans l’horizon sans bornes de l’amour de Dieu pour nous, un amour qui nous attire à Lui pour nous remplir de joie.
L’épisode raconté dans l’Evangile d’aujourd’hui s’insère, et on le comprend, dans cette logique de l’amour tendre et infini de Dieu. Dans ce récit, saint Matthieu nous raconte une rencontre qui a lieu « dans un pays étranger » avec une femme païenne, qui est une mère opprimée par une douleur déchirante (« Ma fille est tourmentée par un démon »). C’est un récit qui nous raconte l’histoire d’une douleur ouverte à la foi et d’une foi qui devient miracle et délivrance. Cette mère a obtenu ce qu’elle a demandé avec foi.
Cette femme cananéenne se tourne vers Jésus, sûre d’être entendue. Sa foi est insistante, courageuse, humble, plus forte que l’apparent rejet de Jésus. La foi doit –en même temps- être sûre et patiente. Elle ne doit pas se laisser décourager même par le silence de Dieu: «  Mais il ne lui répondit pas un mot » (Mt 15, 23). Le silence de Jésus peut sembler déconcertant, de sorte qu’il provoque l’intervention de ses disciples, mais il ne s’agit pas d’insensibilité à la douleur de cette femme.
D’une manière correcte Saint Augustin commente: « Le Christ se montrait indifférent à elle, non pas lui refuser sa miséricorde, mais pour attiser son désir » (Sermo 77, 1: PL 38, 483). L’apparente prise de distance de Jésus qui dit: « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël » (Mt 15, 24.), ne décourage pas la Cananéenne qui insiste: «Seigneur, viens à mon secours ! » (Mt 15,25). Et même quand elle reçoit une réponse qui semble fermer tout espoir « Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens » (v 26), elle ne se résigne pas. Elle ne veut rien enlever à qui que ce soit : dans sa simplicité et dans son humilité il lui suffit de peu : des miettes lui suffisent. Un regard et une bonne parole du Fils de Dieu lui suffisent. Jésus admire la réponse de grande foi donnée par cette mère et il lui dit, «« Femme, grande est ta foi, que tout se passe pour toi comme tu le veux ! » (Mt 15, 28) et à partir de ce moment, sa fille fut guérie.
2) Demande persévérante auprès de qui nous aime.
La guérison d’une jeune femme n’est pas le seul miracle dans l’Evangile d’aujourd’hui. Au cours du dialogue entre le Christ et la Cananéenne qui mendie une grâce, il est arrivé un miracle encore plus grand que celui de la guérison de sa fille. Cette mère est devenue une « croyante », l’une des premières croyantes venue du paganisme
Si le Messie l’avait écoutée immédiatement, tout ce que cette femme aurait obtenu, aurait été la libération de sa fille. Sa vie aurait continué avec quelque ennui en moins. Mais ç’aurait été là-bas et, à la fin, la mère et la fille seraient mortes dans l’anonymat. Nous allons au contraire parler de cette femme païenne anonyme jusqu’à la fin du monde. Et, peut-être, Jésus saisit-il l’occasion de cette rencontre pour proposer la parabole de la veuve importune sur « la nécessité de prier sans se décourage ».
Dans l’insistance de cette cananéenne on voit la confiance dans la puissance de Jésus. Il essayait de rester caché, mais la renommée qui l’accompagnait, l’empêchait d’avoir un seul instant de trêve. Lui, il était là pour elle (et maintenant il est là pour nous). Et elle l’avait bien compris. Sa présence sur ce territoire non juif « dans la région de Tyr et de Sidon » ne pouvait pas être le résultat d’un hasard. Elle avait saisi que c’était le temps favorable (kairos) pour le salut de sa fille. Cette certitude la fait bouger, la pousse vers Jésus. La certitude de la foi pleine d’espérance la jette aux pieds du Christ qui lui dit: « O femme, grande est ta foi! Qu’il soit fait comme tu le désires » (cf. Mt 15, 28). Oui, cette femme a une grande foi. « Bien qu’elle ne connaisse ni les anciens prophètes, ni les miracles récents du Seigneur, ni ses commandements ni ses promesses ; et, en plus, rejetée par lui, elle persévère dans sa demande et ne s’arrête pas de frapper à la porte de l’homme qui, par la réputation, lui était indiqué comme sauveur. Par conséquent, sa prière est exaucée de manière visible et immédiate « (Saint Bède, le Vénérable, Homélies sur les Evangiles I, 22: PL 94, 102-105).
La prière insistante de cette femme ne naît pas seulement du besoin d’obtenir la guérison de sa fille, elle nait de la foi qui ne résulte pas d’une théorie ou d’un besoin, mais d’une rencontre avec le Christ, le Fils du « Dieu vivant qui appelle et révèle son amour » (Pape François, Lumen Fidei, 4), avec un geste de miséricorde.
De plus, l’épisode sur lequel nous sommes en train de méditer, nous fait comprendre que dans la prière de demande au Seigneur nous ne devons pas attendre un accomplissement immédiat de ce que nous demandons, mais plutôt nous devons nous confier au cœur du Christ, en essayant d’interpréter les événements de notre vie dans la perspective de son plan d’amour, souvent mystérieux à nos yeux. Par conséquent, dans notre prière, la demande, la louange et l’action de grâce devraient se fondre ensemble, même quand il semble que Dieu ne répond pas à nos attentes concrètes. L’abandon à l’amour de Dieu qui nous précède et nous accompagne toujours, est l’une des attitudes de base de notre dialogue avec Lui.
Un exemple clair de cette attitude est offert par les vierges consacrées, qui sont appelés à vivre d’une manière particulière le « service de la prière », comme l’indique le Rite de la Consécration, quand l’évêque leur remet le Livre des Heures.
En outre, avec le don complet de soi-même au Christ, ces femmes montrent comment demander, comment prier : avant que le don (grâce) soit accordé, elles adhèrent à Jésus, qui, dans ses dons se donne lui-même. Le Donneur est plus précieux que le don; Il est le « trésor inestimable », la « perle précieuse »; le don du miracle est donner « en plus » (cf. Mt 6,21 et 6,33).
Ces femmes consacrées témoignent d’une chose très importante : avant que le don soit donné, il est nécessaire d’adhérer à Celui qui donne: le Donneur est le don le plus précieux. Pour nous, donc, au-delà de ce que Dieu nous donne lorsque nous l’invoquons, le plus grand cadeau qu’il peut nous donner c’est son amitié, sa présence, son amour. Il est le trésor précieux à demander et à chérir à jamais.
Enfin il ne faut pas oublier le lien profond entre l’amour de Dieu et l’amour du prochain qui doit également entrer dans notre prière. Notre prière ouvre la porte à Dieu, qui nous apprend à sortir constamment de nous-mêmes pour être capables de nous faire proches des autres, surtout dans les moments d’épreuve, pour leur apporter consolation, espérance et lumière. Le Seigneur Jésus nous accorde d’être capables d’une prière assidue et intense, pour renforcer notre relation personnelle avec Dieu le Père, développez nos cœurs aux besoins de ceux qui nous entourent et sentir la beauté d’être « fils dans le Fils » ainsi que de nombreux sœurs et frères.
 
Lecture patristique
Saint Jean Chrysostome
 (344/354 – 407)
Homélie “Que le Christ soit annoncé”, 12-13
(PG 51, 319-320)

Une Cananéenne s’approcha de Jésus et se mit à le supplier à grands cris pour sa fille qui était possédée par le démon. Elle lui disait: Aie pitié de moi, Seigneur, ma fille est tourmentée par un démon (Mt 15,22). Cette femme, une étrangère, une barbare, sans aucun lien avec la communauté juive, qu’était-elle sinon une chienne indigne d’obtenir ce qu’elle demandait? Il n’est pas bien, dit Jésus, de prendre le pain des enfants pour le donner aux chiens (Mt 15,26)! Pourtant, sa persévérance lui a mérité d’être exaucée. Celle qui n’était qu’une chienne, Jésus l’a élevée à la noblesse des petits enfants; bien plus, û l’a comblée d’éloges. Il lui dit en la renvoyant: Femme, ta foi est grande, que tout se fasse pour toi comme tu le veux (Mt 15,28)! Quand on entend le Christ dire: Ta foi est grande, on n’a pas à chercher d’autre preuve de la grandeur d’âme de cette femme. Vois comme elle a effacé son indignité par sa persévérance. Remarque également que nous obtenons davantage du Seigneur par notre prière que par la prière des autres.
Comme la femme poussait des cris, les disciples s’approchèrent de Jésus et lui dirent: Donne-lui satisfaction, car elle nous poursuit de ses cris (Mt 15,23)! Mais il leur répondit: Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues d’Israël (Mt 15,24). Alors la Cananéenne elle-même s’avança et lui cria encore: C’est vrai, Seigneur, mais justement les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres (Mt 15,27). Alors le Seigneur lui accorda aussitôt la faveur qu’elle désirait, en disant: Que tout se fasse pour toi comme tu le veux (Mt 15,28)!
Observe qu’après avoir opposé un refus aux disciples, le Seigneur accorde sa grâce à cette femme qui la lui demandait elle-même. <> D’abord elle n’avait obtenu aucune réponse à sa requête. Il a fallu qu’elle s’approche une, deux et trois fois, pour qu’il lui accorde la grâce désirée. A la fin, il a exaucé sa prière. Il nous a fait comprendre ainsi qu’en la faisant attendre, il n’avait pas l’intention de rejeter la Cananéenne, mais voulait nous donner à tous sa patience en exemple. <>
Forts désormais de tous ces enseignements du Seigneur, ne nous abandonnons pas au désespoir! Quand bien même nos péchés nous rendraient indignes d’obtenir sa grâce, sachons que nous pourrons la mériter par notre persévérance.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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