Mgr Francesco Follo, 17 déc. 2018 © Mgr Francesco Follo

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« La loi de la liberté pour marcher sur le chemin de l’amour », par Mgr Follo

Dimanche avec la Parole de Dieu

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Les lectures de la messe de dimanche prochain, 16 février 2020 (VIème Dimanche du Temps ordinaire), sont l’occasion de « demander le don de l’Esprit Saint afin qu’Il porte avec nous et en nous le « joug » de la loi qui ainsi devient une « fardeau léger » (Mt 11,30) », fait observer Mgr Francesco Follo qui décrypte cette « loi de la liberté pour marcher sur le chemin de l’amour ».

Comme lecture patristique, l’observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO propose un commentaire d’Épiphane de Bénévent (5e-6e siècle) sur l’accomplissement de la loi.

La loi de la liberté,

pour marcher sur le chemin de l’amour

1) Remplir la loi.

Avant de proposer des réflexions sur l’accomplissement de la Loi, je crois utile de présenter des petites remarques sur le premier verset de l’évangile d’aujourd’hui dans lequel Jésus dit : « Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir » (Mt 5,17). Si nous tenons en compte le texte grec et en faisons une traduction à la lettre, nous pourrons écrire ainsi : « Ne pensez pas que je sois venu pour dissoudre la Loi ou les Prophètes. Je ne suis pas venu pour dissoudre, mais pour remplir ». Cela permet de comprendre que Jésus, le Messie, est celui qui accomplit la loi en la remplissant d’amour.

L’amour ne détruit pas, n’annule pas la Loi. Au contraire il est la force et la lumière pour la réaliser et pour l’enseigner (avant tout elle est à mettre en pratique et en suite à l’enseigner. L’amour est le raffinement de la Loi.

Jésus est le premier homme qui vit la Parole de Dieu, encore plus, il est la Parole de Dieu faite chair. Donc Jésus se présente comme l’accomplissement parfait de la Loi. N’oublions pas que, pour les Hébreux, la loi est la Parole de Dieu, est la volonté de Dieu que l’homme a du mal à accomplir.

Enfin le Messie est celui qui accomplit la loi et donne à l’homme un cœur nouveau afin qu’il puisse l’accomplir. En ce verset, on affirme que la valeur de la loi est pérenne. Elle doit être accomplie en sa totalité et, en Jésus elle est accomplie dans sa totalité. En outre, la grandeur de l’homme dépend de son observance ou de sa non-observance de la Parole de Dieu. Celui qui l’observera et apprendra à faire de même, sera grand. Celui qui ne l’observera pas apprendra à faire de même, il sera le plus petit dans le Règne des cieux. Donc la volonté de Dieu devient la mesure de la réalisation de l’homme comme juste.

Mais, quelques instants après, le Christ dit : « Si votre justice ne surpasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux » (Mt 5, 20). Cette affirmation semble démentir ce que Jésus disait avant, elle introduit les antithèses suivantes en disant : « regardez les scribes et les pharisiens, ils connaissent bien la loi et l’observent parfaitement. Mais si votre justice n’est pas supérieure à la leur, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux ». Mais alors, de quelle justice parle le Christ ? Il parle de la justice qui nait de l’amour.

Le vrai amour conduit à faire le bien. Donc je pense qu’il est correct d’affirmer que pour « justice en Jésus » l’on entend « celle qui vient d’un cœur nouveau ». La justice chrétienne n’est pas réductible à une observance de codes légaux. Elle nait de la capacité d’aimer qui fait vivre correctement.

Pratiquement l’optique dans laquelle Jésus se met, est celle du cœur nouveau, du cœur du Fils. Pour celui qui est fils, il est clair qu’il vit en rapport filial avec le Père et des rapports fraternels avec les autres. Et il vit cela non pas à cause de la loi, mais par la grâce de l’amour. Donc c’est grâce à l’amour que l’on observe la loi. En effet qui aime dans la vérité ne tue pas, ne vole pas, ne ment pas, au moins quand il aime dans la vérité.

Donc l’amour devient l’accomplissement de toute la loi. La loi dit où on se trompe mais elle ne donne pas la vie. Elle dit où l’on meurt, l’’amour donne la vie. Et qui aime, a la vie, il remplit la loi en l’accomplissant, sans aller contre la vie.

2) La loi[1] et son accomplissement[2]

Dans l’Evangile de ce dimanche, Jésus veut « accomplir la loi et les prophètes »[3] (Mt 5,17).  En effet, le Christ, le Verbe, fait chair par amour pour nous n’est pas seulement la Parole de la loi, c’est à dire le Chemin sur le quel nous devons marcher, mais aussi la Vérité qui accomplit la loi, et la Vie qui est le prix de cet accomplissement.

Quel est donc « l’accomplissement » de la loi ? L’accomplissement de la loi est l’obéissance au commandement de l’amour (cf. Rm 13,9-10). L’obéissance devient ainsi le signe que l’on vit sous la grâce de l’amour. « Si vous m’aimez, observez mes commandements » (Jn 14,15), parce que l’amour ne remplace pas la loi mais l’observe, l’accomplit.

Même, l’amour est la seule force qui peut réellement observer la loi. On peut aussi dire de plus : « Jésus, lui-même, est l’accomplissement de la loi parce qu’il en réalise la signification authentique avec le don total de soi : il devient lui-même loi vivante, personnelle »[4] et lumineuse.

Le psaume 18, déjà, compare la loi de Dieu à la lumière du soleil, lorsqu’il affirme que les « préceptes du Seigneur sont limpides, ils clarifient le regard » (18/19,9).

Le Livre des Proverbes, depuis, affirme que « le précepte est une lampe et l’enseignement est une lumière » (6,23).

Enfin, il ne faut pas oublier que Jésus lui-même présente sa personne comme la révélation définitive utilisant la même image : « Je suis la lumière du monde, celui qui me suit ne marche pas dans les ténèbres mais aura la lumière de la vie » (Jn 8,12), la lumière de l’amour. Le Christ est Lumière sans laquelle nous ne pouvons marcher qu’à tâtons. Lui est Lumière qui nous fait connaître nous-mêmes, comprendre le monde et savoir où nous allons.

Marcher dans la lumière du Christ veut dire accepter la croix quotidienne et recevoir la paix. La paix du coeur est la force du croyant : si nous sommes persévérants dans l’obéissance des préceptes de Dieu, notre constance sera source de bonheur.

Prions Notre Seigneur des cieux pour que le Christ, notre loi[5], illumine nos coeurs, revigore nos âmes er nous donne la sagesse des simples, pour que nous puissions toujours marcher dans sa lumière même lorsqu’il y a des difficultés et des dangers.

Jésus ne commença pas à prêcher en disant : « Convertissez-vous et croyez à l’Evangile pour que le Règne vienne à vous », il commença en disant: « Le Royaume de Dieu est venu parmi vous : convertissez-vous et croyez à l’Evangile ». La conversion ne vient pas en premier lieu et le salut ensuite ; mais, c’est d’abord le salut qui est donné et, ensuite, vient la conversion.

Dans le christianisme, il existe des devoirs et des commandements ; toutefois, c’est du don que naît le devoir et pas l’inverse. C’est la grâce et l’amour qui précèdent le commandement : « Nous aimons parce que lui, il nous a aimé avant » (1 Jn 4.19).

3) La Loi est un don.

Le Christ ne nous dit pas « ce qu’il faut faire » mais « ce que nous devons être » et, donc, il nous apprend aussi comment nous devons vivre pour réaliser la communion dans l’amour pour Dieu et pour les frères. En respectant les commandements, nous obéissons à la loi avec amour, Loi qui est enracinée dans l’amour de Dieu et qui indique la volonté de Dieu pour soutenir notre vie par ses ordres de charité. Avec le respect de Sa loi de liberté, nous devenons plus « humains », en faisant resplendir en nous l’image et la ressemblance de Dieu qui nous a créé pour la vie avec Lui.

La loi est la parole de Dieu qui indique sa volonté pour la vie. Jésus a été le premier à accomplir cette volonté, qui est un don que Dieu nous donne pour nous permettre de vivre en hommes et femmes nouveaux dans l’amour. Qui aime accomplit toute la loi qui est le chemin de la vie, en l’observant toujours.

En disant qu’Il n’est pas venu abolir la loi mais l’accomplir, Jésus veut nous enlever la peur de la punition et nous enraciner dans l’amour confiant. Lui l’Homme qui connaît l’homme en comprend les faiblesses. Il sait qu’une loi imposée avec la peur de la punition n’est par exemple, respectée que trois fois sur dix. Il sait également qu’une loi qui garantit une récompense n’est observée que, par exemple, sept fois dix. Il veut nous aider à l’observer dix fois sur dix. Alors, comme un bon frère ainé, il nous rappelle que, non seulement Dieu a donné la loi à Moïse sur le Mont Sinaï, au milieu du tonnerre et de la foudre, mais qu’elle est aussi sortie de la Pensée de Dieu qui nous l’a donnée grâce à Son Amour et à Sa Parole : Jésus, le Verbe incarné, l’Homme qui a Dieu comme Père, nous apprend que la sainteté n’est pas un « métier » pour peu de personnes, mais qu’elle est la vocation de tous les baptisés.

La sainteté n’est pas une séparation de la vie quotidienne, de la fatigue de vivre quotidienne, mais elle est une vie vécue dans la confiance comme des enfants dans les bras de leur maman.

Un exemple significatif est celui de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et du Saint Visage. Qu’a-t-elle fait que nous ne puissions pas faire? Cette petite mais grande sainte répondit à l’amour comme une jeune femme de 24 ans peut le faire. Elle ne fit pas  de grandes choses[6].

La grandeur de nos actions dépend de la foi que nous avons dans amour de Dieu. Imitons la petite Thérèse qui croyait avec certitude être aimée par Dieu. Elle a ainsi bouleversé le ciel avec ses gestes d’amour petits et simples, avec un sourire, avec des pas dans le jardin, avec l’offrande de ses douleurs à cause de sa tuberculose afin qu’un missionnaire ait la force de reprendre son chemin d’évangélisateur.

Même ses parents, Mr et Mme Martin, vécurent comme la petite Thérèse Martin de l’Enfant Jésus et je pense qu’ils furent ceux qui enseignèrent ce style de vie que la Sainte carmélite parcourut comme « un petit chemin ». La petite voie de l’enfance spirituelle de Thérèse de Lisieux demande un coeur pur et pauvre d’une personne simple comme la petite Thérèse qui sut rester les mains vides devant Dieu, avec un seul repère « la confiance, rien d’autre que la confiance ».

Don la sainteté et la joie sont un but possible pour nous aussi, « il suffit » de vivre chaque moment de notre vie quotidienne en l’offrant à Dieu.

Ce style de vie est pratiqué par les vierges consacrées. Elles sont des femmes simples, qui expriment leurs talents dans le dévouement à Dieu et dans le service aux les autres dans la normalité du quotidien. (cf Rituel de consécration des vierges, Praenotanda, n°2, traduction libre à partir du latin : Comme on sait, les vierges consacrées, sous l’impulsion de l’Esprit Saint, offrent leur chasteté pour aimer le Christ plus ardemment et pour servir fidèlement et avec zèle leurs frères, sans entraves.

En effet, les vierges chrétiennes doivent s’adonner aux œuvres de pénitence et miséricorde, à l’activité apostolique et à la sainte prière selon leur propre statut et leurs charismes.)

L’Ordo Virginum est un don pour l’Eglise d’aujourd’hui, pour rendre visible le Règne de Dieu parmi nous. Ces femmes sont appelées à « faire extraordinairement bien l’ordinaire », parce que la virginité consacrée dans le monde n’a pas des taches opérationnelles définies sauf celle du témoignage clair et courageux de l’Evangile dans leur milieu de travail ou de vie. Elles se donnent complètement à Dieu en restant dans le monde. Elles ont comme signe distinctif celui de montrer la compassion de Dieu qui se manifeste avec leur présence discrète. Cette présence qui se donne permet aux autres de rencontrer la Présence, qui est un don.

Leur vie témoigne non seulement qu’il est possible de faire aux autres ce que l’on voudrait que soit fait pour nous, mais faire aux autres ce que Dieu fait pour nous, en aimant avec un amour vigoureux et propre. La loi de l’amour n’est pas de donner peu ou beaucoup mais de donner avec beaucoup d’amour. Nous parlons avec la bouche, regardons avec les yeux, agissons avec les mains avec la vie consacrée, la bouche dit des paroles de louanges à Dieu, les yeux contemplent l’amour de Dieu et les mains s’unissent pour prier Dieu et s’ouvrent pour donner au prochain.

Lecture Patristique

Épiphane de Bénévent (5e-6e siècle)

Commentaire sur les quatre évangiles (PLS 3, 852)

Je ne suis pas venu abolir la Loi, mais l’accomplir (Mt 7,17). En ce temps-là, en effet, le Seigneur a exercé son pouvoir pour accomplir en sa personne tous les mystères que la Loi annonçait à son sujet. Car dans sa Passion, il a mené à terme toutes les prophéties.

Lorsque les Juifs lui offrirent, selon la prophétie du bienheureux David, une éponge imbibée de vinaigre pour calmer sa soif, il l’accepta en disant: Tout est accompli. Puis, inclinant la tête, il remit l’esprit (Jn 19,30).

Il a non seulement réalisé personnellement tout ce qu’il a dit, mais il nous a encore confié ses commandements, afin que nous les mettions en pratique. Alors que les anciens n’avaient pas observé les commandements les plus élémentaires de la Loi, il nous a prescrit de garder les plus difficiles, avec la grâce et la puissance qui viennent de la croix. Il a déclaré: Vous avez appris qu’il a été dit: Tu ne commettras pas de meurtre. Eh bien moi, je vous dis: Tout homme qui se met en colère contre son frère, en répondra au tribunal (Mt 5,21).

Autrefois, celui qui avait tué quelqu’un était coupable d’homicide; maintenant un mouvement de colère contre son frère est un crime d’homicide. Supprime donc l’intention mauvaise pour ne pas en arriver à l’acte; réprime ta colère pour ne pas commettre de meurtre. Si Caïn avait fait taire sa rancoeur dès que le Seigneur l’eût averti, il n’aurait pas consenti à tuer son frère. Car la colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu (Je 1,20).

Et si quelqu’un en insulte un autre, il sera passible du grand conseil, c’est-à-dire celui qui aura proféré une injure, fût-elle très petite ou légère, à l’adresse d’une personne qui appartient à Dieu, en répondra au conseil des saints, à la résurrection. Et celui qui dira à un saint homme.; Fou!, il sera passible de la géhenne de feu (Mt 5,22). Être passible de la géhenne, c’est aussi être dans la géhenne.

Voilà pourquoi il faut que nous nous gardions des péchés moins graves, comme de dire des injures, d’avoir des pensées mauvaises et des regards concupiscents, et de prêter l’oreille à des propos coupables. Ainsi nous ne risquerons point d’en arriver à commettre des actes criminels. Celui qui tient les petits manquements pour négligeables, en viendra à commettre des fautes graves. Et si le juste est sauvé à grand peine, où donc se retrouvera l’homme pécheur et impie (1P 4,18)?

[1] Il est important de rappeler que la Loi (en hébreu la Torah) n’est pas pour Israël un ensemble de normes, comme nous la comprenons. Il s’agit avant tout d’un don fait par Dieu à son peuple dans le but de faire connaître sa volonté salvatrice. En hébreu, Torah vient du verbe instruire (yrh) se référant en particulier à l’enseignement transmis par le Pentateuque (les 5 premiers livres de l’Ancien Testament) et, par extension, est ensuite attribué à toute l’Ecriture. Naturellement, un tel don est d’ordre pratique, il comporte des actions concrètes à accomplir, et donc la traduction de loi par nomos en grec est correcte.

[2] L’accomplissement apporté par Jésus à cette Loi peut être compris en se référant a) à son comportement personnel (il a observé les préceptes de la Loi ; b) à son rôle dans la réalisation des Ecritures, souligné par Saint Matthieu (cfr. Chapitre 1-2 et autres  passages) ; c) à la portée de son enseignement tel qu’il est exprimé dans le commandement de l’amour (cfr. Mt 22,40) et à partir duquel tous les autres puisent leur force et leur signification.

[3] La Loi et les Prophètes étaient les premières deux grandes parties de la Bible hébraïque(la troisième partie se compose des Psaumes ; par extension, elles indiquent tout l’Ancien Testament, et c’est dans ce sens que Saint Matthieu l’utilise (cfr. 7,12; 11,13; 22,40).

[4] Bienheureux Jean-Paul II, Veritatis Splendor, 15.

[5] La Torah du Messie, c’est le Messie lui-même, c’est Jésus. Cet élément des tablettes de pierre du Sinaï, qui est véritablement essentiel et permanent, apparaît maintenant inscrit dans la chair vivante : le double commandement de l’amour, qui trouve son expression dans les “sentiments” qui étaient en Jésus (Ph 2,5). (J. Ratzinger,  L’Eglise, Israël et les religions du monde, Rome 1967, p 74)

[6] Mais quelles choses sont véritablement grandes face à Dieu? Quelle différence y a-t-il entre les activités de Saint-François-Xavier et ce que fait la petite Thérèse? Toute différence s’amenuise devant la grandeur infinie de Dieu. La vie et la grandeur d’une personne ne sont rien face à Dieu. Ce qui fait que l’acte de l’homme est grand est que tout acte atteint un Dieu qui l’aime.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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