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Alsace: béatification de Mère Alphonse-Marie Eppinger le 9 septembre

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Messe présidée par le cardinal Angelo Becciu

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Mère Alphonse-Marie Eppinger (1814-1867), fondatrice de la congrégation du Très Saint-Sauveur, sera béatifiée le dimanche 9 septembre 2018, à 14h30, en la cathédrale de Strasbourg, indique un communiqué du diocèse de Strasbourg. La messe sera présidée par le cardinal Angelo Becciu, préfet de la Congrégation pour la cause des saints.
Une neuvaine préparatoire à la célébration de béatification commencera le 31 août, à 16h, à Niederbronn, à la maison natale de Mère Alphonse, par une procession présidée par Mgr Luc Ravel, archevêque de Strasbourg. La liturgie de la Parole sera célébrée ensuite à l’Église Saint-Jean-Baptiste.
Une veillée de prière mariale, présidée également par Mgr Ravel, aura lieu le 8 septembre 2018, la veille de la célébration de béatification.
Le 10 septembre 2018, à 10h30, il y aura une messe d’action de grâce célébrée en union avec la bienheureuse Mère Alphonse-Marie présidée par Mgr Christian Kratz, évêque auxiliaire de Strasbourg, à l’église Saint-Martin, à Niederbronn-les-Bains.
Un miracle ayant été reconnu le 26 octobre 2017 comme dû à la prière de la religieuse française a ouvert la voie à sa béatification. La promulgation par la Congrégation pour les causes des saints du décret concernant ce miracle a été autorisée par le pape François le 26 janvier 2018.
Il s’agit du témoignage de Marie Thérèse Guyot, née Schild, née le 7.3.1889 à Thaon-les-Vosges, lit-on dans le dossier sur la béatification. Elle a souffert de forts ballonnements et a été deux fois opérée à la clinique Saint-Sauveur, à Mulhouse. « Le docteur a constaté une ulcération et une appendicite perforée, ce qui a entraîné l’ablation d’un ovaire, l’ablation de la trompe ; on a aussi enlevé 20 cm d’intestin et des adhérences », lit-on dans son témoignage.
Après la seconde opération, les médecins ont commencé à désespérer de sa guérison. La Mère Supérieure a fait la proposition de faire une neuvaine à la Mère Fondatrice Alphonse-Marie et a placé une relique sous l’oreiller de la malade. « Un beau matin, raconte Marie Thérèse Guyot, on a remarqué un mieux sensible dans mon état et depuis cela allait mieux de jour en jour. Les personnes qui venaient me voir, disaient toutes, que c’était incroyable. Et moi-même, je ne comprenais pas ce changement et les médecins non plus. »

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Marina Droujinina

Journalisme (Moscou & Bruxelles). Théologie (Bruxelles, IET).

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