Jean-Paul II a ainsi exprimé ses « vœux fervents » à la population italienne et aux autorités.
« Je souhaite que l’Italie, grâce à la contribution responsable des différentes réalités sociales et de chaque citoyen, et en restant ancrée dans les grandes valeurs qui sont à la base de sa culture, de son art et de sa tradition religieuse, puisse connaître un avenir d’espérance, ouvert à la concorde, à la cohésion interne et à la solidarité ».
Jean-Paul II a confié à plusieurs reprises que désormais l’Italie lui était devenue comme une « seconde patrie ».