Actuellement les dons de sperme sont anonymes et 1.100 enfants naissent chaque année à la suite d’une insémination artificielle.
Dans un rapport remis au secrétaire à la Santé Ian Milburn les experts soulignent l’importance pour les enfants de connaître leur identité génétique.
Pour certains, une telle réforme pourrait décourager les donneurs et contraindre, comme c’est déjà le cas en Suède, les couples stériles à partir vers des pays où l’anonymat est encore préservé.
Référence: BBC.News 27/01/03