Pour le Saint-Siège le respect du droit international et des résolutions des Nations Unies constitue « un élément indispensable » pour que les deux peuples puissent « vivre côte à côte dans deux États, avec des frontières internationalement reconnues avant 1967 ».
Le Saint-Siège a souhaité que « les Israéliens et les Palestiniens puissent retrouver, et bientôt, la possibilité de négocier un accord directement, avec l’aide de la communauté internationale », et que « la paix puisse enfin régner en Terre Sainte, si chère aux juifs, aux chrétiens et aux musulmans ».
Lors de ses vœux du Nouvel An au Corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège, en janvier dernier, le pape François avait déjà exprimé ses voeux de paix et « l’urgente nécessité pour l’ensemble de la communauté internationale de re-confirmer, avec courage et sincérité, et dans le respect du droit international, son engagement à soutenir le processus de paix israélo-palestinien ».
A la Une, L’Osservatore Romano du 21 mai 202 titre: « Abbas annonce la fin des Accords d’Oslo » avec en surtitre: « De fait de la décision d’Israël d’annexer des parties de la Cisjordanie ».