Mgr Khaled Akasheh, chef de bureau pour l’Islam au Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, a remercié le Kazakhstan d’avoir créé un environnement accueillant et sûr pour le travail du VIIe congrès des dirigeants des religions mondiales et traditionnelles (14-15 septembre) auquel participe le pape François, indique un communiqué publié par les organisateurs du Congrès.
Il a souligné que la participation du pape au Congrès « renforcera l’amitié et l’harmonie » entre les représentants de différentes religions : « Nous sommes ravis que le pape assiste au Congrès, a-t-il dit. Nous pensons que cela influencera le développement de l’interaction interreligieuse et spirituelle au Kazakhstan. Nous espérons également que cela renforcera l’amitié et l’harmonie face aux tensions dans le monde. »
« Nous sommes ici pour discuter de ce que la communauté religieuse peut apporter à la spiritualité du monde après la pandémie, a déclaré Mgr Akasheh. Avant tout, nous devons aider les gens à comprendre le sens de la vie. Et utiliser les expériences que nous avons acquises pendant cette période. »
Après la pandémie, il est important de comprendre que la vie humaine est encore plus fragile, a noté Mgr Akasheh.
Il a parlé du monde postpandémique soulignant que « nous sommes devenus unis – nous comprenons que toute l’humanité a un destin commun ». « Comme l’a dit le pape François, l’homme ne peut pas survivre seul », a rappelé Mgr Akasheh.
