Mgr Francesco Follo 13/12/2017 @Oss_romano

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"Le Temple et le coeur", par Mgr Francesco Follo

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Commentaire des lectures de la messe de dimanche

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« Le Temple et le coeur » : c’est le titre du commentaire de Mgr Francesco Follo sur les lectures de la messe de dimanche prochain, 4 mars 2018, IIIème dimanche de Carême – Année B (Ex 20,1-1718 ; Ps 1 ; Co 1,22-25 ; Jn 2,13-25).
« Avec l’invitation à se rappeler qu’aujourd’hui nous sommes le Temple purifié par le Christ, la Maison de Dieu où règne le pardon et où l’amour fait regarder le Ciel », explique l’Observateur permanent du Saint-Siège à l’UNESCO, à Paris.
Mgr Follo cite une confidence du pape François qui dit tous les soirs: « Seigneur, si tu veux, tu peux me purifier ». Et il prie ensuite cinq « Notre Père ». Mgr Follo rappelle pourquoi.
Comme lecture patristique, Mgr Follo propose ensuite un commentaire de saint Augustin d’Hippone (354 – 430) sur le Psaume 130.
 
Le Temple et le coeur
 
1) La purification du Temple
Après nous avoir conduits dans le désert où le Christ a vaincu la tentation (Ier dimanche de carême) et sur le Mont Thabor, où Jésus se manifeste comme lumière née de la lumière (IIème dimanche de carême), la liturgie de la Parole du IIIème dimanche de carême nous fait entrer avec Jésus dans le temple de Jérusalem pour le purifier.
Trouvant « dans le Temple des gens qui vendaient des bœufs, des brebis et des colombes et là, assis, les changeurs de monnaie » (Jn 2,14), le Christ purifie ce lieu sacré par un geste inattendu, presque imprévisible. Jésus prépare un fouet avec lequel il renverse tout, mais il ne blesse pas les personnes, il traverse la cour des gentils[1] où étaient les marchands du temple et, comme un torrent impétueux, il bouscule les hommes, les animaux, les tables et la monnaie.
En chassant les marchands et la marchandise de la cour, le Christ purifie l’ancien temple, puis il se présente comme le nouveau temple de Dieu que les hommes détruiront, mais que Dieu fera ressusciter en trois jours. Il est le Rédempteur, venu éclairer l’homme avec la lumière de la vérité, purifier le temple, rouvrir la raison au grand horizon de Dieu et donner à l’homme un cœur pur, pour qu’il soit son nouveau temple. Il est la Charité, crucifiée le Vendredi saint, que nous verrons resplendir le jour de Pâques et nous accueillir dans le nouveau Temple qu’est son corps.
Il faut donc éviter une interprétation qui cherche à ne mettre en évidence que les conséquences « morales », surtout pour l’Église en la mettant en accusation. Comme l’a justement rappelé le pape François, « L’Église doit toujours être réformée, “Ecclesia semper reformanda”, parce que les membres de l’Église sont toujours des pécheurs et ont besoin de conversion ». Par conséquent, c’est nous qui devons nous purifier. L’Église est « le lieu où Dieu “arrive” à nous et où nous “partons” vers lui » (Benoît XVI). L’Église demeure le lieu où Dieu nous rejoint ; lieu de la présence du Christ dans l’histoire, elle le sera toujours, jusqu’à la fin des temps. C’est pourquoi nous devons l’aimer profondément et la regarder pour ce qu’elle est, le Temple de la miséricorde et de la condescendance de Dieu dans lequel il y a de la place pour les pécheurs, par conséquent il y a de la place pour chacun de nous qui sommes appelés à nous purifier par la conversion.
Surtout, en ce temps de carême, nous sommes invités à purifier notre cœur en demandant la miséricorde qui s’exprime de manière spéciale par la confession et qui se pratique en particulier par l’aumône.
À cet égard, le pape François dit : « Je vais vous faire une confidence personnelle. Le soir, avant d’aller au lit, je prie cette brève prière : « Seigneur, si tu veux, tu peux me purifier ». Et je prie cinq « Notre Père », un pour chaque plaie de Jésus, parce que Jésus nous a purifiés par ses plaies. Mais si je fais cela, vous pouvez aussi le faire, chez vous, et dire : « Seigneur, si tu veux, tu peux me purifier » et penser aux plaies de Jésus et dire un « Notre Père » pour chacune d’elle. Et Jésus nous écoute toujours ».
Mettons en pratique cette invitation du pape en l’unissant à des œuvres de miséricordieuse charité, par lesquelles « toucher » le pauvre. En effet, nous pouvons aussi être généreux, nous pouvons avoir compassion, mais en général, « le pauvre, nous ne le touchons pas, c’est-à-dire que nous ne partageons pas notre vie avec lui. Nous lui offrons une pièce, nous la lui jetons, mais nous évitons de lui toucher la main. Et nous oublions qu’il est le corps du Christ ! Jésus nous apprend à ne pas avoir peur de toucher le pauvre et l’exclu, parce qu’il est en eux. Toucher le pauvre peut nous purifier de l’hypocrisie et nous rendre inquiets pour sa condition » (Pape François, 22 juin 2016).
2) La purification du coeur[2]
De la lecture de l’Évangile d’aujourd’hui, naissent spontanément ces deux questions :
A – « Pourquoi Jésus se fâche-t-il autant avec les changeurs de monnaie et les vendeurs d’animaux pour les sacrifices ? » Après tout, ils effectuaient un service précieux : ils changeaient la monnaie des étrangers, en leur permettant d’acheter les animaux pour le sacrifice et en les empêchant d’introduire dans le Temple des pièces avec l’image de l’empereur.
B – « Qu’est-ce qui met Jésus en colère au point de le pousser carrément à se fabriquer un fouet pour chasser du Temple les commerçants ? »
Dans ce geste apparemment exagéré, le Fils de Dieu est animé du désir que la maison de son Père ne devienne pas une maison de marché, un bazar (le nom « emporium », qui vient du grec, signifie un marché et c’est celui qui est utilisé dans l’Évangile de ce jour) du sacré, un lieu religieux d’échanges entre la demande et l’offrande à Dieu.
Ce qui fait souffrir Jésus, c’est de voir la dégénérescence d’un lieu religieux, causée par une logique de marchandage du sacré, comme si Dieu pouvait être acheté. C’est vraiment une réduction mesquine de Dieu. Au lieu d’adorer Dieu, l’Amour gratuit, par des offrandes qui montrent une reconnaissance pour cet amour qui pourvoit, c’est un grave appauvrissement du visage de Dieu. Dieu notre Père n’est pas un fonctionnaire à corrompre ni un vendeur à faire taire par une abondante donation. En somme, avec Dieu, on ne peut pas marchander.
D’un Dieu lointain et à plier à notre volonté par des sacrifices et des prières, nous sommes appelés à aller au Père qui nous aime et anticipe tous nos désirs : c’est cela, la vraie conversion. À cet égard, accueillons l’invitation de saint Paul : « Ne prenez pas pour modèle le monde présent, mais transformez-vous en renouvelant votre façon de penser pour discerner quelle est la volonté de Dieu : ce qui est bon, ce qui est capable de lui plaire, ce qui est parfait » (Rm 12,2).
En purifiant le Temple avec le fouet et en en chassant les animaux, le Christ indique que l’ancien culte avec les sacrifices d’animaux dans le temple de Jérusalem est terminé. Ce culte symbolique, culte de désir, qui dégénérait souvent en un marché, est maintenant substitué par le culte réel : l’amour de Dieu incarné dans le Christ et porté à son achèvement dans sa mort sur la croix.
Purifions-nous nous-mêmes, Temple de Dieu nouveau et définitif, et mettons en pratique l’invitation de saint Paul qui nous dit à nous aussi : « Je vous exhorte donc, frères, par la tendresse de Dieu, à lui présenter votre corps – votre personne tout entière –, en sacrifice vivant, saint, capable de plaire à Dieu : c’est là, pour vous, la juste manière de lui rendre un culte » (Rm 12,1).
Et quand nos corps peuvent-ils être offerts à Dieu en sacrifice vivant ? Quand sommes-nous saints et capables de plaire au Dieu de la vie ?
Quand nous avons un cœur pur, parce que purifié par Dieu par son pardon uni à sa vérité et à son amour et quand nous reconnaissons que nos corps sont les membres du Christ et, par conséquent, que ne nous n’appartenons pas à nous-mêmes mais au Dieu de miséricorde et de bonté.
Un exemple très significatif de cela est celui qui est donné par les vierges consacrées. Avec le « propositum » de la virginité, ces femmes témoignent comment leur choix chaste est sage et fécond et source de maturité.
De maturité parce que se réalise la maîtrise de soi. Cela ne consiste pas seulement à gouverner ses passions par la force. La maîtrise de soi évangélique réside dans le fait de se remettre avec confiance à celui qui nous a créés, qui nous aime et nous connaît mieux que nous-mêmes. C’est faire en soi de la place à la seigneurie du Christ, c’est-à-dire se sentir aimés de lui et désirer croire en lui et le lui rendre en observant ce qu’il demande.
De fécondité parce que la virginité chrétienne rend la personne si attirante que l’Esprit-Saint descend habiter en elle, comme il l’a fait avec la Vierge Marie, faisant d’elle une Mère.
De sagesse parce que les yeux du cœur purifié sont des yeux nouveaux pour voir le monde et Dieu au-delà des apparences. Ce sont des yeux limpides qui savent percevoir ce qui est beau et ce qui ne l’est pas, ce qui est la vérité et ce qui est le mensonge, ce qui est vie et ce qui est mort. En somme, des yeux comme ceux de Jésus… La pureté ne consiste plus, alors, à dire « non » aux créatures, mais à leur dire « oui », oui en tant que créatures de Dieu qui étaient, et qui restent, « très bonnes » parce qu’elles ont été créées par lui. Pour pouvoir dire ce « oui », il faut toutefois passer par la croix parce que, après le péché, notre regard sur les créatures s’est engourdi.
Traduction de ZENIT, Hélène Ginabat
Lecture patristique
Saint Augustin d’Hippone (354 – 430)
sur le Psaume 130 (CCL 40, 1899-1900)

Nous ne devons pas écouter la voix qui chante les psaumes comme celle d’un individu, mais comme celle de tous les hommes appartenant au Corps du Christ. Et parce que tous font partie de son corps, ils parlent comme un corps unique, et cet homme unique est aussi une multitude. En effet, ils sont multiples en eux-mêmes, et ils ne font qu’un en lui qui est unique. Lui-même est aussi le Temple de Dieu, dont l’Apôtre écrit: Il est saint, ce temple de Dieu que vous êtes (1Co 3,17), c’est-à-dire: tous ceux qui croient au Christ et qui croient de manière à aimer. Car croire au Christ, c’est aimer le Christ, et non pas comme les démons croyaient, sans aimer (Je 2,19), et c’est pourquoi ils pouvaient bien croire, mais ils disaient: Qu’y a-t-il de commun entre nous et toi, Fils de Dieu (cf. Mt 8,29)? Pour nous, croyons de telle sorte que, si nous croyons en lui, ce soit en l’aimant, et que nous ne disions pas: Qu’y a-t-il entre nous et toi? Mais plutôt: Nous t’appartenons, à toi, qui nous as rachetés. Tous ceux qui croient ainsi sont comme les pierres vivantes dont le temple de Dieu est bâti (1P 2,5), et comme les bois incorruptibles dont était composée cette arche que le déluge n’a pu submerger (Gn 6,14). Ce temple, c’est-à-dire les hommes eux-mêmes, c’est là que l’on prie Dieu, et qu’il exauce. <>
Être exaucé par rapport à la vie éternelle est accordé seulement à celui qui prie dans le temple de Dieu. Or on prie dans le temple de Dieu quand on prie dans la paix de l’Église, dans l’unité du Corps du Christ, lequel est constitué de tous ceux qui croient en lui, sur la terre entière, et c’est pourquoi celui qui prie dans ce temple-là est exaucé. Car il prie en esprit et en vérité (Jn 4,24), celui qui prie dans la paix de l’Église, non dans ce temple qui n’en était que la figure.
Car c’est en figure que le Seigneur chasse du Temple ces hommes qui y recherchaient leurs intérêts, c’est-à-dire qui allaient au Temple pour vendre et acheter. Car si ce Temple était figuratif, il est évident que le corps du Christ, qui est le vrai temple dont l’autre n’était que l’image, contient lui aussi, mélangés, des acheteurs et des vendeurs, c’est-à-dire des hommes qui recherchent leurs intérêts personnels, et non ceux de Jésus Christ (Ph 2,21).
C’est parce que les hommes sont frappés pour leurs péchés, que le Seigneur a fait un fouet de cordelettes et a ainsi chassé du Temple tous ceux qui cherchaient leurs intérêts personnels, non ceux de Jésus Christ.
C’est donc la voix de ce temple qui retentit dans le psaume. Dans ce temple, ai-je dit, on implore Dieu, et il exauce en esprit et en vérité, mais non dans le temple matériel. Car il n’y avait là qu’une ombre où était montré le temple de l’avenir. C’est pourquoi celui-là est maintenant tombé. Notre maison de prière serait-elle tombée? Nullement. Car vous avez entendu ce qu’a dit notre Seigneur Jésus Christ: Il est écrit: Ma maison s’appellera maison de prière pour toutes les nations (Mc 11,17)
NOTES
[1] Entré dans le temple, Jésus voit que l’espace appelé “cour des gentils”, dans la mesure où il était réservé aux non-juifs qui voulaient connaître la foi et le culte d’Israël et “s’approcher” du Seigneur (cf. Is 45,20), a été transformé en un lieu de commerce, de vente des animaux pour les sacrifices. Nous savons en outre que là, les changeurs de monnaie échangeaient les monnaies pour permettre aux pèlerins de payer le tribut au temple et que beaucoup traversaient cette cour pour raccourcir le chemin vers la vallée du Cédron. En somme, un lieu que Dieu avait voulu comme “maison de prière pour tous les peuples” (Is 56,7) était devenu un lieu de marché.
 
[2]  Dans la Bible, le coeur ne signifie pas seulement l’élan et l’amour, mais aussi la raison, la pensée et la volonté. La chasteté est une manière précise de vivre tout cela: les sentiments, les pensées, l’amour et l’intelligence.
 

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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