Le pape François recommande une cure de "Misericordina Plus", 21 février 2016, Capture CTV

Le pape François recommande une cure de "Misericordina Plus", 21 février 2016, Capture CTV

La «Misericordina plus», cadeau-surprise du pape François

Un remède spirituel pour le Jubilé

Share this Entry

La « Misericordina  plus» est « une aide spirituelle pour diffuser, en particulier en cette Année de miséricorde, l’amour, le pardon et la fraternité », explique le pape François.
Le pape a présenté ce cadeau-surprise, au terme de l’angélus de dimanche, 21 février. Pour la deuxième fois, le pape recommande ce remède spirituel à tous les baptisés. Il l’avait proposée le 13 novembre 2013.
« Aujourd’hui, je pensais que je donne à vous qui êtes ici, à la place, une « médecine spirituelle » appelée Misericordina, a dit le pape. Nous l’avons déjà fait déjà une fois, mais celle-là est de meilleure qualité: c’est la « Misericordina plus » ! »
La petite boîte contient un chapelet de 59 grains et une petite image de Jésus miséricordieux, un héritage spirituel de sainte Faustine Kowalska. La notice explicative enseigne à prier le chapelet de la Miséricorde divine indiqué par le Christ lui-même à la sainte polonaise.
Quelque 40.000 confections arrivant de Pologne ont été distribuées par des pauvres, des sans-abri, des réfugiés ainsi que par des bénévoles et des religieux aux visiteurs venus participer à la prière de l’angélus de midi.
Sainte Faustine Kowalska, une religieuse, mystique, canonisée en 2000 par saint Jean-Paul II, proposait cette « médecine spirituelle qui vivifie l’âme ». Son remède  produit « la tranquillité du cœur, la joie externe et le désir de répandre la bonté», explique la notice. L’efficacité du « médicament » « est garantie par les paroles de Jésus».
Le remède est « recommandé au moins une fois par jour à la fois aux adultes et aux enfants », surtout dans les cas suivants : lorsque « nous voulons la conversion des pécheurs », lorsque « nous ressentons le besoin de l’aide dans la décision difficile », ou quand on ne se sent pas la force de résister à la tentation, ou celle de pardonner quelqu’un.

Share this Entry

Marina Droujinina

Journalisme (Moscou & Bruxelles). Théologie (Bruxelles, IET).

FAIRE UN DON

Si cet article vous a plu, vous pouvez soutenir ZENIT grâce à un don ponctuel