Nicodème, un chercheur de la vie

IVème Dimanche de Carême – Année B – 15 mars 2015

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Lectures (rite romain)

2 Ch 36,14-16.19-23; Ps 136; Ep 2,4-10; Jn 3,14-21[1]

1)    Nicodème, un chercheur de la vie

Dans le quatrième dimanche de carême l’Évangile de Saint Jean nous offre un petit extrait du discours de Jésus après la rencontre de Nicodème[2]. Ainsi – même brièvement –  il est utile d’expliquer ce qui arriva la nuit pendant laquelle ce Chef des Juifs se rendit chez le Messie.

Cet homme qui a peur puisqu’il se rend chez le Christ de nuit, mais de toutes façons suffisamment courageux pour y aller, est l’homme qui a l’intelligence et l’ouverture du cœur tels qu’il ne se ferme pas face à la vérité.

Ce pharisien et les autres chefs avaient demandé des signes et ils les avaient vus. Maintenant, il sait qu’il peut faire confiance à Jésus : « Nous savons que tu es venu de Dieu comme maître ». Et Jésus sait qu’il est ouvert pour accueillir la Vérité, à laquelle son cœur aspire mais qu’un homme seul ne peut l’atteindre.

Nicodème, comme beaucoup d’autres, avait vu des signes, mais cela ne lui suffisait pas. Il voulait voir le Règne de Dieu. Et Jésus lui dit : « Il faut être engendré d’en haut ».

Probablement, ce pharisien voulait améliorer sa vie et le Christ lui répondit qu’il fallait qu’il naisse à une nouvelle vie. Nicodème comprit que Jésus ne parlait pas simplement d’une naissance morale symbolique, mais d’une « vraie » renaissance et il posa la question la plus difficile : « Comment peut advenir cette nouvelle naissance ? Un homme adulte peut-il rentrer dans le ventre de sa mère ? En somme, comment est-il possible de renaître vraiment ? Jésus répondit : « En vérité, en vérité je te le dis : si un homme ne naît pas de l’eau et de l’Esprit Saint, il ne peut pas entrer dans le règne de Dieu. Au-delà de toutes les interprétations données par les exégètes, les experts de la Bible anciens et modernes, je crois que Nicodème ne comprit pas grande chose, mais il comprit que Jésus lui disait : « Viens et voit », « suis moi et tu verras » . Il suivit le Christ fidèlement si bien que les Évangiles parlent de lui en protagoniste de deux autres nuits :

1 – « Un des leurs, Nicodème, celui qui était allé précédemment chez lui, leur dit : « Notre loi juge-t-elle un homme sans l’avoir entendu d’abord et sans connaître ce qu’il a fait ? ». Ils lui répondirent : « Toi aussi es-tu de Galilée ? Scrute et vois : de la Galilée il ne surgit pas de Prophète. ».

2 – «  … Vient aussi Nicodème, celui qui était venu à lui de nuit, au début, portant un mélange de myrrhe et d’aloès d’environ 100 livres. Ils prennent donc le corps de Jésus, ils le lient de linges avec les aromates, comme c’est la coutume des juifs pour ensevelir. (Jn 19, 39-40).

La première chose à faire pour avoir une vie vraie et dans la durée ce n’est pas l’étude pour changer  et mieux faire ses propres actes, ce n’est pas l’analyse psychologique, ce n’est pas un programme spirituel, ce n’est pas quelque chose que nous nous devons de faire, mais c’est recevoir le don de l’Esprit Saint. Donc la première chose que nous devons faire  c’est la prière, c’est à dire de demander cela, c’est la demande qu’advienne cette conversion « spirituelle » en nous, même si nous ne  comprenons pas ce que veut exprimer cette conversion, que le Christ nous indique comme une naissance à la vie nouvelle, c’est à dire éternelle (En fait, l’expression « vie éternelle », indique le don divin concédé à l’humanité : la communion avec Dieu en ce monde et sa plénitude dans ce futur).

La vie éternelle nous a été ouverte par la mort et la résurrection du Christ, et la foi est le chemin pour l’atteindre. Cela sort des paroles adressées par Jésus à Nicodème rapportées par l’évangéliste Jean : « Et comme Moïse a élevé le serpent dans le désert, de même il faut que soit élevé le fils de l’homme, afin que tous ceux qui croient en lui aient la vie éternelle ». (Jn 3, 14-15).[3]

2)    La Croix de la Vie et de la Lumière.

Aujourd’hui comme alors, Saint Jean nous rappelle que le seul  « signe »  est Jésus élevé sur la Croix : Jésus mort et ressuscité est le signe absolument suffisant. En Lui nous pouvons comprendre la vérité de la vie et obtenir le salut. C’est cela l’annonce centrale de l’Église, qui reste inchangée au cours des siècles. Pourtant la foi chrétienne  n’est pas une idéologie, mais une rencontre personnelle avec le Christ crucifié et ressuscité.

Donc acceptant la Croix, celle de tous les jours contre laquelle nous luttons en croyant faire une chose juste, sage et raisonnable, disons oui à l’irruption de l’Esprit qui nous fait naître à la nouvelle vie. « La Croix bouleverse la marche plate et incolore du monde enchaîné à la chair. La Croix déchire les habitudes enracinées, imperméables à la nouveauté bouleversante de Dieu. La Croix élève jusqu’au cœur de Dieu, à son amour. La Croix catapulte notre existence à la droite de Dieu ». (Benoît XVI).

La Croix irradie de lumière parce qu’elle parle d’amour et l’amour parle de résurrection et génère des saints et saintes. La mosaïque de la Croix qui se trouve dans l’abside de l’Église Saint Clément à Rome, le montre bien. Le Christ est sur la croix noire, bois mort, qui porte aussi sur elle douze colombes, les apôtres. Du bois noir, surgissent de nombreuses branches vertes qui ont comme fleurs des saints, c’est à dire les personnes qui ont donné leur vie pour le Christ et ont reçu la Vie par le Christ. Avec Lui, les saints et saintes nous sont d’exemples et nous montrent que celui ou celle qui aime comme le Christ devient pour les autres une présence de lumière.

Vivre la croix est engendrer à la lumière. Comment ne pas penser au Seigneur crucifié qui pendant que tout est accompli (Jn 19,30) inonde d’amour celui qui est sous la Croix donnant à une mère un  fils et à un fils une mère, pour toujours ? Mourant sur la Croix, Jésus confia Jean à Sa mère en disant : « Femme, voici ton fils » (cf. Jn 19, 26). S’Il ne l’appela pas du doux nom de « mère », ce fut parce qu’était arrivée pour elle l’heure – ainsi que cette heure  arrive pour les âmes qui progressent dans l’amour – de lui confier une autre maternité : la maternité spirituelle sur les âmes ; celle maternité que le Sauveur avait promis de concéder à tous ceux qui auraient fait sa divine volonté : « Quiconque fait la volonté de mon Père qui est au ciel, ceux-ci sont pour moi des frères sœurs et mères » (cf. Mt 12, 50). En un certain sens, j’élève ainsi cette maternité spirituelle dont nous sommes en train de parler, à la même hauteur que le très haut privilège de la maternité divine.

De cette maternité spirituelle, les Vierges consacrées sont un exemple particulier dans le monde.

En effet, l’engagement virginal est destiné, selon le dessein divin, à susciter une fécondité spirituelle. En la Vierge Marie, cette vérité apparaît de manière la plus manifeste, par le fait que la Vierge devient Mère de Dieu, et que cette maternité se prolonge par une maternité universelle dans l’ordre de la grâce. Dans les Vierges qui suivent la voie ouverte par Marie, l’amour virginal voué au Christ est source de maternité spirituelle.

La vierge consacrée dans le monde qui donne tout son cœur au Christ renonce à un époux humain pour prendre directement le Seigneur comme époux (cf rituel de consécration des vierges N° 17) Dans le mariage, il y a la réalisation des noces du Christ et de l’Église, ainsi que le dit Saint Paul (Eph. 5, 28). Dans la virginité cette réalisation est plus totale, parce que seul le Christ devient l’Époux, le Christ atteint ainsi sa plus grande profondeur. La qualit
é d’épouse du Christ donne à la personnalité de la femme  consacrée un notable développement affectif. Elle montre l’aspect positif de la virginité, parce qu’elle est une complète et exclusive appartenance au Christ. Avec la consécration, chacune d’entre elles est comme si elle avait dit : « Tu es tout pour moi. Je suis tout pour toi ». Ces femmes témoignent que nous avons été créés pour une liberté qui aime dire oui. L’amour de chacun d’entre nous renvoie à un amour originel. L’amour est un don qui nous fait ressembler à Dieu. L’aimée devient l’Amante et donne (à) la lumière. En disant oui au Christ comme épouse, la Vierge Consacrée a témoigné que le Christ «  est pour elle Tout et toutes les choses » et que « son cœur ne se satisfait pas avec quelqu’un moins que Dieu » (S. Jean de la Croix). Mais ainsi le cœur amoureux se dispose à assumer le rôle de l’Époux qui, pour notre amour, se laisse « vendre comme esclave de tout le monde » (S. Thérèse d’Avila). Elle se penche alors vers ses frères qui ont besoin d’être sauvés. L’intimité avec Dieu qui n’est pas missionnaire est narcissique et illusion spirituelle. L’esprit missionnaire qui ne naît pas de l’intimité et ne l’approfondit pas est une dispersion stérile. Ensemble, intimité et esprit missionnaire sont les sources d’une immense fécondité spirituelle.

(Traduction de Hugues de Warren)


Lecture Patristique

Augustin

Commentaire Jean 52, 11

« Et moi, quand je serai haussé de la terre, tout je le tirerai auprès de moi » (Jn 12, 32)

Qu’est-ce que ce « tout », si ce n’est tout ce dont le diable a été chassé ? Il n’a pas dit : tous, mais « tout », parce que la foi n’est pas de tous (2Th 3,2). Donc cette parole ne se réfère pas à la totalité des hommes, mais à l’entière création : spirituelle, âme et corps ; c’est à dire, ce qui nous fait comprendre, ce qui nous fait vivre, ce qui nous fait visibles et sensibles. En d’autres paroles, celui qui nous a dit : « pas un cheveux de votre tête ne sera perdu » (Lc 21, 18), tout vient à soi.

Si au contraire nous voulons interpréter « tout » comme se référant aux hommes mêmes, alors on doit comprendre  qu’avec cette parole on indique tous les prédestinés au salut. En ce sens le Seigneur dit que de tous ceux là aucun ne périra, ainsi qu’il l’avait dit avant en parlant de ses brebis. Ou alors il a voulu entendre toutes les espèces d’hommes, de toutes les langues, de tous les ages, sans distinction de grade ou d’honneur, d’intelligence ou de talents, de profession ou d’art, au delà de toute autre distinction qui, au delà du péché, puisse être faite entre les hommes, des plus illustres aux plus humbles, du roi jusqu’au mendiant : « Tout »  – dit-il – « je les attirerai vers moi », parce que je suis leur tête et ils sont mes membres.

Augustin, Sermon Guelf.,3, 1-2

La mort du Seigneur et notre très grande gloire

En conséquence, il eut avec nous et avec une participation réciproque une merveilleuse relation ; il était nôtre, celui par lequel il est mort, lui sera celui, par lequel nous pouvons vivre. En effet, il donne la vie, puisqu’il était le Créateur ; mais il prit cette vie par laquelle avec Lui et par Lui nous serons victorieux, non pas par notre œuvre. Et pour cela, pour ce qui concerne notre vie, par laquelle nous sommes hommes, il mourut non pour lui même mais pour nous ; en fait, sa nature à Lui, par laquelle il est Dieu, ne peut pas mourir complètement. Mais pour ce qui concerne sa propre nature humaine, qu’il, comme Dieu, créa, elle est morte elle aussi : puisque même dans la chair qu’il créa en celle-ci il est mort.

Donc, non seulement nous ne devons pas rougir de la mort du Seigneur, notre Dieu, mais nous devons grandement nous confier en elle et c’est un motif de grande gloire : en fait, c’est en acceptant la mort chez nous, qu’il trouva en nous, qu’il épousa de la manière la plus fidèle la vie qu’il nous aurait donné, que nous ne pouvons pas avoir par nous même.  En effet, celui qui nous aime tant, que ce que nous méritons avec le péché, lui, sans péché, souffrit pour nos péchés, comment celui qui juge ne nous donnerait-il pas cela avec justice ? Comment ne nous rendra-t-il pas, les prix des saints, celui qui promet avec vérité, celui qui, innocent, supporte la peine des coupables ?

Confessons donc courageusement, chers frères , et aussi professons : le Christ a été crucifié pour nous : ne vous effrayez pas mais soyez dans la joie, proclamons le sans honte mais avec joie. Ainsi l’apôtre Paul regarde le Christ et recommande un tel titre de gloire.

Et lui, à de nombreux titres, grands et divins, lui, qui se rappelle du Christ, n’a pas dit se glorifier des merveilles du Christ, puisque, étant aussi homme, comme nous le sommes nous, il eut la domination dans le monde ; mais il dit : Pour moi, de rien je ne veux me glorifier, que dans la croix de Notre Seigneur Jésus Christ (Ga 6,14).

[1] « De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle. Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. Celui qui croit en lui échappe au Jugement ; celui qui ne croit pas est déjà jugé, du fait qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.  Et le Jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Celui qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dénoncées ;   mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu’il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu. »  (Jn 3, 14 -21)

[2] « Il y avait un homme, un pharisien nommé Nicodème ; c’était un notable parmi les Juifs. Il vint trouver Jésus pendant la nuit. Il lui dit : « Rabbi, nous le savons, c’est de la part de Dieu que tu es venu comme un maître qui enseigne, car personne ne peut accomplir les signes que toi, tu accomplis, si Dieu n’est pas avec lui. »  Jésus lui répondit : « Amen, amen, je te le dis : à moins de naître d’en haut, on ne peut voir le royaume de Dieu. »  Nicodème lui répliqua : « Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il entrer une deuxième fois dans le sein de sa mère et renaître ? » Jésus répondit : « Amen, amen, je te le dis : personne, à moins de naître de l’eau et de l’Esprit, ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair ; ce qui est né de l’Esprit est esprit. Ne sois pas étonné si je t’ai dit : il vous faut naître d’en haut. Le vent souffle où il veut : tu entends sa voix, mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va. Il en est ainsi pour qui est né du souffle de l’Esprit. » Nicodème reprit : « Comment cela peut-il se faire ? »  Jésus lui répondit : « Tu es un maître qui enseigne Israël et tu ne connais pas ces choses-là ? Amen, amen, je te le dis : nous parlons de ce que nous savons, nous témoignons de ce que nous avons vu, et vous ne recevez pas notre témoignage. Si vous ne croyez pas lorsque je vous parle des choses de la terre, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses du ciel ?  Car nul n’est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme.

[3] Ici, il y a une claire référence à l’épisode raconté dans l
e livre des Nombres (21, 1-9) qui souligne la force salvifique de la foi dans la Parole divine. Pendant l’exode, le peuple juif s’était révolté contre Moise et contre Dieu, et il fut puni avec la plaie des serpents venimeux. Moise demanda pardon, et, Dieu, acceptant la repentance des Juifs lui ordonna ceci : « Fais un serpent en bronze et mets-le sur un bâton.  Quiconque le regardera après avoir été mordu restera en vie ».

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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