La loi autrichienne sur la procréation médicalement assistée (FmedG) interdit en effet toute manipulation des embryons humains et de leurs cellules à des fins autres que reproductives. La recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines n’y est donc pas autorisée.
Les chercheurs travaillent sur des modèles d’embryons animaux comme la drosophile, l’anémone et le ver plat.
Les recherches sur les cellules souches adultes sont nombreuses et déjà appliquées. La médecine régénérative avec les cellules souches adultes constitue le coeur de métier de plusieurs start-up et l’un des points forts de la technopole de Krems et de l’Université d’Innsbruck.