IL a également insisté sur l’importance du concordat de 1993, lors du congrès organisé par l’ambassade de Pologne près le Saint-Siège.
Il a affirmé au micro de Radio Vatican l’importance de l’héritage de Jean-Paul II dans les relations diplomatiques, au-delà de l’histoire récente de la Pologne.
Il disait : « Le Saint-Père cherchait à respecter ce que l’enseignement du concile Vatican II nous indique, c’est-à-dire de lire les signes des temps, et d’y répondre. Un des signes était de respecter l’autonomie de l’Etat et de respecter aussi la liberté religieuse des fidèles qui font partie d’un Etat civique. Dans ce sens, Jean-Paul II nous a tracé une ligne bien claire et durable ».