Le télégramme adressé au président du conseil Silvio Berlusconi, à propos de la libération de la journaliste itlaienne du « Manifesto », vendredi, exprime la satifsfaction du pape pour cette libération, et le travail effectué par le gouvernement italien dans ce but, mais aussi la douleur du pape pour la mort de Nicola Calipari, en qui le pape salue un « fidèle et héroïque serviteur de l’Etat qui, dans l’accomplissement de la délicate mission qui lui avait été confiée, n’a pas hésité à sacrifier sa vie ». Il assure les blessés de la prière du pape.

A don Maurizio Calipari, official de l’Académie pontificale pour la Vie, frère du membre des services secrets tué en Irak lors du retour de Giulina Sgrena à l’aéroport de Bagdad, le pape exprime sa douleur et sa « proximité spirituelle » à toute la famille de ce « généreux serviteur de l’Etat », en particulier sa mère et son épouse.

« En admirant le geste héroïque suscité par son sens du devoir, Sa Sainteté élève de ferventes prières pour l’âme du défunt, et, en confiant ceux qui pleurent sa disparition prématurée, à l’intercession maternelle de la Vierge Marie, il accorde de tout cœur en réconfort une bénédiction apostolique spéciale ».