Natallie Evans s’appuie sur les articles 2, 8 et 14 de la Convention européenne des droits de l’homme pour plaider le « droit à vivre » de ses embryons et faire valoir le fait que c’est sa chance seule d’avoir des enfants étant donné qu’elle a subi un traitement de chimiothérapie qui l’a rendu stérile.
Les embryons peuvent être conservés jusqu’en octobre 2006, après quoi ils devront être détruits selon la législation anglaise qui fixe à 5 ans la durée de « stockage » des embryons congelés. Mme Evans a demandé à la HFEA, l’autorité britannique de bioéthique, que soient conservés ses embryons jusqu’à la décision de la Cour européenne.
Source : Bionews 15/02/04