En effet, le 28 décembre dernier, le quotidien de la Cité du Vatican déplorait, dans son édition en italien, la décision du gouvernement du Sri Lanka de refuser l’aide d’urgence de source israélienne, parce que fournie par des militaires.
Or, comme il peut arriver lorsque l’on passe rapidement d’une langue à l’autre, une traduction en anglais a inversé les termes de la proposition, ce qui revenait à dire que L’OR critiquait Israël de ne pas avoir envoyé d’aide au Sri Lanka. D’où la protestation de l’ADL.
Tout est rentré dans l’ordre avec le recours à l’original en italien. Mais l’ADL a tenu à adresser, le 3 janvier, une lettre d’excuses au directeur de L’OR, M. Mario Agnès pour ses critiques.