Le réseau aide le médecin et la famille en charge, à domicile, du patient en fin de vie. Une assistance pour ne pas être "désarmé face aux décisions à prendre", explique Francis Diez, président de l'association Réseau Quiétude, qui constate que "beaucoup de médecins et d'infirmiers se sentent isolés. On ne peut pas traiter ce genre de problème en solitaire".

Une permanence d'écoute et de conseil fonctionne 24 h sur 24, et 7 jours sur 7 avec des médecins qualifiés en soins palliatifs et qui disposent du dossier médical du patient.

Ainsi les complications respiratoires chez des malades du cancer peuvent être dans la majorité des cas traitées à la maison alors qu'autrefois l'hospitalisation était quasiment systématique.

Le Réseau travaille en cas de besoin avec des médecins libéraux et urgentistes spécialement formés, ainsi qu'avec des associations comme les "Petits frères des pauvres", ou les "Accompagnateurs bénévoles en soins palliatifs", pour assurer une présence auprès des familles.

Le Réseau Quiétude est adhérent à la "Société française d'accompagnement et de soins palliatifs".

Les "enfants soldats", un scandale dénoncé, mais pas vraiment combattu

CITE DU VATICAN, Jeudi 18 novembre 2004 (ZENIT.org) – « A peine mes frères et moi-même avons été capturés, la LRA (Lord’s Resistance Army – Armée de résistance du seigneur) nous a expliqué que cinq frères ensemble n’auraient pas pu servir dans ses rangs car nous n’aurions pas bien travaillé. Ils ont alors attaché mes deux frères les plus jeunes et nous ont invité à regarder. Ils commencèrent à les frapper avec des bâtons jusqu’à la mort. Ils nous ont dit que nous aurions eu ainsi plus de force pour combattre. Mon frère le plus jeune avait 9 ans ».