Le pape a en effet évoqué, avant l’angélus de ce dimanche, depuis la fenêtre de son bureau, la Journée mondiale du Malade qui a lieu traditionnellement le 11 février, en la fête de Notre Dame de Lourdes.
“La coïncidence de cette célébration avec la date de l’apparition de la Vierge à Lourdes, précisait le pape, fait de ce lieu, consacré par la présence de Marie, la référence constante de la Journée du Malade. Depuis la grotte de Massabielle, Marie ne cesse de répandre sur le monde de la souffrance le message consolant de la confiance et de l’espérance”.
Jean-Paul II évoquait un autre lieu marial: “le majestueux sanctuaire national de l’Immaculée Conception de Washington, la capitale des Etats Unis d’Amérique”, où se dérouleront cette année les principales célébrations de la Journée du Malade.
Jean-Paul II disait sa “vive gratitude” à ceux qui ont permis la célébration de “cet important événement ecclésial”.
« J’adresse une pensée reconnaissante, ajoutait le pape, aux médecins, aux infirmiers, et aussi aux assistants sociaux, aux volontaires, aux prêtres, aux religieux et aux religieuses qui travaillent dans le vaste domaine de l’assistance des malades. Que la Journée mondiale du Malade renouvelle en chacun de vous le désir de servir avec dévouement qui se trouve dans la souffrance, en imitant Jésus, le Bon Samaritain de l’humanité ».
Le pape se félicitait de cette occasion pour les communautés ecclésiales d’être attentives “à leurs frères et sœurs malades et souffrants, et souhaitait qu’elle “encourage le personnel du monde de la santé à accomplir leur service professionnel avec un constant dévouement”.
