Mémoire des victimes de la Shoah et salutation aux survivants

Le pape François salue les survivants de la Shoah, Rome, 17-01-2016

Visite à la synagogue de Rome: dialogue, mission et témoignage, par Mgr Follo

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Réaction à la visite du pape François

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Ce dimanche 17 janvier 2016, dans l’après-midi, le pape François a rendu visite à la communauté juive, à la grande synagogue de Rome. C’est le troisième pape qui se rend à la synagogue de Rome et, comme cela a été souligné, dans la tradition juive, un geste qui se répète trois fois devient une coutume ; dans ce cas précis, une coutume de respect et d’amour.
Pour aider à comprendre la signification du geste que le Saint-Père a accompli, et du discours qu’il a adressé aux juifs, je propose quelques brèves réflexions.
Il est clair pour tous les catholiques que la religion juive a, pour le christianisme, une place unique et différente des autres religions, au point que saint Jean-Paul II les a appelés « nos frères aînés ». C’est même un fait acquis que la religion juive a eu et a une place dans l’économie du salut. Cette religion doit par conséquent être respectée et il faut condamner les haines, les persécutions et l’antisémitisme.
Le témoignage des chrétiens devant les juifs doit donc être rendu avec « humilité et sensibilité ».
Le pape François affirme qu’il n’y a pas d’opposition entre dialogue, mission et témoignage. Les rapports entre ces trois attitudes sont multiples et complémentaires. Le pape est témoin, non pas tant parce qu’il donne de façon splendide le bon exemple, mais parce qu’il est martyr (nom grec pour dire témoin), c’est-à-dire qu’il est disposé à donner sa vie parce qu’il aime le Christ comme Pierre, « plus que tous les autres disciples », et qu’il porte à tous l’amour du Christ.
Dialogue et conversion personnelle
Le dialogue est une parole qui va vers l’autre et qui part d’une personne. La parole que le pape a offerte ce dimanche a été celle d’une grande personnalité qui s’est présentée avec humilité et attention. Il a souligné que, dans le contexte du dialogue entre croyants de différentes religions, on ne peut éviter de réfléchir sur le chemin spirituel de la conversion. Dans le langage biblique et chrétien, la conversion est le retour à Dieu d’un cœur humble et contrit, avec le désir de lui soumettre sa vie plus généreusement. Tous sont appelés constamment à cette conversion et tous sont appelés par un amour particulier ; le cœur peut alors s’ouvrir à une charité universelle.
Dans l’optique chrétienne, l’agent principal de la conversion n’est pas l’homme, mais l’Esprit-Saint. « C’est lui qui pousse chacun à annoncer l’Évangile et c’est lui qui, dans le tréfonds des consciences, fait accepter et comprendre la Parole du salut » (Evangelii nuntiandi, 75). C’est lui qui guide le mouvement des cœurs et qui fait naître l’acte de foi en Jésus le Seigneur (cf. 1 Co 2,4). Le chrétien est simplement l’instrument et le collaborateur de Dieu (cf. 1 Co 3,9).
Dialogue dans un désir partagé de croissance
Dans le dialogue aussi, le chrétien nourrit normalement dans son cœur le désir de partager, avec son frère de l’autre religion, son expérience du Christ (cf. Actes 26,29; EN 46). Il est tout aussi naturel que l’autre croyant désire quelque chose de semblable.
Dialogue pour l’édification de l’homme et la promotion de la paix
Dieu continue de réconcilier à lui les hommes à travers l’Esprit. L’Église a confiance dans la promesse que le Christ lui a faite que l’Esprit la guidera, dans l’histoire, vers la plénitude de la vérité (cf. Jn 16,13). C’est pourquoi elle va à la rencontre des hommes, des peuples et de leurs cultures, consciente que toute communauté humaine contient des germes de bien et de vérité et que Dieu a un dessein d’amour pour toutes les nations (cf. Actes 17, 26-27). L’Église veut donc collaborer avec tous pour la réalisation de ce dessein, en valorisant toutes les richesses de la science infinie et multiforme de Dieu et en contribuant à l’évangélisation des cultures (cf. Evangelii nuntiandi 18-20, ainsi que tout le Magistère pontifical de Jean-Paul II, Benoît XVI et du pape François).
Le pape François a redit le lien profond que le christianisme entretient avec le judaïsme et il a ensuite insisté sur la nécessité de poursuivre un dialogue qui soit inspiré de l’amour de la vérité. Quand le dialogue est mené avec une juste prudence, il n’exclut personne.
Parce que Dieu le Père est le principe et la fin de tous, nous sommes tous appelés à être des frères. Et par conséquent, appelés à cette même vocation humaine et divine, sans violence et sans mensonge, nous pouvons et nous devons travailler ensemble à la construction du monde dans la véritable paix (Gaudium et spes 92 ; cf. Messages pour la Journée mondiale de la paix de Paul VI, Jean-Paul II, Benoît XVI et du pape François).
Le dialogue devient ainsi source d’espérance et facteur de communion dans la transformation réciproque. C’est l’Esprit-Saint qui guide la réalisation du plan de Dieu dans l’histoire des personnes et de toute l’humanité jusqu’à ce que les enfants de Dieu dispersés par le péché soient réunis dans l’unité (cf. Jn 11,52).
Dans la dernière partie du discours de Jean-Luc Marion à l’occasion de sa réception à l’Académie française (au fauteuil du cardinal Jean-Marie Lustiger, ndlr), l’auteur développe une idée du cardinal Lustiger : « La Shoah ne constitua pas seulement le plus énorme viol des droits de l’homme, elle accomplit le plus énorme blasphème contre le droit de Dieu, car elle s’exerça sur le peuple de son élection, sur les juifs et, permettez-moi d’ajouter, aussi à terme sur les chrétiens, sur le peuple immense de la promesse universelle. »
© Traduction de Zenit, Constance Roques
 
PARTIE FINALE DU DISCOURS DE JEAN-LUC MARION
Elu à l’Académie française, le 6 novembre 2008
 
Nous avons suivi l’histoire de Jean-Marie Lustiger au fil de l’élection, c’est-à-dire de la réponse à la parole, elle-même entendue comme un appel. Mais, dans son cas plus que dans tout autre, cette parole disait la parole par excellence, parce qu’elle se disait comme le Verbe – et ce « Verbe était Dieu ». Et donc l’élection doit ici s’entendre comme la Promesse, faite par le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, de se choisir un peuple et, par lui, d’adopter l’humanité donnée à elle-même et ainsi éperdue.
Nul hasard donc si, en réponse à l’entretien intitulé Le Choix de Dieu (1987), La Promesse désigne un livre publié le plus tard possible (en 2002), mais devenu inéluctable depuis 1982 et l’entrevue accordée au quotidien israélien Yedot Haharonot, sous le titre « Puisqu’il le faut… » (repris dans Osez croire, 1985). Il le fallait en effet, cardinal Lustiger ! Car, si vous constatiez que votre « nomination était une provocation ; [qu’]elle portait le fer dans la plaie ; [qu’]elle obligeait les gens à réfléchir et à savoir la vérité » (Le Choix de Dieu, p. 401), c’était parce qu’elle manifestait publiquement ce que vous aviez, vous, découvert dès 1936, quand Aron ne se nommait pas encore Jean-Marie : « En devenant chrétien, je n’ai pas voulu cesser d’être le juif que j’étais alors. Je n’ai pas voulu fuir la condition de juif », puisqu’au contraire « le judaïsme n’avait alors pour moi pas d’autre contenu que celui que je découvrais dans le christianisme » (Osez croire, p. 56 & 60). Pareille évidence non seulement d’une continuité, mais même d’une identité, d’autres, comme Bergson, l’ont vue ; mais elle peut, au sein d’une longue histoire de conflits entre les deux religions, surprendre, voire choquer. Et, de part et d’autre, n’ont pas manqué les étonnements, voire les indignations. Elles témoignent au moins du sérieux d’un débat essentiel aux deux partenaires, parce qu’en fait ils y apprennent à se confronter, chacun pour soi et l’un par rapport à l’autre, à l’élection et à la promesse qui les définissent et qu’ils risquent toujours, quoique sur des modes différents, de méconnaître, donc de pervertir. Tentons donc de comprendre ce qu’Aron Jean-Marie Lustiger voulait faire entendre.
D’abord – ce qui ne peut que provoquer les chrétiens – il signifiait que, pour un juif sans éducation religieuse précise, autrement dit sans pratique talmudique ni culture rabbinique, la lecture de l’Ancien et du Nouveau Testament en continuité fait apparaître la Bible comme un seul bloc. Quiconque connaît la Loi et les prophètes, l’histoire de l’élection d’Israël et les vicissitudes de l’Alliance, l’attente du Messie dans la figure du Serviteur souffrant, peut admettre ou du moins, quand il s’agit de Lustiger, doit admettre que le christianisme « m’était comme d’avance connu. J’étais même surpris que les autres ne comprennent pas ce que je comprenais » (Le Choix de Dieu, p. 71). Autrement dit, mieux vaut être juif que non juif pour comprendre le Christ : « Quand, pour la première fois, je me suis trouvé réellement face à des chrétiens, je savais mieux qu’eux ce qu’ils croyaient » (Osez croire, p. 59). Entrer dans le dernier Testament n’implique aucune rupture avec le premier ni avec l’identité juive, puisqu’il s’agit de la même promesse. « Pour moi, il n’était pas un instant question de renier mon identité juive. Bien au contraire, je percevais le Christ, Messie d’Israël et je voyais des chrétiens qui avaient de l’estime pour le judaïsme » (Le Choix de Dieu, p. 51). Cette continuité ne peut s’admettre que si les chrétiens renoncent, eux aussi et eux d’abord, à la rupture, autrement dit renoncent à une perverse théologie du verus Israël, à l’hérésie de Marcion, toujours rampante, qui murmure à l’oreille que l’Église remplace Israël et l’annule. Non pas ! Elle s’y ente comme l’olivier sauvage se greffe sur l’olivier franc, selon une horticulture renversée que l’Apôtre dit « contre nature » (Romains 11, 24) – entendons, par pure grâce. Un chrétien ne peut accéder au rang de disciple du Christ, ce juif, qu’avec la conscience inquiète que l’« Église n’est pas un autre Israël, elle est l’accomplissement même en Israël du dessein de Dieu » (I, p. 15, voir p. 99, 127). « Dans son Messie, Dieu a accompli les promesses faites à Israël » (Le Choix de Dieu, p. 76). « Le Christ, que Dieu a fait Seigneur de tous et Premier-né d’entre les morts, ne se substitue pas à Israël, il en est la suprême figure et le fruit parfait. Il n’est pas la négation d’Israël, il est sa rédemption » (Le Choix de Dieu, p. 359, voir p. 446). La rédemption d’Israël, désormais accomplie dans la rédemption de tous les hommes que le Christ intègre à lui. Car tous les peuples monteront à Jérusalem, pourvu que ce soit la Jérusalem qui descend du ciel.
D’où il suit que l’Église naît juive et que le premier débat eut lieu entre les juifs qui reconnaissaient Jésus de Nazareth comme le Christ, le Messie souffrant et ressuscité de Dieu, et les juifs qui ne le reconnaissaient pas comme tel. La première césure, après la destruction du second Temple, sépara ceux qui reconnaissaient le corps du Christ comme l’unique sacrifice qu’on puisse désormais rendre à Dieu et ceux qui, désormais sans Temple ni sacrifice, instauraient le culte synagogal et la lecture talmudique. Le Christ a provoqué d’abord le choix des juifs et l’Église se définit d’abord entre les juifs, qui tous restent pourtant pris dans l’unique élection, destinés à l’unique promesse. Car jamais un juif ne peut cesser d’en rester un dans sa chair – et c’est un des ses privilèges sur le chrétien. En un mot, comme s’en flatte Paul de Tarse : « Les dons et les promesses de Dieu sont sans repentance » (Romains 11, 29). Si partage il dut y avoir, il ne se fit pas entre les juifs et les chrétiens, mais essentiellement et d’abord entre des juifs restés fidèles à leur élection et qui, pour cela, ont cru devoir refuser à Jésus la dignité du Christ et des juifs qui, pour rester fidèles à l’unique élection, se sont décidés à reconnaître Jésus comme le Messie.
Ainsi perce-t-on la grandeur et la faiblesse de l’Église des chrétiens, que la vision d’Aron Jean-Marie Lustiger provoque ici jusqu’au cœur. Une fois les païens associés de droit au salut venu par les juifs, certes l’« Église est à la fois celle des juifs et des païens » (La Promesse, p. 17). Mais, du coup, il faut, pour que ces païens deviennent eux aussi d’authentiques chrétiens, qu’ils cessent de se comporter comme des païens et donc acceptent leur greffe sur l’olivier franc, sur la racine juive. Toute remise en cause de cette greffe, donc tout antisémitisme équivaut à un reniement du Christ en eux. « On peut dire que l’attitude concrète des pagano-chrétiens à l’égard du peuple d’Israël est le symptôme de leur infidélité réelle au Christ ou de leur mensonge dans leur pseudo-fidélité au Christ. C’est l’aveu involontaire de leur paganisme et de leur péché » (La Promesse, p. 74, voir p. 80, 162). Ou bien : « Au cœur de l’histoire, la relation au judaïsme est un test de la fidélité chrétienne » (Le Choix de Dieu, p. 82). Et encore : « Ce que les nations font des juifs vérifie ce qu’elles font du Christ » (ibid., p. 84). Comment ne pas ici songer aux réflexions critiques de Levinas à propos de Montherlant, qu’il voyait « allié à un christianisme qui est surtout le christianisme des païens et non le christianisme des juifs » (Carnets de captivité, op. cit., p. 183) ? Comment ne pas songer aux tentations et tentatives de fabriquer un christianisme explicitement déjudaïsé, un Jésus « doux galiléen », voire provençal ou franchement aryen ? Si donc l’antisémitisme devient « vraiment le test absolu » (ibid., p. 156) de l’apostasie chrétienne, alors un chrétien antisémite n’en est simplement plus un : « À mes yeux, les antisémites n’étaient pas fidèles au christianisme » (Le Choix de Dieu, p. 51). On ne confondra donc pas l’anti-judaïsme, dispute entre des héritiers pour savoir qui reste le plus fidèle et mérite mieux l’élection (dispute biaisée d’ailleurs des deux côtés, car aucun élu ne peut juger de sa propre réponse à une élection qui lui vient d’ailleurs), avec l’antisémitisme, qui ne veut rien de moins que refuser catégoriquement l’héritage lui-même, et qui, pour y parvenir, dénie leur élection aux juifs, jusqu’à les anéantir parce qu’ils incarnent irrémédiablement la promesse de Dieu. La Shoah ne constitua pas seulement le plus énorme viol des droits de l’homme, elle accomplit le plus énorme blasphème contre le droit de Dieu, car elle s’exerça sur le peuple de son élection, sur les juifs et, permettez-moi d’ajouter, aussi à terme sur les chrétiens, sur le peuple immense de la promesse universelle. L’athéisme moderne, du moins dans ses figures totalitaires réalisées, s’est voulu non seulement anti-chrétien, mais à la fin antisémite, parce qu’il « ne [pouvait] supporter la présence particulière de l’Absolu dans l’histoire » (Le Choix de Dieu, p. 84). Non seulement il prétendit annuler Dieu, mais il voulut effacer toute trace de l’élection par laquelle Dieu se révèle dans le monde.
« Dieu est mort. » Certes, mais quel Dieu ? Nietzsche a constaté le premier fait, mais il posait aussi la deuxième question. Pour un juif et donc un chrétien, la réponse va de soi : « Le dieu récusé n’est que le dieu des païens déguisé en Dieu des chrétiens » (La Promesse, p. 101), « l’idole des pagano-chrétiens » (ibid., p. 134), la foule des « dieux dégradés, idoles dégradantes » (Devenez dignes de la condition humaine, p. 23).
Ainsi méditée par Aron Jean-Marie Lustiger, juif et cardinal de l’Église catholique, l’élection ne reste plus un accident de l’histoire, mais en fixe le sens et en ouvre les ultimes dimensions. Certes, on peut craindre comme son prédécesseur sur ce même fauteuil, Pierre Emmanuel, que l’élection reste souvent indécidée :
« Le ciel/ Est toujours aussi loin de ses deux bras qui tendent/ Tout le poids de la douleur de l’homme vers le haut/ Dans un blasphème ou dans un appel, qui peut le dire ? »
Mais, au fond de chacun de nous, nous savons bien que, même pour nous jusque dans nos pauvres blasphèmes, résonne toujours un appel, en écho persistant à l’élection d’Aron Jean-Marie Lustiger.

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Archbishop Francesco Follo

Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. 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De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000. Observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris. Mgr Francesco Follo est ordonné prêtre le 28 juin 1970 puis nommé vicaire de San Marco Evangelista à Casirate d’Adda de 1970 à 1976. Il obtient un doctorat en Philosophie à l’Université pontificale grégorienne en 1984. De 1976 à 1984, il travaille comme journaliste au magazine Letture du Centre San Fedele de la Compagnie de Jésus (jésuites) à Milan. Il devient membre de l’Ordre des journalistes en 1978. En 1982, il occupera le poste de directeur-adjoint de l’hebdomadaire La Vita Cattolica. De 1978 à 1983, il est professeur d’Anthropologie culturelle et de Philosophie à l’Université catholique du Sacré Cœur et à l’Institut Supérieur des Assistant Educateurs à Milan. Entre 1984 à 2002, il travaille au sein de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, au Vatican. Pendant cette période il sera professeur d’Histoire de la Philosophie grecque à l’Université pontificale Regina Apostolorum à Rome (1988-1989). En 2002, Mgr Francesco Follo est nommé Observateur permanent du Saint Siège auprès de l’UNESCO et de l’Union Latine et Délégué auprès de l’ICOMOS (Conseil international des Monuments et des Sites). Depuis 2004, Mgr Francesco Follo est également membre du Comité scientifique du magazine Oasis (magazine spécialisé dans le dialogue interculturel et interreligieux). Mgr Francesco Follo est Prélat d’Honneur de Sa Sainteté depuis le 27 mai 2000.

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