Ce qui est particulièrement intéressant, c’est que Caitlin a attiré de nombreux fans dans la WNBA grâce à son style de jeu particulier et surprenant. Elle a été comparée à Stephen Curry car, comme lui, elle n’a pas peur de tirer en dehors de l’arc à trois points, et même de beaucoup plus loin, avec des tirs de près de 10 mètres. Cela s’est avéré très divertissant pour les fans qui assistent aux matchs ou qui les regardent à la télévision. En fait, l’audience de la ligue a considérablement augmenté grâce à son impact.
Caitlin est devenue l’une des stars du basket-ball, d’abord au niveau universitaire et maintenant dans la WNBA (Women’s National Basketball Association). Elle a battu des centaines de records depuis ses saisons universitaires et continue de le faire dans la ligue professionnelle, où elle a fait ses débuts en mars dernier.
L’année 2024 a été pour elle une période pleine de succès et de réussites. Elle a été nommée joueuse de l’année dans la ligue universitaire de basket-ball, établissant des records tels que deux « triple doubles » (cela se produit lorsque trois catégories statistiques, telles que les points marqués, les rebonds, les passes décisives ou les pertes de balle, atteignent un nombre à deux chiffres, c’est-à-dire au moins 10). Elle a également établi le record du nombre de points marqués dans un match avec 49, entre autres.
En mars, elle a été choisie comme première option par les Indiana Fever, et lors de ses débuts en mai, elle a marqué 20 points, distribué trois passes et commis 10 pertes de balle, établissant ainsi un record dans cette catégorie pour une joueuse débutante.
Au cours de la saison, Caitlin a établi d’autres records et a été nominée pour le titre de recrue de l’année de la WNBA. Elle a également été nommée sportive de l’année par le magazine Time, ce qui fait d’elle la deuxième femme à recevoir ce prix après Simone Biles en 2021.
Ce qui est particulièrement intéressant, c’est que Caitlin a attiré de nombreux fans dans la WNBA grâce à son style de jeu spécial et étonnant. Elle a été comparée à Stephen Curry car, comme lui, elle n’a pas peur de tirer en dehors de l’arc à trois points, et même de beaucoup plus loin, avec des tirs de près de 10 mètres. Les fans qui assistent aux matchs ou qui les regardent à la télévision s’en amusent beaucoup. En fait, l’audience de la ligue a considérablement augmenté grâce à son impact.
Mais Caitlin n’est pas seulement connue pour ses talents de basketteuse, elle l’est aussi pour sa foi, ce qui a attiré l’attention de ceux qui la connaissent personnellement. Sa famille et ses entraîneurs ont parlé de l’importance de la spiritualité dans sa vie.
Depuis l’époque où elle fréquentait le lycée catholique Dowling, Caitlin a parlé publiquement de sa foi. Dans une interview accordée en 2018 à un magazine sportif, elle a déclaré : « Nous pouvons vivre notre foi tous les jours. Dowling commence chaque jour par la prière et termine chaque jour par la prière. C’est l’une des principales raisons pour lesquelles Dowling a une culture si spéciale et est un endroit si spécial pour étudier. »
Sa relation avec ses frères est très spéciale, car eux et leurs amis ont été ses premiers compagnons de jeu. Aujourd’hui encore, Caitlin déclare : « Ce sont deux de mes plus grands fans et probablement deux de mes plus grands détracteurs, parce qu’ils me rabaissent constamment… Quand je n’ai pas un bon match, ils m’envoient un message amusant, et cela m’aide à relativiser ».
Son frère Blake, qui dirige les Cyclones de l’État de l’Iowa en tant que quarterback, la motive constamment à ne pas négliger sa foi. Malgré son emploi du temps chargé entre le football et les cours à l’université, Blake trouve le temps de rappeler à Caitlin de prier le rosaire et d’assister à la messe près de son campus. Les paroissiens remarquent qu’elle est présente la plupart du temps. Lors du Final Four de l’année dernière, Caitlin a été vue portant un bracelet de Ste. Benedict et était connue pour prier le Rosaire avant le match, complétant ainsi la dernière décennie à l’intérieur du stade.
Kristin Meyer, l’ancienne entraîneuse de Caitlin pendant ses années à Dowling, souligne également sa foi fervente et sa compréhension des dons que Dieu lui a donnés. Dans une récente interview accordée à Crux, Meyer a déclaré : « Il ne s’agit pas seulement de marquer beaucoup de points ou de gagner ; elle aime jouer devant des stades à guichets fermés parce qu’elle peut divertir les gens et les faire sourire. Pendant deux heures, elle leur permet de vivre cette grande expérience, et elle prend cela très au sérieux. Elle sait que ces dons de Dieu sont l’occasion d’apporter de la joie à d’autres personnes.
Le père Joseph Pin, qui entretient des relations étroites avec toute la famille Clark, a expliqué à Crux que la communauté paroissiale était très fière de Caitlin, y compris lui-même. « Nous sommes fiers de notre élève, qui a accompli de si grandes choses dans la vie. C’est toujours bon, alors que nous formons les enfants, de voir cela se produire et de voir le succès non seulement sur le terrain de basket, mais aussi dans sa vie de foi. »
