« Je m’appelle Bernadette », un film à re-découvrir

Le film sur la vie de Bernadette de Lourdes est rediffusé et nouvellement disponible en DVD

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À l’occasion du 145ème anniversaire de la mort de sainte Bernadette Soubirous, le film « Je m’appelle Bernadette » est une nouvelle opportunité de redécouvrir l’histoire fascinante de la jeune bergère de Lourdes.

Réalisé en 2011, le film raconte la vie de « l’humble messagère de Lourdes », à qui la Vierge Marie est apparue dix-huit fois en 1858. Jeune fille pauvre et illettrée, Bernadette a dû affronter avec persévérance et détermination l’incrédulité des autorités religieuses et civiles.

Il s’agit du premier long métrage de Jean Sagols, connu pour ses feuilletons télévisés tels que « Les cœurs brûlés » avec Mireille Darc, « Les filles du Lido » avec Annie Girardot et « Terre indigo » avec Francis Huster. 

Une brochette d’acteurs hors-pair ont apporté leur contribution à ce film « simple, humble et vrai ». Le rôle de Bernadette est joué par Katia Miran, le curé de Peyramale par Michel Aumont, le procureur Vital Dutour par Francis Huster, avec également la participation de Francis Perrin.

« Bernadette était respectueuse des autres, mais elle faisait preuve d’une obstination à toute épreuve. À l’époque des apparitions, l’Église se méfiait des miracles. Le monde pyrénéen était le cadre de nombreux récits où, ici et là, on voyait le diable ou la Vierge. Cette fille a creusé son sillon au milieu de tout ça. Elle a maintenu le cap, chargée de délivrer un message auquel elle ne voulait rien retirer. Elle a subi la pression et l’oppression » raconte Jean Sagols.

« Je m’appelle Bernadette » est désormais disponible en DVD dans toutes les librairies religieuses françaises, et sur la plate-forme de distribution SAJE +

Voir le film « Je m’appelle Bernadette »

 

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Anne van Merris

Anne van Merris est journaliste, formée à l’Institut de journalisme européen Robert Schuman à Bruxelles. Elle est mariée et mère de quatre enfants.

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