Vague sur l'océan, Wikimedia commons, Jon Sullivan, domaine public

Vague sur l'océan, Wikimedia commons, Jon Sullivan, domaine public

Océans : L’Osservatore Romano salue une initiative de réduction des déchets

Print Friendly, PDF & Email

Trente pays adhèrent au projet

Share this Entry
Print Friendly, PDF & Email

La Une de L’Osservatore Romano du 12 avril 2021 salue une initiative mondiale pour sauvegarder les océans, alors que le Vatican vit une « Année Laudato si' », cinq ans après la publication de l’encyclique du pape François, à la fois écologique et sociale.

Il s’agit d’un  projet de l’Organisation maritime internationale (IMO), en collaboration avec l’organisation de l’ONU pour l’Alimentation et l’agriculture (FAO), qui a son siège à Rome.

Ce programme, intitulé « GloLitter Partnerships », vise à « aider les pays en voie de développement à appliquer les meilleures pratiques en matière de prévention, de diminution et de contrôle des déchets marins, notamment les déchets plastiques », indique le quotidien du Vatican.

Il précise que trente pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’Asie ont adhéré à cette initiative : Brésil, Costa Rica,  Argentine, Colombie, Jamaïque; Equateur, Nicaragua, Panama, Pérou, Côte d’Ivoire, Kenya, Madagascar, Nigéria, Cap Vert,  Gambie, Mozambique,  Tanzanie, Sénégal, Soudan, Togo; Inde, Indonésie, Philippines, Sri Lanka, Vietnam, Thaïlande, Timor-Est, mais aussi Vanuatu, les Îles Salomon, et les Îles Tonga.

Concrètement, il s’agira, continue la même source, d’examiner l’état des installations portuaires et de collecte des déchets, de « sensibiliser » le secteur de la pêche et des transports maritimes, de recycler les matériaux nuisibles et de mener des « initiatives pilotes » pour « réduire l’utilisation du plastique dans la transformation et la commercialisation du poisson ».

Selon L’Osservatore Romano, des experts de la FAO et de l’IMO se réuniront dans les prochains mois avec leurs partenaires pour leur apporter formation et assistance technique.

Ce programme est mis en œuvre, précise-t-il, grâce à un financement initial alloué par le gouvernement de la Norvège par l’intermédiaire de l’Agence norvégienne pour la coopération au développement (NORAD).

Avec une traduction d’Hélène Ginabat

Share this Entry

Rédaction

FAIRE UN DON

Si cet article vous a plu, vous pouvez soutenir ZENIT grâce à un don ponctuel