Thérèse

Thérèse de Lisieux, « docteur de la communion eucharistique », par le p. Léthel, ocd

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Le sacrement de l’Amour Miséricordieux antidote au jansénisme

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Sainte Thérèse de Lisieux

Docteur de la communion eucharistique

 

François-Marie Léthel ocd

« Donnez-nous Jésus, donnez-nous la Communion »!  C’est le cri du Peuple Chrétien, c’est la plus grande demande des fidèles aux pasteurs en ce moment douloureux du second confinement, lorsqu’il n’est plus possible d’être présent à la célébration de la Messe. On constate avec bonheur que, maintenant, ce cri est mieux écouté que lors du premier confinement! De nombreux évêques et prêtres s’engagent résolument dans une pastorale de la communion et de la confession dans les églises qui peuvent rester ouvertes. Récemment, le cardinal Bassetti, archevêque de Pérouse et président de la Conférence épiscopale italienne, a écrit une magnifique lettre sur l’Eucharistie alors même qu’il était hospitalisé, gravement touché par le coronavirus. Comme prêtre, j’ai vécu moi-même une telle expérience eucharistique à l’hôpital.

Pour éclairer cette nouvelle orientation pastorale, je voudrais présenter brièvement l’enseignement de Thérèse de Lisieux, docteur de l’Eglise, sur la communion eucharistique.

Thérèse est une des plus grandes mystiques, mais sans ces phénomènes extraordinaires présents dans l’expérience d’autre saints, comme par exemple sa Mère Thérèse d’Avila. La petite Thérèse n’a eu aucune vision ni entendu aucune « voix », à la différence de sa grande amie sainte Jeanne d’Arc. Mais Jésus lui parle continuellement dans l’Evangile qu’elle porte symboliquement sur son coeur et qu’elle incarne dans toute sa vie. Sa vie mystique est une profonde et continuelle « respiration » de l’Esprit-Saint dans la foi, l’espérance et l’amour, comme l’enseignait son Père saint Jean de la Croix. L’Eucharistie est véritablement le coeur de toute sa vie comme Sacrement de l’Amour de Jésus et de l’union la plus intime avec Lui par la sainte Communion. Elle n’a pas de visions, mais de profondes intuitions spirituelles reçues dans un contexte eucharistique, après la communion pendant son action de grâces, ou dans l’oraison près du Tabernacle. On pourrait citer de nombreux exemple.

Pour comprendre sa doctrine eucharistique entièrement centrée sur la communion, il faut rappeler que Thérèse vit à la fin du XIXème siècle, quand l’Église ne s’est pas encore prononcée de façon définitive en faveur de la communion quotidienne. Ainsi, en son Acte d’offrande à l’amour Miséricordieux – texte essentiel publié à la fin de l’Histoire d’une âme[1] – la carmélite dit à Jésus:

 

« Je sens en mon coeur des désirs infinis et c’est avec confiance que je vous demande de venir prendre possession de mon âme. Ah ! je ne puis recevoir la Sainte Communion aussi souvent que je le désire, mais, Seigneur, n’êtes-vous pas Tout-Puissant ? Restez en moi, comme au tabernacle, ne vous éloignez jamais de votre petite hostie ».

 

Tel est bien le « cri » du coeur de Thérèse concernant la communion, exprimant le désir de la communion quotidienne et de garder en soi la présence eucharistique de Jésus comme au tabernacle. Ces paroles de Thérèse sont très significatives, face à une conception fausse mais alors très répandue (même chez certains saints) selon laquelle la présence eucharistique serait en nous « fugitive », ne durant qu’un temps très bref et disparaissant quand les espèces du pain se sont fondues dans notre corps. Une conséquence ridicule de cette conception est qu’il vaudrait mieux communier avec une grande hostie plutôt qu’avec un petit fragment, pour que la présence dure plus longtemps!

Au contraire, Jésus a dit: « Celui qui mange ma Chair et boit mon Sang demeure (menei) en moi et moi en lui » (Jn 6, 56). Telle est bien la vérité que Thérèse vit et croit. Plus récemment, cette même vérité a été magnifiquement développée par une mystique italienne, la servante de Dieu Vera Grita, une laïque consacrée dans la famille salésienne. Ses textes spirituels, écrits au moment de la grande crise de 1968 et qui devraient être prochainement traduits en français, proposent une admirable spiritualité de la Présence Réelle de Jésus-Eucharistie qui veut faire de nous des Tabernacles Vivants.

Au Carmel de Lisieux, Thérèse n’avait donc pas la permission de faire la communion chaque jour. La seule exception fut au moment de l’épidémie d’influenza qui provoqua la mort de plusieurs carmélites:

 

« Tout le temps que la communauté fut ainsi éprouvée, je pus avoir l’ineffable consolation de faire tous les jours la Ste Communion… Ah ! que c’était doux !… Jésus me gâta longtemps, plus longtemps que se fidèles épouses, car il permit qu’on me Le donnât sans que les autres aient le bonheur de Le recevoir » (Ms A, 79v).

 

Elle souffrait beaucoup de cette privation, avec l’espérance d’un changement dans l’avenir. Et elle n’était pas la seule. Chez beaucoup de saintes religieuses de son temps, on trouve le même désir et la même souffrance. L’influence négative du jansénisme avait été très forte, avec sa radicale opposition à la communion fréquente. Ce n’était plus le Dieu proche des saints, mais au contraire un Dieu lointain qui ne permettait pas aux fidèles de s’approcher de lui. Cela a été un désastre pour le Peuple de Dieu! Cependant, déjà au Moyen-Âge, alors que la spiritualité eucharistique mettait en relief la foi en la Présence Réelle (contre les erreurs de Bérenger et des théologiens rationalistes) sous la forme de l’adoration, la communion fréquente n’était pas encore conseillée.

Sur ce point sainte Catherine de Sienne est une heureuse exception, comme le grand prophète de la communion quotidienne, ce qui scandalisait ses contemporains. Sainte Jeanne d’Arc communiait très souvent et sa plus grande souffrance fut d’être privée de la Communion pendant les quatre mois de son Procès. Elle la demande dès le premier jour à ses juges qui sont tous des prêtres, et chaque fois qu’elle renouvelle cette demande, elle se heurte toujours à un refus. Elle ne la recevra qu’au dernier moment dans sa prison, le matin du 30 mai 1431 avant d’être conduite au bûcher.

Thérèse de Lisieux et les saints et saintes de son temps reprennent et intensifient ce désir prophétique de la communion quotidienne, avec la confiance que l’Eglise se prononcera bientôt en faveur de la communion quotidienne. En effet, c’est ce qui arrivera quelques années plus tard avec les Décrets de saint Pie X en 1905.

Pour Thérèse, l’eucharistie est par excellence le sacrement de l’Amour Miséricordieux de Jésus, de l’amour Divin qui s’abaisse et se fait tout petit, désirant s’unir à nous, vivre avec nous et en nous, pauvres enfants pécheurs.  En quelque mots, Thérèse résume toute sa spiritualité eucharistique dans sa dernière Lettre écrite pour un futur prêtre, le séminariste Maurice Bellière, son premier frère spirituel.

C’est une image représentant l’Enfant Jésus dans l’hostie consacrée que le prêtre tient dans ses mains, avec ces paroles: « Je ne puis craindre un Dieu qui s’est fait pour moi si petit! Je l’aime! car il n’est qu’Amour et Miséricorde » (LT 266). Tel est le « testament eucharistique » de Thérèse! Dans l’eucharistie, Jésus est le Dieu tout proche de nous, le Dieu Amour Miséricordieux, le Dieu qui se fait petit et qui ne fait pas de peur, mais qui suscite notre réponse de confiance et d’amour. C’est le Vrai Corps né de Marie comme un petit enfant, c’est le Crucifié et le Ressuscité!

Toute cette doctrine de Thérèse sur se trouve déjà admirablement exprimée dans le récit de sa première Communion:

 

« Ah ! qu’il fut doux le premier baiser de Jésus à mon âme !…   Ce fut un baiser d’amour, je me sentais aimée, et je disais aussi : “ Je vous aime, je me donne à vous pour toujours. ” Il n’y eut pas de demandes, pas de luttes, de sacrifices ; depuis longtemps, Jésus et la pauvre petite Thérèse s’étaient regardés et s’étaient compris… Ce jour-là ce n’était plus un regard mais une fusion, ils n’étaient plus deux, Thérèse avait disparu, comme la goutte d’eau qui se perd au sein de l’océan. Jésus restait seul, Il était le maître, le Roi. Thérèse ne lui avait-elle pas demandé de lui ôter sa liberté, car sa liberté lui faisait peur, elle se sentait si faible, si fragile que pour jamais elle voulait s’unir à la Force Divine !… Sa joie était trop grande, trop profonde pour qu’elle pût la contenir, des larmes délicieuses l’inondèrent bientôt au grand étonnement de ses compagnes, qui plus tard se disaient l’une à l’autre : “ Pourquoi donc a-t-elle pleuré ? N’avait-elle pas quelque chose qui la gênait ?… Non c’était plutôt de ne pas voir sa Mère auprès d’elle, ou sa Soeur qu’elle aime tant qui est carmélite. ” Elles ne comprenaient pas que toute la joie du Ciel venant dans un coeur, ce coeur exilé ne puisse la supporter sans répandre des larmes… Oh ! non, l’absence de Maman ne me faisait pas de peine le jour de ma première communion : le Ciel n’était-il pas dans mon âme, et Maman n’y avait-elle pas pris place depuis longtemps ? Ainsi en recevant la visite de Jésus, je recevais aussi celle de ma Mère chérie qui me bénissait se réjouissant de mon bonheur… Je ne pleurais pas l’absence de Pauline, sans doute j’aurais été heureuse de la voir à mes côtés, mais depuis longtemps mon sacrifice était accepté ; en ce jour, la joie seule remplissait mon coeur, je m’unissais à elle qui se donnait irrévocablement à Celui qui se donnait si amoureusement à moi ! »…(Ms A, 35rv).

 

Ce jour de sa première communion était aussi le jour de la profession religieuse de sa soeur Pauline (soeur Agnès de Jésus). Dans ce récit, Thérèse exprime l’intimité de son union avec Jésus comme une « fusion ». Elle la décrit comme « le premier baiser de Jésus à son âme ». C’est déjà l’expérience de l’amour sponsal, avec le don total, réciproque et définitif entre l’Époux et l’Epouse. A Jésus qui « se donnait si amoureusement à elle », Thérèse répond: « Je vous aime et je me donne à vous pour toujours ». En Lui, elle trouve toute l’Eglise du Ciel, et spécialement sa sainte Maman!

Pour elle, l’union mystique avec Jésus, le Mariage spirituel, ne sera pas autre chose que la communion eucharistique pleinement vécue avec Marie. Elle le dit dans l’une de ses poésies:

 

Mon Ciel, il est caché dans la petite Hostie

Où Jésus, mon Epoux, se voile par amour.

A ce Foyer Divin je vais puiser la vie

Et là mon Doux Sauveur m’écoute nuit et jour

Oh ! quel heureux instant lorsque dans ta tendresse

Tu viens, mon Bien-Aimé, me transformer en toi

Cette union d’amour, cette ineffable ivresse

Voilà mon Ciel à moi ! (PN 32/3).

 

C’est la plus haute « mystique du Sacrement » dont parle Benoît XVI dans sa première Encyclique Deus Caritas est (n. 13 et 14).

De même, elle dit à Marie: « Tu me  donnes Jésus et tu m’unis à Lui » (PN 5/11). Elle la contemple enceinte comme « le Tabernacle qui voile du Sauveur la Divine Beauté » (PN 54/8). Au moment de la communion, elle ne craint pas de s’identifier avec Marie à l’Annonciation, quand le Fils de Dieu est descendu du Ciel et s’est incarné dans son sein virginal:

 

O Mère bien-aimée, malgré ma petitesse

Comme toi je possède en moi Le Tout-Puissant

Mais je ne tremble pas en voyant ma faiblesse :

Le trésor de la mère appartient à l’enfant

Et je suis ton enfant, ô ma Mère chérie

Tes vertus, ton amour, ne sont-ils pas à moi ?

Aussi lorsqu’en mon coeur descend la blanche Hostie

Jésus, ton Doux Agneau, croit reposer en toi ! (PN 54/5).

 

De la même manière, le prêtre doit apprendre de Marie tout son amour pour le Corps de Jésus. Ainsi, en priant pour son frère spirituel le séminariste Bellière, elle dit à la Sainte Vierge: « Daignez lui enseigner déjà avec quel amour vous touchiez le Divin Enfant Jésus et l’enveloppiez de langes, afin qu’il puisse un jour monter au Saint Autel et porter en ses mains le Roi des Cieux » (Pri 8).

Thérèse parle inséparablement de Jésus dans l’eucharistie, de Marie et des prêtres. Comme ministre de l’eucharistie, le prêtre est celui qui comme Marie et avec elle, dans la foi et l’amour, reçoit Jésus pour le donner au monde. Dans cette lumière, la sainte va au coeur de la vie et de la vocation du prêtre quand elle écrit:  « Je sens en moi la vocation de prêtre ; avec quel amour, ô Jésus, je te porterais dans mes mains lorsque, à ma voix, tu descendrais du Ciel… Avec quel amour je te donnerais aux âmes » (Ms B 2v). Thérèse est patronne des Missions, toujours avec cette dynamique eucharistique.

Par rapport à la communion, Thérèse met l’accent principal, non pas sur notre désir de recevoir Jésus, mais sur le désir de Jésus de venir à nous de s’unir à et de demeurer avec nous et en nous. Ceci est très important pour répondre à l’idéologie très répandue du « jeûne eucharistique », qui s’oppose à la communion quotidienne à partir d’une vision subjectiviste de la communion (un désir subjectif qu’il serait bon de mortifier par un « jeûne »). Non,  Jésus ne veut pas rester enfermé dans le froid Tabernacle de pierre, mais il désire venir dans le Tabernacle de chair, dans le Tabernacle vivant de notre coeur. Elle le dit très clairement lorsqu’elle parle de son intense vie eucharistique avant d’entrer au Carmel:

 

« Jésus se donnait lui-même à moi dans la Ste Communion plus souvent que je n’aurais osé l’espérer. J’avais pris pour règle de conduite de faire, sans en manquer une seule, les communions que mon confesseur me donnerait, mais de le laisser en régler le nombre, sans jamais lui en demander. Je n’avais point à cette époque l’audace que je possède maintenant, sans cela j’aurais agi autrement, car je suis bien sûre qu’une âme doit dire à son confesseur l’attrait qu’elle ressent à recevoir son Dieu ; ce n’est pas pour rester dans le ciboire d’or qu’Il descend chaque jour du Ciel, c’est afin de trouver un autre Ciel qui lui est infiniment plus cher que le premier : le Ciel de notre âme, faite à son image, le temple vivant de l’adorable Trinité ! » (Ms A, 48v).

 

Dans le même sens, elle écrit:

 

« O mystère d’amour !

Mon Pain de chaque jour

Jésus, c’est Toi ! / (…)

O Pain de l’exilé !

Sainte et Divine Hostie

Ce n’est plus moi qui vis, mais je vis de ta vie.

Ton ciboire doré

Entre tous préféré

Jésus, c’est moi ! » (PN 24/28-29).

 

 

La sainte avait déjà exprimé cette pensée quand elle était novice, dans la lettre du 30 mai 1889 à sa cousine Marie Guérin qui avait cessé de communier à cause de ses scrupules (touchant la chasteté):

 

O ma chérie, pense donc que Jésus est là dans le tabernacle exprès pour toi, pour toi seule, il brûle du désir d’entrer dans ton coeur… va, n’écoute pas le démon, moque-toi de lui et vas sans crainte recevoir le Jésus de la paix et de l’amour ! (…) Ton coeur est fait pour aimer Jésus, pour l’aimer passionnément, prie bien afin que les plus belles années de ta vie ne se passent pas en craintes chimériques. Nous n’avons que les courts instants de notre vie pour aimer Jésus, le diable le sait bien, aussi tâche-t-il de la consumer en travaux inutiles…Petite Soeur chérie, communie souvent, bien souvent… Voilà le seul remède si tu veux guérir, Jésus n’a pas mis pour rien cet attrait dans ton âme (…). Ne crains pas d’aimer trop la Ste Vierge, jamais tu ne l’aimeras assez, et Jésus sera bien content puisque la Ste Vierge est sa Mère. (LT 92).

 

Cette lettre avait enthousiasmé saint Pie X.  La Cause de béatification avait été ouverte sous son pontificat et il avait prophétisé que Thérèse serait « la plus grande sainte des temps modernes »!   C’était lui qui en 1905, s’était définitivement prononcé en faveur de la communion quotidienne, conformément à l’intention de Jésus lui-même choisissant le pain qui est l’aliment quotidien de l’homme. Selon saint Pie X, il était non seulement permis mais encore conseillé à tout fidèle de communier chaque jour s’il n’avait pas de péché grave sur la conscience (dans ce cas, il devait d’abord accueillir la Miséricorde dans le Sacrement de la Réconciliation).

Grâce à cette intervention définitive du saint Pape, presque tous les saints du XX siècle, et particulièrement les laïcs, sont des saints de la communion quotidienne. Parmi tant d’exemples, on peut citer le Serviteur de Dieu Robert Schuman, grand homme politique chrétien, un des pères de l’Europe, maintenant proche de la béatification. Alors même qu’il occupait les plus hautes fonctions (Ministre des finances, Ministre des Affaires Etrangères et même Premier Ministre), il ne manquait jamais la Messe et la Communion Quotidiennes.

Dans le même sens, Saint Pie X ouvrait la communion aux plus petits enfants, et c’est ainsi que la vénérable Antonietta Meo (« Nennolina »), morte à 6 ans avait fait la première communion à 5 ans!

Enfin, la récente béatification de Carlo Acutis, le 10 octobre 2020 offre à toute l’Eglise l’exemple d’un jeune d’aujourd’hui dont la vie quotidienne était animée par l’Amour de Jésus-Eucharistie.

 

 

            [1] Publiée maintenant dans le texte authentique, tel que Thérèse l’avait écrite, l’Histoire d’une âme réunit les trois Manuscrits Autobiographiques (Ms A, B et C, avec les numéros des folios) et deux Prières essentielles: Prière au jour de la Profession (Pri 2) et Acte d’Offrande à l’Amour Miséricordieux (Pri 6). Tel est le texte principal de Thérèse qui illumine tous les autres: Lettres (LT), Poésies (PN), Récréations Pieuses (RP) et Prières (Pri). Tous ces textes de la sainte sont réunis dans le volume: THERESE DE LISIEUX: Oeuvres Complètes, Paris, 1992, ed Cerf/DDB. Pour l’Histoire d’une âme, Il faut recommander l’édition économique dans la collection « Pocket » qui donne le meilleur texte.

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François-Marie Léthel

Le pape Benoît XVI a adressé une lettre au Père François-Marie Léthel, o.c.d., secrétaire de l’Académie pontificale de théologie et professeur à la faculté pontificale de théologie « Teresianum », qui a prêché la retraite de carême au Vatican de 2011, sur le thème : « La lumière du Christ au cœur de l’Eglise – Jean-Paul II et la théologie des saints ». Il est aussi depuis 2004, consulteur de la Congrégation pour les causes des saints. https://fr.zenit.org/articles/lettre-de-benoit-xvi-au-pere-francois-marie-lethel/

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